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Atelier de restitution de l’étude sur la mise en œuvre du Plan National Stratégique « Congo Digital 2025 » 

Publié le 2 Juillet 2021 par André LOUNDA dans Economie

Le Gouvernement de la République du Congo a reçu un financement du Groupe de la Banque Africaine de Développement (BAD) afin de couvrir le coût du projet Dorsale à fibre optique d’Afrique Centrale (CAB), Composante Congo, et a l’intention d’utiliser une partie des sommes accordées au titre de ce prêt pour financer le contrat d’une firme recruter pour l’élaboration d’un Plan Directeur du développement des infrastructures large bande au Congo. Dont les objectifs du projet CAB sont de contribuer à :l’intégration régionale à travers la mise en œuvre d’interconnexions terrestres à fibre optique entre les pays d’Afrique centrale ; la réduction du coût élevé des télécommunications/TIC sur le climat des affaires dans la sous-région ; la création d’emplois grâce à l’effet catalytique des TIC sur tous les secteurs d’activité ;l’extension de la production des biens et services aux fins de l’avènement d’une industrie numérique dans la sous-région. Ainsi, le cabinet SOFRECOM, en partenariat avec les cabinets IDATE et SOTEK ont rendu public les résultats de l’étude sur la mise en œuvre du Plan National Stratégique « Congo Digital 2025 », le 30 juin 2021 à Brazzaville.

Au cours de cet Atelier de restitution placé sous le patronage de Léon Juste IBOMBO, Ministre en charge des Postes, Télécommunications et de l’Economie Numérique ; Monsieur HASCHEM Saoud, Directeur du cabinet SOFRECOM a donné les détails sur les grandes lignes que leur cabinet a eu pour missions à savoir : l’analyse de l’existant afin de s’enquérir de l’état actuel des réseaux haut débit et très haut débit sur l’ensemble du territoire congolais ; l’actualisation du plan national stratégique horizon 2025 ; l’élaboration d’ une vision assortie d’un plan directeur pour le développement des infrastructures large bande; et aussi l’élaboration d’un plan d’actions et une classification du territoire national suivant les seuils de rentabilité et couplée avec les mécanismes de financement, de gouvernance, de suivi et de réalisation idoines., entre autres, les activités réalisées sont les suivantes: fournir à la maitrise d’ouvrage (Ministère des Postes, des Télécommunications et de l’Economie Numérique) des outils d’aide à la décision pour la généralisation et la couverture totale du territoire national en termes d’infrastructure large bande ; apporter un appui décisif à la connectivité rurale à la faveur d’un recours ciblé et cohérent au Fonds du Service Universel des Communications Electroniques (FSUCE) ;mettre  au  point  une  base  des  données  géoréférencées  (cadastre  des  infrastructures  large  bandes)  qui permettra  de  classifier  le  territoire  national  suivant  les  trois  catégories  suivantes (i)    zone α rentable pour le déploiement des infrastructures par les opérateurs privés ;(ii) zone β : moyennement rentable  et  nécessitant  donc  la  mise  à  profit  de  mesure  spécifiques  (partage d’infrastructures, itinéraires,…etc.) ; (iii) zone: pas du tout rentable donc nécessitant absolument l’intervention des pouvoirs publics à travers le recours massif au FSUCE; Tirer avantage des différents projets d’énergie et de transports comportant des câbles à fibre optique et qui pourraient être mis à profit dans le cadre de la connectivité nationale et internationale du pays; et évaluer d’une manière exhaustive les différentes  sources  de  financement  possibles  en  fonction  des trois  catégories  susmentionnées  et  avec  un  dosage  adéquat  entre  les  ressources  du  public  (émanant principalement du fonds d’accès universel) et du privé à travers des montages PPP, de recours à des prêts, de garanties, et aussi à la rédaction des textes législatifs, réglementaires et institutionnels devant régir l’Agence Congolaise de Développement du Digital.

Au terme de cet Atelier de restitution après des échanges fructueux avec les participants, Léon Juste IBOMBO dans son discours a rappelé les participants que le Projet Central African Backbone, en sigle CAB, est un projet sous régional, né de la volonté des Chefs d’Etat de la zone CEMAC. Exécuté dans sa première phase sous fond Banque mondial, le projet est réalisé dans sa phase 2 avec le concours de la banque africaine de Développement. Le projet CAB vise le désenclavement numérique couplé à l’intégration régionale, la réduction des coûts d’accès aux services des TIC de meilleure qualité et la création d’opportunités d’emploi pour les jeunes. Pour y parvenir, nous construisons des infrastructures à haut débit et des liaisons numériques. Nous avons ainsi construit le réseau en fibre optique qui relie la république du Congo et la république gabonaise, nous venons de finaliser la construction du réseau en fibre optique qui va relier le Congo et le Cameroun et les travaux de construction du réseau en fibre optique qui va relier le Congo et la république centre-africaine sont en cours d’exécution. Afin de donner au Ministère des Postes, des Télécommunications et de l’Économie Numérique des outils d’aide à la décision et l’assister dans le suivi d’une orientation du numérique en cohérence avec l’évolution du secteur au niveau national et international, nous menons des études de faisabilité et nous procédons au renforcement des capacités, des différentes directions de notre ministère de tutelle et des ministères qui sont concernés par les résultats de ces études. Les études que nous initions, sont interdépendantes et complémentaires.

Poursuivant son propos le Ministre Léon Juste IBOMBO a fait savoir que Nous avons recruté un cabinet qui mène une étude sur l’élaboration d’un plan directeur de développement des infrastructures large bande au Congo, cette étude va donner au gouvernement congolais une cartographie précise des infrastructures à haut débit et facilitera la prise de décision dans le développement des infrastructures région par région. Aujourd’hui, nous sommes réunis pour assister à la restitution de l’étude sur la mise en œuvre du Plan National Stratégique « Congo Digital 2025 » ; qui peut être considérée comme la mise en œuvre d’un plan d’actions implémentant la stratégie d’e-Gouvernance. Le cabinet SOFRECOM, en groupement avec les cabinets IDATE et SOTEK a été recruté selon les procédures de la Banque Africaine de Développement pour la réalisation de cette étude.

La mission du cabinet s’est focalisée dans un premier temps, à l’actualisation du plan national stratégique horizon 2025, qui a déjà permis grâce au dynamisme de monsieur le ministre des Postes, des Télécommunications et de l’Economie Numérique, de mettre en place une série de ses recommandations, nous pouvons citer, par exemple, l’adoption de la Loi n°27-2020 du 05 juin 2020, loi portant lutte contre la cybercriminalité.

Pour conclure avant de clôturer l’atelier, il a ajouté que Le cabinet s’est ensuite attelé à donner au gouvernement les outils et les moyens pour la mise en œuvre du plan National stratégique, particulièrement en termes de conduite de changement, car c’est bien l’homme, qui est au centre de toute cette stratégie. Les méthodes d’accompagnement, la formation, l’accès aux services dématérialisés, la circulation de l’information publique, tout cela vise à améliorer l’efficacité de nos institutions. Enfin, le cabinet a procédé à la rédaction des textes législatifs, réglementaires et institutionnels devant régir l’Agence Congolaise de Développement du Digital. La transversalité de cette étude, va au-delà des limites d’attribution d’un seul département ministériel, mes dames et messieurs, vous êtes chacun, en vos rangs, grades et qualités, acteurs et ambassadeurs de la transformation digital de notre administration.

 

 

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« La culture congolaise se porte bien », dixit Germain PELLA YOMBO

Publié le 1 Juillet 2021 par André LOUNDA dans Culture et Arts

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L'engagement de l'État en faveur de la culture participe à la promotion du droit des congolais à exprimer leurs talents culturels et artistiques susceptible d'affirmer l'identité nationale. Ainsi, le Gouvernement dans ses actions formule des politiques qui mobilisent les congolais dans toute leur diversité, à exercer le droit à la culture. C'est ainsi, l'entreprise de management culturel dénommée le Groupe PELLA YOMBO (GPY) depuis plus de 36 ans a saisi ses opportunités qu'offre la culture congolaise. Pour hisser haut le label du Congo, le Groupe GPY s'est engagé autour de trois concepts de management culturel à savoir : Les Sanzas, le trophée des créateurs ; la nuit du Congo à...dans le monde et Festi CoCo, Rythmes et danses du terroir. Ces concepts ont été développés par le Manager culturel congolais, Germain PELLA YOMBO autrement dit "Beethoven" au cours d'une conférence de presse que le Groupe GPY a organisé le 30 juin 2021 à Brazzaville pour marquer sa rentrée culturelle de la saison 2021-2022.

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Placée sur le thème : « GPY Events 2021-2022, Rencontres- Célébrations et Opportunités », l’occasion a été toute indiqué au Manager Culturel du Groupe GPY pour présenter son calendrier d’activités qu’ils entendent mener durant cette période. C’est autour des concepts de management culturel à savoir : Les Sanzas, la nuit du Congo à… et Festi CoCo que Germain PELLA YOMBO autrement appelé « Beethoven), le Manager dudit groupe a échangé avec les chroniqueurs culturels, les journalistes et les membres de l’Union des Musiciens Congolais (UMC) pour combler le vide en la matière sur la visibilité aux trophées des créateurs et d’encouragement des artistes congolais dans tous les domaines de la créativité artistique et culturelle.

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Selon Germain PELLA YOMBO, la culture congolaise se porte très bien et l’occasion nous est donné de porter haut les activités culturelles au Congo avec l’arrivée à la tête du Gouvernement Anatole Collinet MAKOSSO. Et que notre musique est optimum et manque d’agressivité et c’est le rôle que les journalistes et les chroniqueurs doivent jouer. Répondant sur la question sur l’origine de ses finances, Germain PELLA YOMBO a fait savoir que le problème, c’est que la place de l’artiste soit reconnu dans notre pays. Il faut qu’il y est une loi pour le mieux-être des artistes et c’est le combat des artistes et sui les artistes gagnent leurs vies également vous les journalistes et les chroniqueurs vous gagnerez la vôtre. En ce qui concerne le concept nuit du Congo, elle se déporte çà et là, est-ce que ce n’est pas une opportunité pour les artistes de notre pays qui vont pour faire valoir l’identité culturelle de notre pays ? Ces artistes qui voyagent et qui ne profitent pas des opportunités que le groupe GPY leur offre n’apportent rien parce qu’ils ne savent pas exploités ses opportunités.

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Signalons qu’avec le concept la nuit du Congo à… le groupe GPY a traversé des océans pour hisser haut le label du Congo sur le plan international.

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