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Contribuer à l'amélioration du fonctionnement de la chaine pénale, a été l'objectif de cet atelier qui a rassemblée au moins 100 agents de la force publique à raison de 20 agents tour à tour par jour venant du Commandement territorial des forces de police de Brazzaville et des Commissariats centraux du Djoué, de la Tsiémé, du Plateau et de Mfoa, s'est achevé le 15 septembre dernier.
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Tour à tour, les participants ont échangé sur les thématiques suivantes : la police judiciaire dans la chaine pénale : missions, organisation, relations avec les autres structures ; l'enquête de la police judiciaire et l'introduction aux droits fondamentaux de l'homme. Ces thèmes ont permis aux participants à améliorer leurs capacités, les pratiques et les connaissances en leur qualité d'agents de l'ordre.
Alain KOMBO, président de l'ADHUC a exprimé ses sentiments à notre micro à la fin de cette toute dernière session de formation en ces termes. << Les sentiments, les plus satisfaisantes que nous avons c'est par la participation d'abord des agents de l'ordre, la contribution du commandement de la formation de la police et vraiment, la contribution du commandement territorial de Brazzaville. Nous sommes très satisfaits de la qualité des intervenants mis à notre disposition par le commandement de la formation et le ministère de la justice et nous espérons que cela va continuer et même si le projet peut prendre fin, nous pensons que le commandement de la formation va prendre le relais pour continuer la formation parce que cela permettra aux agents de l'ordre d'être plus professionnels et de présenter des actions qui vont contribuer à la construction d'un État de droit >>.
Pour sa part, le brigadier-chef Dieudonné NGONZOUA en sa qualité de participant a apprécié cette initiative et a laissé entendre que ses impressions sont vraiment, les meilleurs d'autant plus que « je viens de recevoir encore des connaissances qui n'échappaient, des notions qui n'échappaient comme des pratiques qui n'échappaient bien que ce sont des choses qu'on avait fait connaissance mais par manque d'application cela n'échappait alors que là, j'ai eu comme un aspect réveillé qui m'a réveillé de façon que je commence à prendre les choses au sérieux et surtout que les droits de l'homme sont là que nous allons tous préserver d'abord pour la société entière et moi-même personnellement, en tout cas, je suis ravi et éveillé une fois de plus. Le point le plus saillant durant cette session qui m'a touché, c'est la commission rogatoire que je ne maitrisais pas exactement, qu'est-ce qu'une commission rogatoire et aujourd'hui, j'ai eu la lumière sur la commission rogatoire, c'est comme un pouvoir que je reçois du Juge d'instruction me permettant d'exercer, de procéder à la recherche des auteurs de l'infraction librement et avec une durée aussi prolongée ».