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Sur le thème : « Renforcement de croissance et de reproduction en relation avec les facteurs génétiques des ovins de race Djallonké en République du Congo, l’impétrant Richard MISSOKO MABEKI, titulaire d’un Master recherche et santé vétérinaire de la formation doctorale agronomique et foresterie de l’Ecole Nationale Supérieure d’Agronomie et Foresterie (ENSAF) de l’Université Marien NGOUABI, a soutenu publiquement sa thèse de Doctorat Unique le jeudi 14 janvier 2021 à l’auditorium de la Grande Bibliothèque Universitaire de l’Université Marien NGOUABI à Brazzaville.
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Sous la direction de thèse du Professeur Titulaire du CAMES, Parisse AKOUANGO, Richard MISSOKO MAMBIKI, après avoir soutenu et défendu sa thèse, sur l’ appréciation du jury, qui a considéré que c’est un bon travail basé sur la des bonnes méthodologies, et des résultats, qui ont apporté des contributions significatives conduisant à l’amélioration des performances des ovins au Congo, le jury lui a attribué le grade de Docteur de l’Université Marien NGOUABI avec une motion très honorable.
Au terme de cette soutenance, ce dernier satisfait des résultats de son travail, s’est prêté aux micros et caméras des Journalistes pour exprimer sa joie et partager son expérience.
-Bonjour Docteur, vous venez de soutenir une thèse de Doctorat Unique sur le Renforcement de croissance et de reproduction en relation avec les facteurs génétiques des ovins de race Djallonké en République du Congo, quelles sont vos impressions ?
Dr Richard MISSOKO MAMBIKI/ Mes impressions d’abord sont des impressions de joie de sentiments parce que c’est un travail, qui a été vraiment acharné et enfin de compte, il a abouti, je tout d’abord a félicité mon Directeur de Thèse, qui est la personne, qui m’a fait parvenir. Je dirais que pour ce travail, ce n’est pas une première dans le cadre de la thèse parce que les travaux, qui ont été faits, les gens ont travaillé depuis les années soixante dans le cadre de la Licence et ils ne l’ont pas approfondi. Nous donc dans le souci d’améliorer l’élevage au Congo on a bien voulu approfondir les questions pourquoi les élevages au Congo ne marchent pas ? Pourquoi ils sont tenus par des étrangers ? Ce sont ses questions, qui nous ont poussé d’aller faire des recherches en profondeur pour voir quels ont été les facteurs dans cette spéculation-là.
-Quel appel lancez-vous aux jeunes, qui veulent aussi devenir comme vous Docteur ?
Dr Richard MISSOKO MAMBIKI/ Avant de lancer mon appel à leur endroit, je tiens à rappeler que je viens de soutenir et je suis le premier Docteur à soutenir pour une école de formation doctorale en agronomie et forêt, qui est logée au sein de l’ENSAF, qui est désormais une composante active de l’Université Marien NGOUABI. Concernant l’appel, je vais demander aux jeunes de ne pas être démotivé, de ne pas écouter les rues en disant que l’agronomie, c’est en arrière-plan, c’est un secteur prometteur et que les gens viennent.
-Est-ce que de façon succincte vous pouvez-nous parler de votre thèse ?
Dr Richard MISSOKO MAMBIKI/ De façon succincte, comme vous avez suivi l’exposé ! Notre thèse à traiter les questions d’amélioration de croissance chez les bovins, nous avons constaté, que chez-nous au Congo, il y a un problème, qui se pose nourrir la population congolaise les produits viennent d’ailleurs, alors nous avons des compétences référenciées pour mieux faire. C’est dans cette optique que mon directeur et moi, nous avons pensé donc creuser pour pouvoir montrer ces compétences-là, montrer ces capacité-là qu’au Congo aussi on peut mieux faire sans pour autant importé ailleurs.
-Et quelles sont les difficultés que vous avez rencontrées au cours de vos travaux de recherche ?
Dr Richard MISSOKO MAMBIKI/ Les difficultés ne manquent pas sur le terrain, nous nous sommes confrontés à plusieurs difficultés notamment les animaux il n’y en a pas assez, nous avons pu trouver des bonnes volontés, qui nous ont disposé leurs troupeaux, leurs élevages pour pouvoir travailler et arriver à ces résultats. Sinon les difficultés n’ont pas manqué mais bien qu’il y a eu des difficultés, nous avons tenu bon pour aboutir au terme de ce travail.
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