Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
GéoAfriqueMédias.cg

Agence d'Analyse de l'information et de la communication. Contacts: +242053318160//068796301.

CIFE-2021: « Le temps est arrivé où la femme doit impacté les Nations par le potentiel qui est en elle », a déclaré la Prophétesse Patricia YOKA

Publié le 14 Octobre 2021 par André LOUNDA dans Religion

CIFE-2021: « Le temps est arrivé où la femme doit impacté les Nations par le potentiel qui est en elle », a déclaré la Prophétesse Patricia YOKACIFE-2021: « Le temps est arrivé où la femme doit impacté les Nations par le potentiel qui est en elle », a déclaré la Prophétesse Patricia YOKA

« Nous sommes arrivés au temps où la prière ne suffira plus pour déterminer la destinée d’une Nation, ni le parler en langue, la femme est appelée pour la gouvernance des Nations grâce à la prédestination prophétique », c’est ce qui ressort du message prophétique au lancement officiel des travaux de la Conférence Internationale des Femmes Élites (CIFE-2021) par la Prophétesse Patricia YOKA, le 13 octobre 2021 au palais des Congrès de Brazzaville.

C’est par des cantiques d’adoration, de louange et d’action de grâce pour le changement de l’Afrique qu’a débuté le culte de lancement officiel de la CIFE-2021 « Jésus, Jésus, Jésus, tu es élevé au-dessus de tout ». Après avoir souhaité la bienvenue au peuple de Dieu, la modératrice en quelques mots a fait un aperçu historique de la CIFE sur sa vocation et les défis à relever. La CIFE est une plateforme d’échange interactive qui est dédiée essentiellement à la femme, elle est organisée tous les deux (2) ans en collaboration avec le corps du Christ, elle englobe des plénières et des ateliers. Dans sa vocation première, la CIFE aborde l’épineuse question de l’apport de l’élite féminine chrétienne en particulier et de la femme en général dans le développement et la gouvernance des Nations. Et vous êtes sans ignorés que des nombreuses problématiques à relever sont concernant le développement de même que la recrudescence des problèmes socioculturels, la crise des valeurs étant ceci impose un type de gouvernance, ce qui ne peut être possible sans un leadership féminin de qualité dans notre Nation. Les Saintes écritures nous interpellent cela dans le livre des psaumes au chapitre 2, verset 8 qui dit ceci : « Demande-moi et je te donnerai les nations pour héritage, Les extrémités de la terre pour possession».

Ceci est donc, la justification biblique de ce qui est la Conférence Internationale de Femmes Élites, qui est un incubateur de performance qui a pour objectif de pouvoir encourager et d’équiper les femmes à œuvrer efficacement en faveur des Nations, d’amener les femmes à mieux se valoriser et à se valoriser leur destinée ; de lutter contre le présomption d’incompétence et d’être active au développement et relever les défis de sa génération.

De son côté, la Prophétesse Patricia YOKA, la visionnaire, sous les  cris d’acclamations des femmes élites a premièrement bénie le Seigneur pour sa présence cet après-midi et a salué la présence des participants et s’est excusé pour le retard qu’a connu cette rencontre, puis elle a salué la présence des Servantes de Dieu venus de loin pour honorer cette conférence parmi lesquelles la Révérende Pasteur Roselyn ODUYEMI (Nigéria), la Révérende Pasteur ERUMAKA (Nigéria) ; Prophétesse Sissi BOGOLI (RDC) ;la révérende Pasteur Patricia PIEBI (Gabon). Une minute de silence a été observé en mémoire de Évangéliste Gaétan PIEBI du Gabon qui est reparti à la maison du Père en février 2021. Plusieurs autorités ont été saluées pour leur présence en l’occurrence de Son Excellence l’Ambassadeur du Nigéria en République du Congo et de la Secrétaire Permanente du Conseil Consultatif de la Femme, Antoinette KEBI.

Poursuivant, un cantique d’adoration a été entonné, « Oh, oh, oh, oh, je suis à toi, oh, oh, oh, je suis touché, touché par ton esprit ». En quelques mots après avoir couronné le Seigneur pour sa gloire par une prière avant de laisser l’oratrice du jour, la Prophétesse Patricia YOKA est revenue sur la problématique posé de ce soir, puis elle a circonscris le message de Dieu à la femme et sa destinée prophétique. « Femme et Destinée Prophétique des Nations », tiré du livre de Daniel au chapitre 2, des versets 19 à 22 plus précisément les versets 20 à 22, la Bible nous enseigne ceci, il change le temps et les circonstances. Je vois en ce verset celui qui donne la science aux intelligents et la sagesse aux sages. Celui qui établit et renverse les rois. Et elle a entamé le message que Dieu donne à la femme en ce temps de la fin sur le mandat qu’elle a dans la destinée prophétique des Nations,« Vous ne pouvez pas bâtir la nation si vous ne maîtrisez pas les enjeux prophétiques de cette nation, vous ne pouvez pas bâtir une nation si vous n’avez pas le discernement, la révélation de temps dans lequel nous sommes, la révélation de ce que Dieu peut faire dans les nations. Je pense aujourd’hui que la femme est le meilleur instrument que Dieu a choisi, elle est un instrument puissant à la disposition des Nations, des familles », a t-elle rassuré.

Dans son message, elle a soulevé la problématique de la destinée, qu’elle a défini tout simplement, « la destinée, est l’expression d’une puissance souveraine comme venant régler d’avance les circonstances, les situations dans la vie d’un homme, régler d’avance ». « Lorsque on parle de destinée, on pense tout de suite au destin. On ne peut pas parler de destinée sans parler de destin », a-t-elle rappelé.

Aussi, la Prophétesse a défini le destin par ceci : « le destin est un ensemble d’événement composant la vie d’un être considéré comme déterminée de manière irrévocable et indépendante de sa volonté ». Ensuite, elle l’a expliqué que lorsque nous parlons de destinée, le destin, ce sont des choses qui n’ont rien à avoir avec la volonté humaine. La destinée, n’est pas la volonté d’un homme. Elle a déclaré qu’elle a vu dans ce verset que si les érudits reconnaissent le caractère irrévocable de la destinée, des circonstances qui arrivent dans nos vies, cela veut simplement dire que dans le livre de Daniel, Dieu est véritablement, la véritable source de toute circonstance, de tout événement qui contribue à l’accomplissement de son œuvre dans ta vie. La destinée, c’est quelque chose qui est scellée non pas par la volonté des hommes, mais par la volonté du Tout-Puissant. Donc, lorsque quelque chose arrive dans ta vie, tu dois savoir d’où provient cette chose, la Bible déclare que rien ne peut arriver dans notre vie sans que l'Éternel n’on soit l’auteur.

Elle a interpellé le peuple de Dieu et les Serviteurs que les questions liées à la destinée sont des questions importantes qui ont un fondement biblique. « Ne se lève pas qui veut se lever, ne pas mandaté qui ne peut être mandaté, le mandat est divin ». Et lorsque nous parlons de destinée, on ne peut pas se soustraire de la prédestination. Dans le mot prédestination, il y a trois choses : me préfixe pré, qui signifie préétablit avant toute chose, avant la fondation de la création, nous sommes et Dieu contrôle tout ce qui est à nous, toute circonstance de vie. Dans le mot prédestination, vous avez le mot destin et vous avez le mot destiné. Que veut dire destin exactement, est-ce que le destin ne serait pas la matérialisation de la destinée ? Nous sommes appelés à regarder à ces choses et de les comprendre. Avant de conclure, elle a parlé sur les enjeux de la destinée dans une nation. Et elle a lancé un appel aux femmes que nous sommes établis pour le Royaume, nous sommes mandatées prédestinées au sacerdoce. « Le temps est arrivé  où l’Afrique veut se définir par la femme, le temps est arrivé où le mandat divin est accordé à la femme, elle a un impact à jouer dans les familles, dans les nations à la lumière des saintes écritures. La femme n’a pas le droit de se marginaliser face aux défis qui sont conséquents aujourd’hui, elle ne doit pas se mettre en marge, elle doit se lever et bâtir, elle n’est pas un accident de parcours. La femme est la création parfaite de Dieu, elle a son mot à dire, elle doit se lever et impacter véritablement les Nations », a t'elle indiqué.

De sa part, un instrument de bénédictions venu du ciel, la Révérende Roselyn ODUYEMI a  prié pour bénir la Nation congolaise au nom de Jésus-Christ, elle a chassé la COVID-19 brisant les lois spirituelles préétablis en déclarant le jugement de Dieu sur cette pandémie, elle a imploré le sang de Jésus. Puis elle a rappelé que des Nations entières croyaient que l’Afrique serait effacée par cette pandémie parce qu’elle n’avait pas de structures sanitaires appropriées mais, l’Afrique a un Dieu qui a humilié toute ces Nations et le diable sur tout ce qu’ils avaient préparé contre l’Afrique. Pour commencer sa prédication premièrement elle a rendu grâce à Dieu pour le message que la Prophétesse Patricia YOKA a nourri le peuple de Dieu  et elle a déclaré que si nous avons tous écoutés et si nous pratiquons ce que nous avons entendu nos vies ne peuvent jamais rester les mêmes parce que Dieu nous a appelé pour les bonnes œuvres. « Vous êtes la pièce maîtresse ! Ecoutez-moi femmes, Dieu n’a pas créé quelque chose de mieux que la femme. Car, la femme est l’idée de Dieu ; Il t’a appelé, non seulement,  Il t’a prédestiné, Il t’a choisi. Oh femme, Il t’a choisi ! Vous le savez que la plupart des temps, les femmes sont rejetés mais nous avons été choisi par Dieu et Jésus-Christ. Puis, elle a encourager les femmes à se lever pour le bien de la Nation en prenant l’exemple de Jeanne d’Arc qui s’est levée à l’âge de 16 ans pour défendre sa Nation, elle est allée en guerre ». Aussi, elle a parlé sur la guérison premièrement en, s’opposant contre l’esprit de mort. Pour conclure, elle a prié pour les malades.

Au terme de cette rencontre, la Révérende Sissi BOGOLI et le Docteur Aline NGONGO ont à leur tour présenté au peuple de Dieu un extrait de leur message tout au long de la CIFE. Et pour clôturer par une prière dite par le Révérend Eugène NGUEOUYA

 

commentaires

1XBET est toujours au grand rendez-vous des parieurs et n'hésitez pas de vous inscrire

Publié le 14 Octobre 2021 par André LOUNDA dans société

 

Veillez cliquer sur ce lien: http://sportspot.ga/USD/877135/

1XBET est toujours au grand rendez-vous des parieurs et n'hésitez pas de vous inscrire1XBET est toujours au grand rendez-vous des parieurs et n'hésitez pas de vous inscrire
1XBET est toujours au grand rendez-vous des parieurs et n'hésitez pas de vous inscrire1XBET est toujours au grand rendez-vous des parieurs et n'hésitez pas de vous inscrire

 

Inscrivez vous par ce lien: http://sportspot.ga/USD/877135/

1XBET est toujours au grand rendez-vous des parieurs et n'hésitez pas de vous inscrire1XBET est toujours au grand rendez-vous des parieurs et n'hésitez pas de vous inscrire1XBET est toujours au grand rendez-vous des parieurs et n'hésitez pas de vous inscrire
commentaires

Les serviteurs et servantes de Dieu du corps de Christ sont invités à prendre part à la CIFE 2021

Publié le 12 Octobre 2021 par André LOUNDA dans Religion

Les serviteurs et servantes de Dieu du corps de Christ sont invités à prendre part à la CIFE 2021Les serviteurs et servantes de Dieu du corps de Christ sont invités à prendre part à la CIFE 2021

« Femmes et Destinée Prophétique des Nations », ce thème tiré du livre de Daniel au Chapitre 2, des versets 19 à 22 qui stipule qu’Alors le secret fut révélé à Daniel dans une vision pendant la nuit. Et Daniel bénit le Dieu des cieux.20 Daniel prit la parole et dit: Béni soit le nom de Dieu, d'éternité en éternité! A lui appartiennent la sagesse et la force.21 C'est lui qui change les temps et les circonstances, qui renverse et qui établit les rois, qui donne la sagesse aux sages et la science à ceux qui ont de l'intelligence.22 Il révèle ce qui est profond et caché, il connaît ce qui est dans les ténèbres, et la lumière demeure avec lui, constitue la toile de fonds de la 2ème édition de la Conférence Internationale des Femmes Elites (CIFE 2021) qui se tiendra du 13 au 17 octobre 2021 au palais des Congrès de Brazzaville.

Prélude à cette rencontre des femmes de destinée prophétique, une conférence de presse a été animé le mardi 12 octobre 2021 à Brazzaville au cours de laquelle ont pris part les principales oratrices de cet événement parmi lesquelles, la Prophétesse Patricia YOKA, de la Communauté Chrétienne Armée de Victoire, l’Hôte ; du Docteur Aline NGONGO (Congo) ; Prophétesse Sissi BOGOLI (RDC) ; Révérende Pasteur Roselyne ODUYEMI (Nigéria), la Révérende Pasteur ERUMAKA (Nigéria) et la révérende Pasteur Patricia PIEBI (Gabon) ont fixé les objectifs de la CIFE 2021 a savoir : Encourager et équiper les femmes à œuvrer efficacement en faveur de leurs nations ; d’amener les femmes à mieux se valoriser et à se valoriser leur destinée ; de lutter contre le présomption d’incompétence et d’être active au développement et relever les défis de sa génération.

Cette plateforme chrétienne, la CIFE a pour vocation d’apporter la Bonne Nouvelle de Jésus Christ à travers les nations, de sortir les femmes de l’aveuglement spirituel dû à l’ignorance et les fausses doctrines par la réflexion et de partage d’expérience en vue d’une communion au sein du corps de Christ.

De ce fait, les serviteurs et servantes de Dieu des différentes églises et communautés chrétiennes du Congo et d’ailleurs sont invités à prendre part aux ateliers qui débuteront du 14 au 16 novembre 2021 en matinée de 09 heures à 12 heures et aux plénières de 14 heures à 18 heures. La cérémonie d’ouverture aura lieu le mercredi 13 octobre à 14 heures au palais des Congrès de Brazzaville. Et le dimanche 17 octobre 2021 de 14 heures à 18 heures, un culte de l’louange et d’adoration marquera la fin de la 2ème édition de la Conférence Internationale des Femmes Elites (CIFE 2021).

A noter que cette conférence, qui est une biennale et n’a pas d’ailleurs pu se tenir en 2020 pour cause la pandémie à coronavirus, COVID-19 qui continue à sévir à travers le monde, figure désormais parmi les plus grand rendez-vous évangéliques organisé en République du Congo.

 

commentaires

Rosalie MATONDO invite les populations vivant au Congo de participer massivement à la Journée Nationale de l’Arbre

Publié le 11 Octobre 2021 par André LOUNDA dans Economie

Rosalie MATONDO invite les populations vivant au Congo de participer massivement à la Journée Nationale de l’ArbreRosalie MATONDO invite les populations vivant au Congo de participer massivement à la Journée Nationale de l’Arbre

« J’achète un plant de qualité à la Foire pour contribuer aux efforts de création de puits de carbone. J’achète mon plant et je participe à la Journée Nationale de l’Arbre (JNA) », constitue le thème de la 5ème édition de la Foire aux Plants, du 11 octobre au 30 novembre 2021 en République du Congo. Placée sous le patronage de Madame Rosalie MATONDO, Ministre de l’Economie Forestière en présence d’Antoine Nicéphore Thomas FYLLA de Saint Eudes, Ministre du Développement Industriel et du Secteur Privé ; d’Hugues NGOUOLONDELE, Ministre de la Jeunesse, des Sports, de la Formation Qualifiante et de l’Emploi ; de Jacqueline Lydia MIKOLO, Ministre des Petites et Moyennes Entreprises et de l’Artisanat. Fédérer la filière des producteurs des plants forestiers, fruitier et ornementaux…etc., autour d’un évènement commun de valorisation de la production locale auprès du grand public ;es objectifs que visent cette foire ; aider à pailler la problématique d’approvisionnement en plants de qualité, pour permettre aux citoyens congolais de participer à la Journée Nationale de l’Arbre (JNA) ; promouvoir et de faire connaître la diversité et la qualité du travail fournit par les pépiniéristes et les circuits d’approvisionnement, sont les objectifs  que visent cette Foire.

La cérémonie de lancement y relative a connu a été ponctué par la présentation technique de la 5ème édition de la Foire aux Plants par le Coordonnateur par intérim du Programme National de Reboisement (ProNAR) ; de l’Allocution de circonstance de Madame le Ministre de l’Economie Forestière ; la coupure du ruban symbolique par cette dernière et de la visite des stands d’exposition-vente.

« La 5ème édition de la Foire aux plants, que nous lançons, sous le thème« J’achète un plant de qualité à la Foire pour contribuer aux efforts de création de puits de carbone. J’achète mon plant et je participe à la Journée Nationale de l’Arbre (JNA) », nous interpelle tous à l’attente de ce double objectif, du reste de portée nationale, et qui sera capitalisé dans le message que portera notre champion de la gestion durable, Son Excellence Monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat. C’est pourquoi, en cette circonstance solennelle, je lance un vibrant appel à toutes les congolaises et tous les congolais, ainsi qu’à tous les étranger résidents, de venir nombreux visiter la foire aux plants et de s’approvisionner massivement en plants forestiers et fruitiers de qualité, correspondant à leurs besoins, afin de participer effectivement à la 35ème édition de la Journée Nationale de l’Arbre, le 06 novembre 2021. Me référant au répertoire des espèces qui sont exposées en ces lieux, je puis vous rassurer, Mesdames, Messieurs, que même les goûts les plus délicats y trouveront gain de cause », a déclaré Rosalie MATONDO.

Aussi, elle a invité tous ses collaborateurs en charge de la gestion quotidienne de cet événement, de créer les conditions optimales d’intensification de la communication autour de la Foire aux plants, en insistant sur le fait que dans le contexte actuel de diversification de l’économie et de promotion des paiements pour services écosystémiques, le planting des arbres forestiers et fruitiers, constitue indéniablement une activité économique aux bénéfice multiples, dès lors qu’il procure à terme des revenus substantiels, notamment à travers la vente des produits qui en seront issus ainsi que les crédits carbone générés par ces plantations. La mise en œuvre imminente des projets respectivement du Groupe TOTAL Energies dans la Réserve foncière de l’Etat sise à la Léfini, sur 40.000 hectares, et les 14.000 hectares de plantations forestières et agroforestières à réaliser dans cinq département de notre pays dans le cadre du PREFOREST financé par le FONDS Vert pour le Climat, sont autant des exemples qui confortent l’option de vente de crédits carbone issus des plantations forestières et agroforestières dans notre pays.

Poursuivant son propos,  aux exposants avant de déclaré ouverte la 5ème édition de la Foire aux Plants, elle leur a exhorté que durant deux mois, vous aurez à accueillir du monde, à échanger avec de nombreux visiteurs venant de divers horizons. Saisissez donc cette unique occasion pour sensibiliser le plus grand nombre sur les vertus des plantes que vous produisez et exposez sur leur utilité, sur les bénéfices que l’on peut tirer de leur utilisation sur les précautions à prendre afin qu’ils expriment leur plein potentiel en milieu naturel. Je vous exhorte donc à donner le meilleur de vous-même dans cet exercice, certes délicat, mais exaltant.

De sa part, François MANKESSI, le Coordonnateur par intérim du ProNAR lors de la présentation de la Fiche technique a premièrement fixé les objectifs que vise cette foire aux plants, les activités à mener qui consistent à l’organisation des conférences-débats autour des problématiques de production des plants et de connaissances ancestrales des espèces végétales ; l’organisation des visites guidées au profit des élèves et étudiants ainsi que la démonstration des techniques de production des plans forestiers. Les localités retenues et lieux sont les suivants : à Brazzaville, le Ministère de l’Economie Forestière ; Oyo, dans l’enceinte de la Mairie d’Oyo ; Pointe Noire, la Cour de la Chambre de Commerce ; Dolisie au siège du Conseil Départemental du Niari et à Kinkala, la place Matsoua dans l’enceinte de la Préfecture. Dans ces endroits vous y trouverez des plants forestiers tels que le Colatier, l’Acacia melifera, l’Acacia Sénégal, l’Acacia sp, Bambou, Baobab, Cassia sianmea, E.PFI, Eucalyptus citriodora, Eucalyptus torelina, Fromager, Hévéa et des espèces suivants : le Kambala ; Ladolphia, Leucena, Limba, Moussenkeni, Padouk, Pao rose, Petit-Cola, Pins, Sapelli, Teck, Terminalia, Wengué dans le total des plants forestiers s’élève à 32.226. En ce qui concerne les Fruitiers vous y trouveriez le Cocotier, Corossolier, Mandarinier, Oranger, Citrus sp, Anarcadier, ; Avocatier, Badamier, Bananier, Barbadilles, Barbadinier, Bilimbi, Cacaoyer, Cachiman, Caramboliers, Cérisiers, Citrange Carizo, Citronnier, Datiers, Figuiers, Fraisiers, Fruit – pain, Goyavier, Grenadine, Grenadinier, Jacquiers, Lime de Tahiti, Limettes, Litchi, Longhio Rouge, Longui rouge, Madarinier, Mangoustanier, Manguier, Melon, Muriers, Neflier, Noisettiers, Palmier à huile, Palmier areaka, Palmiers, Palmiers dattiers, Palmiers Pricardia, Palmiers Terena, Pamplemoussier, Papayer, Pitchecellobium dulce, Pomme sauvage, Ramboutaniers, Romarin, Safoutier, Sansiveria, Tamarinier, Vigne, Vignes blancs (raisin blanc), Vignes rouges (raisin rouge). Au total général de 121.149 plants fruitiers. Et pour les ornementaux, vous aurez l’Alamanda géant, Alamanda nain, Flamboyant nain, Kactus, Terminalia mantaly, Mimosa, Pachira, Pissentlit, Potece lebûm, Quassa, Tecomaria, Vetiver. Au total général de 10.375 plants.

A noter que la Foire aux Plants, cette plateforme « des mains vertes » a été lancé pour la première fois, le 03 novembre 2017, et elle constitue un maillon important de la chaîne des points d’approvisionnement en plants de qualité et dont la vocation est d’offrir à chaque citoyen l’opportunité d’accélérer à un plant de son choix à planter à l’occasion de la Journée Nationale de l’Arbre, que le Congo célèbre le 06 novembre de chaque année, et de s’approvisionner en plants nécessaires pour réaliser un projet personnel de plantations forestières et agroforestières, valorisables ç terme, entre autres, aux fins de générations de crédits carbone.

Rosalie MATONDO invite les populations vivant au Congo de participer massivement à la Journée Nationale de l’Arbre
Rosalie MATONDO invite les populations vivant au Congo de participer massivement à la Journée Nationale de l’Arbre
commentaires

In memoriam: Jean ITADI déplore la disparition de deux grands tenors de l'Opposition congolaise

Publié le 9 Octobre 2021 par André LOUNDA dans société

In memoriam: Jean ITADI déplore la disparition de deux grands tenors de l'Opposition congolaiseIn memoriam: Jean ITADI déplore la disparition de deux grands tenors de l'Opposition congolaise
Le Congrès Africain pour le Progrès (CAP) pleure depuis quelques jours ses deux Vice-présidents, Dominique Nimi MADINGOU et Christophe MOUKOUEKE, décédés respectivement le  23 septembre à Paris, en France, et le 30 septembre à Brazzaville. Au cours d’une interview qu’il nous accordée, le 07 octobre 2021 à Brazzaville, le Président du CAP, Jean ITADI, revient sur ce double choc que son Parti a subi.

Question : Bonjour Président ! Pouvez-vous, vous présenter pour nos lecteurs et téléspectateurs en ligne?

 

Jean ITADI : Bonjour! Vous savez qu’on m’appelle ITADI. C’est le nom que mon père m’a donné. Je suppose que vous connaissez qui je suis.

 

Question : Président, vous avez perdu un membre influent de l’opposition congolaise qui est un cadre au niveau de votre parti. Vous qui l’avez côtoyé, quelle est votre pensée pieuse à son égard ?

 

Jean ITADI : Je viens de perdre, coup sur coup, dans un intervalle d’une semaine, deux vice-présidents de mon parti : le camarade Christophe MOUKOUEKE, ancien Ministre et le camarade Dominique Nimi MADINGOU aussi. Ces deux vice-président du parti, comprenez que ce n’est pas un moment de piété passé comme ça. J’ai pour les deux, des douleurs d’avoir perdu mes camarades. J’ai eu pour les deux une amitié très longue. Et qu’est-ce que je peux dire ?  Le CAP perd, le Congo perd parce l’un et l’autre était une grande figure. Ils ont servi la République. Donc c’est un moment de douleurs.

 

Question : Vous avez marché ensemble avec lui, quel est votre plus grand souvenir envers Christophe ?

Jean ITADI: J’en ai beaucoup. Christophe MOUKOUEKE est dans le parcours qu’il a eu. Je suis son Jean ITADI déplore la disparition de deux grands ténors de l’Opposition Congolaise

Le Congrès Africain pour le Progrès (CAP) pleure depuis quelques jours ses deux Vice-présidents, Dominique Nimi MADINGOU et Christophe MOUKOUEKE, décédés respectivement parrain de mariage. En dehors du parcours politique parce qu’avec Christophe MOUKOUEKE nous avons été dans tous les combats. Ensemble, on est acteur de ce qu’on appelle dans ce pays,  le 5 février 1979. Ensemble, nous sommes acteurs de ce qu’on appelait la lettre ouverte qui a déclenché le processus démocratique. Ensemble, nous sommes les cofondateurs de l’UMDP. Ensemble, nous sommes les deux vice-présidents de l’UPADS, le parti qui a emmené Pascal LISSOUBA au pouvoir. Ensemble, nous sommes les fondateurs du CAP. Il y a des liens personnels et politiques. C’est une partie de moi qui s’en va. Les souvenirs, y’en a tellement. Aussi bien privé que public ; aussi personnel que politique. Aussi bien de joie avec des victoires qu’on a eues. On a été les compagnons de de Pascal LISSOUBA qui est devenu président de la République. Il y a aussi des moments de douleurs bien sûr. Nous avons connu l’exil l’un et l’autre ; on a connu les privations l’un et l’autre. Nous avons connu le malheur y compris le départ de Pascal. J’en ai connu encore avec le départ de Christophe MOUKOUEKE et de Dominique Nimi MADINGOU. J’ai les souvenirs de tout genre mais dans les moments de douleurs, c’est ce qui est plus intimes. C’est ce qui lui a emmené de me choisir comme témoin de mariage pourtant je suis son cadet en âge. Je me souviens, à cette époque-là, je n’avais que 27 ans. Je me souviens des propos du Premier  Ministre, Louis Sylvain NGOMA qui dit : Christophe, comment peux-tu choisir un petit comme ça comme parrain ?

 

Question: Et dans son parcours politique, quels sont les meilleurs moments ?

 

Jean ITADI : Pour ce qu’il a été au PCT, président de la commission de contrôle et d’évaluation, secrétaire du PCT en charge de la presse et de la propagande. Pour ce qu’il a servi la République comme Ministre, pour ce qu’il a été le vice-président de l’UPADS, le parti qui a emmené Pascal LISSOUBA au pouvoir. Dans tout cela, qu’est-ce que l’on peut dire ? Si je choisis les moments qu’il a passé avec moi, je me fais plaisir à moi-même. Mais Christophe a été excellent par des différents moments de son histoire. Les Congolais retiendront, même si ce n’est pas récent en politique, on le sait, la reconnaissance n’est pas de ce monde. Mais les Congolais reconnaitront que dans le parcours de ce pays, Christophe a accompli sa part de travail.

 

Question : Un dernier mot ?

 

Jean TADIi : C’est de vous remercier pour l’attention que vous prêtez à mes camarades, à Christophe et à Nimi MADINGOU. Merci de me sortir, un peu de ce que j’appelle moi-même, mon monde de Si. Puisque comme Tiber, je suis dans un monde et me sortir de ces moments de douleurs en ayant l’occasion de travailler avec vous. Mais évoquer un grand homme est une situation très difficile.

A titre de rappel dans ses envolées oratoires, le Président LISSOUBA avait déclaré comme suit: "Si nous n'y prenions pas garde, nous serons tous effacés". Cette classe politique avait des enjeux de taille pour l'Afrique en général et en particulier pour le Congo entre autres, la démocratie et le développement économique ainsi que les défis des Innovations technologiques, c'est ce qui résume le slogan de l'UPADS: "le défi d'un continent, l'espoir d'une génération" et c'est cette génération qui est entrain de partir sans atteindre le but du combat qu'elle menait.

A noter que Christophe MOUKOUEKE, né le 25 avril 1939 à Mvouti dans le Département du Niari décédé à 82 ans le 29 septembre 2021 à Brazzaville homme politique congolais, cofondateur du Parti congolais du travail (PCT), Député de Mabombo, dans le département de la Bouenza., plusieurs fois ministre et Secrétaire général de l'Union Panafricaine pour la Démocratie Sociale (UPADS), le parti du Président Pascal LISSOUBA.

Ce grand homme de combats et de convictions,  souhaitait être candidat aux élections  présidentielles de 2009, mais malheureusement, il ne peut se présenter pour cause de limite d'âge. Il expose son projet de reconstruction de la République du Congo dans son ouvrage «Le Congo d'après-guerre (1997-2000), Défis majeurs et nécessaires mutations ». Il y préconise entre autres la réconciliation nationale, la restauration et l'approfondissement de la démocratie, la décentralisation, la réforme industrielle ainsi qu'une révolution éthique et morale.

Après maintes tentatives de réconciliation au sein de l'UPADS à la suite des querelles de positionnement, Christophe MOUKOUEKE avec certains ténors de l'UPADS entre autres Victor TAMBA-TAMBA , Jean ITADI, Nimi MADINGOU et Arsène TSATI MBOUNGOU vont définitivement tourner la page de ce Parti pour la création d'une nouvelle formation politique, le Congrès africain pour le progrès (CAP). Cette nouvelle structure, qui ne se départ en rien des idéaux essentiels du professeur Pascal LISSOUBA, a pour emblème fondamental la noix de palme et semble parfaitement ancrée dans l'opposition congolaise.

C’est au début des années 70 que Christophe MOUEKE, enseignant de carrière, fait partie des jeunes loups du Parti congolais du travail. Tous ceux qui l’ont connu à cette époque gardent de lui le souvenir d’un homme ouvert, disponible et travailleur. Après le travail, le réconfort, dit-on trivialement. Bon vivant, il a ses entrées dans les concerts des Bantous de la capitale où il était une figure familière. Il fut nommé ministre de l’Enseignement primaire et secondaire le 16 décembre 1971. Il y fit la preuve de ses qualités de grand clerc de l’État. Après une trêve ministérielle, il retrouve le gouvernement le 9 janvier 1975 en qualité de ministre de l’Information. Voilà un homme que la politique n’avait pas changé. Il avait su garder son habituel entregent. Pendant plus de deux décennies, à différents postes de responsabilité, il est au firmament de la politique dans notre pays, jusqu’à un passage à vide qui ne dura pas longtemps, heureusement pour lui.

La Conférence nationale, dont il fut l’un des instigateurs acharnés, lui donna l’occasion de rebondir. En politique, on n’est jamais définitivement perdu. Très vite, dans une démocratie en gestation où chacun cherchait ses marques, il se retrouva en définitive dans l’UPADS, le parti du professeur Pascal LISSOUBA. Il en devint le secrétaire général.

Politiquement, il ne fut pas exempt de critiques. Et certains de ses propos le classèrent dans le camp des « durs » sous le régime du président LISSOUBA. Dans le feu de l’action, ceux qui agissent se trompent parfois. Absolution, s’il en est.

Son destin bascula avec la guerre du 5 juin 1997. Il prit avec d’autres compatriotes la route de l’exil. Il y a un temps pour se battre, il y a un temps pour se réconcilier. Tous ceux qui étaient en exil purent rentrer au Congo. Christophe MOUKOUEKE revint au pays et se fit élire, dans la foulée, Député de la circonscription de Mabombo en 2007.

Christophe MOUKOUEKE, Vice-Président du CAP est parmi les hommes ayant marqué l’histoire politique du Congo. Il a été maintes fois Commissaire Politique du Gouvernement, poste équivalent actuellement à celui du préfet de département.  C’est ainsi que le vendredi 2 mai 2014, le journaliste et historien MFUMU lui consacrait, dans sa rubrique « Brin d’histoire » paraissant dans « Les Dépêches de Brazzaville », une tribune aux allures dithyrambiques.

« Au début des années 1970, Christophe MOUKOUEKE, enseignant de carrière, fait partie des jeunes loups du PCT. Nos destins se sont croisés alors qu’il était directeur du collège Javouhey à Brazzaville. J’y ai passé trois mois en qualité d’élève et de président de l’Union générale des élèves et étudiants congolais sous son encadrement bienveillant. Tous ceux qui l’ont connu à cette époque gardent de lui le souvenir d’un homme ouvert, disponible et travailleur. Après le travail, il a ses entrées dans les concerts des Bantous de la capitale où il était une figure familière. Il fut nommé ministre de l’Enseignement primaire et secondaire le 16 décembre 1971. Il y fit la preuve de ses qualités de grand clerc de l’Etat. Je perdis avec son départ le parapluie qui faisait de moi un personnage important dans ce collège », écrivait MFUMU.

De l’autre côté en France selon les témoignages, «  la disparition du Ministre Dominique Nimi MDINGOU est une perte inestimable pour la nation congolaise. Elle crée, en notre sein, nous, ses Associés, un vide immense. Des Associés, dont est Nimi MADINGOU lui-même, qualifiés, comme tels, pour symboliser l’unité d’action des différents corps, toutes origines confondues, autour du Président Pascal LISSOUBA, en vue de la réussite de son mandat populaire. Passionné des questions pétrolières dont il avait la maîtrise, ce qui lui ouvre l’accès à la société nationale des hydrocarbures Hydro Congo, Mr Dominique Nimi MADINGOU croyait en la puissance du pétrole et du gaz qui dit il « sont indispensables à l’économie mondiale et constituent un secteur d’industries très porteur ».

Malgré une volonté des pays modernes de recourir à des énergies plus vertes, Dominique Nimi MADINGOU affirmait que les hydrocarbures constituaient encore des ressources massivement demandées. Dans ce domaine pétrolier,  Dominique Nimi MADINGOU cumulait des compétences. Tels que le marketing, les méthodes de recherche, les enjeux contemporains du pétrole et du gaz. A Hydro Congo, de par ses fonctions, Dominique Nimi MADINGOU avait le sens de l’adaptation qui lui permettait de se frotter avec des opérateurs du monde pétrolier mondial, la prudence qu’on lui reconnait aidant.

Parvenu au gouvernement de la République, Dominique Nimi MADINGOU, Ministre de la Ville, travaillait à des politiques publiques d’aménagement des territoires urbains, à la conservation environnementale, au logement social et au transport.

Ouvert, de grande culture, rationnel et d’esprit mathématique, le Ministre Nimi MADINOU allait  sans complexe, à la rencontre des Ministres dont les prérogatives avoisinaient les siennes, dans le cadre de la mise en œuvre de son programme. Une qualité appréciée.

Aimant manipuler l’ordinateur, ce dernier s’attachait à comprendre les phénomènes et résoudre des situations y afférentes. De même qu’il affectionnait persuader ses interlocuteurs pour les amener à sortir de leurs préjugés, en cas de besoin.

 Mis en mission par le Premier Ministre Jacques Joachim Yhombi OPANGO, le Ministre Dominique Nimi MADINGOU avec son collègue de la Justice  à l’époque, ils se sont rendus, en hélicoptère, sur le territoire du district de la ville secondaire de Mpouya, en bordure du fleuve Congo, aux fins de détruire les plantations du cannabis. Le cannabis, une fois bien sec, la plante s’effrite pour être consommée comme du tabac, avec les conséquences néfastes pour la santé des populations, telle l’altération des récepteurs des cellules du cerveau. Dans une pathétique séance de pédagogie, demeurée historique, le Ministre Dominique Nimi MADINGOU a présenté les effets dévastateurs du cannabis, en milieu scolaire et paysan. Exigeant des chefs des villages qu’il soit procédé à l’incendie des étendues couvertes de cette plante nocive et à leur reconversion en espaces de culture de manioc ou à d’autres plantes sans danger. Une véritable réussite saluée par le conseil des Ministres. D’autant plus qu’une délégation de vérification a confirmé l’exécution des consignes du Ministre Dominique Nimi MADINGOU

Homme politique,  Nimi MADINGOU l’a été également. Par fidélité pour le Président Pascal LISSOUBA, il participe à la création de l’UPADS. Deviendra membre de la direction de ce Parti jusqu’aux violences de juin 1997. Contribuera à la relance de l’UPADS au congrès extraordinaire de 2006. En sortira l’un des Vice-Présidents. Puis se retirera pour créer, avec d’autres compagnons du Président Pascal LISSOUBA, le Congrès Africain Pour le Progrès (CAP). Au moment où  ce dernier trouve la mort, il s’était placé dans une posture progressiste de rassemblement des forces éparpillées de l’UPADS, suite à des dissensions ou autres volontés de refus de se mêler à la forme actuelle de l’UPADS.

 

 

commentaires

1XBET, une occasion en or pour devenir riche, n'hésitez pas de s'engager

Publié le 8 Octobre 2021 par André LOUNDA dans société

Cliquez sur ce lien pour vos paris: http://sportspot.ga/USD/877135/

 

1XBET, une occasion en or pour devenir riche, n'hésitez pas de s'engager1XBET, une occasion en or pour devenir riche, n'hésitez pas de s'engager
1XBET, une occasion en or pour devenir riche, n'hésitez pas de s'engager1XBET, une occasion en or pour devenir riche, n'hésitez pas de s'engager1XBET, une occasion en or pour devenir riche, n'hésitez pas de s'engager
1XBET, une occasion en or pour devenir riche, n'hésitez pas de s'engager1XBET, une occasion en or pour devenir riche, n'hésitez pas de s'engager

N'hésitez pas cliquez sur ce lien: http://sportspot.ga/USD/877135/

1XBET, une occasion en or pour devenir riche, n'hésitez pas de s'engager1XBET, une occasion en or pour devenir riche, n'hésitez pas de s'engager
1XBET, une occasion en or pour devenir riche, n'hésitez pas de s'engager1XBET, une occasion en or pour devenir riche, n'hésitez pas de s'engager
1XBET, une occasion en or pour devenir riche, n'hésitez pas de s'engager1XBET, une occasion en or pour devenir riche, n'hésitez pas de s'engager

Cliquez sur ce lien et gagner: http://sportspot.ga/USD/877135/

1XBET, une occasion en or pour devenir riche, n'hésitez pas de s'engager1XBET, une occasion en or pour devenir riche, n'hésitez pas de s'engager1XBET, une occasion en or pour devenir riche, n'hésitez pas de s'engager
commentaires

Les Coordonnateurs des projets financés par la Banque Mondiale au Congo en échangé avec Madame Ingrid Ghislaine Olga EBOUKA-BABACKAS,

Publié le 8 Octobre 2021 par André LOUNDA dans Economie

Il s’est tenue du 22 au 23 juin dernier, à Brazzaville la dernière revue annuelle du portefeuille des projets financés par la Banque Mondiale en République du Congo en présence d’un large public mais aussi surtout des ministres sectoriels concernés par  la mise en œuvrer desdits projets. Des recommandations issues de ces travaux prônaient entre autres : des rencontres permanentes entre les Coordonnateurs des projets, d’une part  et le Gouverneur des projets d’autre part afin de remédier à certaines faiblesses constatées et liées au manque de redevabilité de l’information auprès des ministres sectoriels. C’est dans ce contexte que s’est tenue à juste titre, le jeudi 07 octobre 2021, au Ministère de l’Economie, du Plan, de la Statistique et de l’Intégration Régionale à Brazzaville, la réunion des Coordonnateurs des 15 projets financés par la Banque Mondiale en République du Congo.

A cet effet, en raison des contraintes gouvernementales, placée sous le patronage de Madame Ingrid Ghislaine Olga EBOUKA-BABACKAS, Ministre de l’Economie, du Plan, de la Statistique et de l’Intégration Régionale, Gouverneur de la Banque Mondiale pour la République du Congo, dans son mot de circonstance a donné quelques orientations qui s’imposent au cours de cette première réunion de prise de contacts avec ces derniers avant de lever la séance.

« La dernière revue annuelle du portefeuille des projets financés par la Banque Mondiale en République du Congo, s’est tenue du 22 au 23 juin 2021, à Brazzaville en présence d’un large public mais aussi surtout des ministres sectoriels concernés par  la mise en œuvrer desdits projets.

Cette dernière édition fut véritablement un succès eu égard au taux de participation de mes collègues et à leur forte implication dans les débats. En effet, en réaction à vos brillants exposés, ils ont chacun en ce qui le concerne formulé diverses recommandation dont la plus récurrente ; améliorer l’obligation de redevabilité incombant au coordonnateur au profit de la tutelle », a-t-elle rappelé.

 Poursuivant son propos elle a rassuré les coordonnateurs des projets sur le rôle qu’elle doit jouer maintenant comme point focal, « Si l’exercice de cette obligation de redevabilité a été pointé du doigt et admise comme faiblesse majeure à corriger, j’ai promis d’être en première ligne l’artisan du changement attendu. C’est ainsi que cette dernière rencontre a été le lieu de mon engagement de contribuer à faciliter cette redevabilité en renforçant la passerelle existante entre le Gouverneur de la Banque Mondiale pour la République du Congo, point focal de tous les ministères et les premiers responsables des unités de gestion des projets. De quelle manière ? Par des rencontres régulières permettant d’apprécier le déroulement de l’exécution des projets à travers votre mise à jour de l’information et l’expression de vos préoccupations ».

Par ailleurs elle a rassuré les Coordonnateurs que notre première séance a connu de nombreux report, fort heureusement, ce jeudi 07 octobre, je peux enfin mettre sur sa rampe de lancement le cadre de nos rencontres futures ; l’objectif est de parvenir à réunir une majorité de coordonnateurs pour donner à chacun l’opportunité de s’exprimer directement et de consacrer à cet exercice le délai nécessaire à l’interactivité. Le portefeuille actif de projet comporte 15 accords de financement dont les activités bien menées contribuent à la réduction du taux de pauvreté à travers le renforcement des capacités, l’amélioration de l’inclusion sociale notamment dans les secteurs de l’agriculture, du développement communautaire, de l’éducation, de l’électricité, de la santé, du transport, etc.

Pour conclure, Madame Ingrid Ghislaine Olga EBOUKA-BABACKAS, après avoir écouté les doléances de ces derniers sur les difficultés qu'ils rencontrent au cours de l'exécution des projets, elle a indiqué qu’au cours de nos rencontres, qui seront des moments favorables d’analyser l’état d’avancement des projets, d’identifier leurs difficultés, leurs forces et leurs faiblesses constaté dans leur mise en œuvre afin de vous aider à mieux les surmonter et vous sortir des situations de fragilité. La performance du portefeuille jugée moyennant « satisfaisante », en général lors de la revue dernière devra enregistrée une évolution nette grâce à la régularité de nos séances de travail, la qualité de nos échanges et la restitution aux ministres de tutelle.

Signalons qu’au terme de cette rencontre le prochain rendez-vous est  pris pour avant la fin de l’année, Madame Ingrid Ghislaine Olga EBOUKA-BABACKAS, leur a invité à donner le meilleur d’eux-mêmes pour assurer une bonne gouvernance des projets afin que l’amélioration de la qualité de vie des citoyens soit une réalité telle que souhaitée par le Président de la République, Chef de l’Etat, dans son projet de société « Ensemble poursuivons la marche ».

 

commentaires

Les Experts de l’Agence Universitaire de la Francophonie (AUF) sont en conclave à Brazzaville

Publié le 6 Octobre 2021 par André LOUNDA dans Education

La Commission Régionale des Experts d’Afrique Centrale et des Grands Lacs, ce regroupement des experts est en réunion du 05 au 07 octobre 2021 à Brazzaville. La cérémonie d’ouverture y des travaux a été présidée par le Vice-président de l’Université Marien NGOUABI, représentant le Pr Gontran ONDZOTO empêché en présence du Pr Jacques ETAME, Président de la Commission Régionale d’experts et du Pr Yolande Berthon OFOUEME, Vice-président de la Commission d’experts.

La cérémonie y relative a été ponctué par le discours en virtuel de Madame Aïssatou SY-WONYU, Directrice Régionale de l’AUF, de l’Allocution du Pr Jacques ETAME et du discours d’ouverture au nom du Président de l’UMNG.

« L’ensemble des recommandations que nous allons formuler viendront donc enrichir et soutenir le plan d’action 2021-2022. Cette réunion qui se tient au lendemain de la conférence de la francophonie. Ici, nous allons élaborer les différents thèmes qui évoquent les enjeux du domaine de la santé et des sciences et techniques. Cette réunion qui se tient à Brazzaville pendant deux jours les 05 et 07 octobre 2021 portera sur l’appel d’offre international AUF COVID-19 dans sa version numéro 2. Ensuite, nous aborderons l’appel à candidature pour le programme de mobilité sur l’étude de l’AUF et le progrès dans les sciences environnementales et nous terminerons donc à l’examen et la validation des rapports des projets structurés tout en tenant compte des disposition prise par l’ensemble des participants », a fait savoir le Pr Jacques ETAME.

De son côté ouvrant les travaux au nom du Président de l’UMNG, le Vice-président a déclaré que nous sommes très reconnaissant à la direction régionale et au Président de la CRE pour leur soutiens multiformes. A cette occasion, j’aimerais solennellement évoquer les nombreuses initiatives de soutien des équipes de recherche qui ont eu lieu durant ces dernières années avec l’Agence Universitaire de la Francophonie, entre autres les projets du Professeur Raymond ELENGA, du Docteur Guy MOUKANDI et de moi-même qui vous parle.

Poursuivant son propos, il a fait savoir aux experts que nous avons donc la chance de bénéficier de l’appui d’un grand réseau. Comme vous le savez, toute une série de réformes sont mises en place par le grand réseau AUF. Notre Alma mater en serai particulièrement bien placé et intéressant de connaître les priorités et les évolutions de plusieurs acteurs locaux, régionaux et internationaux. Ce qui est merveilleux avec l’AUF, c’est la perspective internationale que notre établissement apporte à cette réunion.

« J’espère sincèrement que vous saurez apprécier la convivialité, l’hospitalité et le réseautage de ces trois (03) journées de rencontre », a lancé le Vice-président de l’UMNG avant de déclaré ouvert les travaux de la réunion d‘experts avec un grand honneur.

A noter qu’au cours de cette rencontre, les experts examineront minutieusement l’appel d’offre international de l’AUF sur la COVID-19 et les appels à candidature.

 

 

commentaires

COP 26 : Un nouvel élan pour le Congo, mais encore plus d’enjeux dans les négociations.

Publié le 5 Octobre 2021 par André LOUNDA dans Environnement

Au cours de la COP 26, nous devons mettre en marche des nouveaux programmes, c'est ce qui est ressorti lors de la conférence de presse relative à la participation du Congo à la COP 26 que Madame Arlette Soudan NONAULT, Ministre de l’Environnement et du Bassin du Congo  a animée le 04 septembre 2021 à Brazzaville dans la cadre de la  préparation à la cruciale conférence mondiale sur le climat (COP 26) qui se tiendra à Glasgow  en Écosse le mois de novembre prochain.

« Mes dames et messieurs des médias, placé sous le Très Haut patronage de Son Excellence Monsieur Dénis SASSOU N’GUESSO, Président de la Commission Climat du Bassin du Congo, il a été représenté par Monsieur Anatole Collinet MAKOSSO, Premier-ministre, Chef du Gouvernement, s’est tenu le 30 septembre 2021 par visioconférence le 2ème Sommet des Chefs d’État et de Gouvernements des pays membres de la Commission Climat du Bassin du Congo et du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo. Au cours de leur réunion tenue le 29 septembre 2021 prélude au sommet proprement dit et nous les ministres, nous avons analysé au cours de leur réunion tenue le 29 septembre 2021, les ministres membres de la Commission Climat du Bassin du Congo et du Fonds Bleu du Bassin du Congo, nous avons donc analysé les questions fondamentales pour l’opérationnalisation du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo. Après consensus, nous avons donc décidé de porter à l’attention des Chefs d’État et de Gouvernements pour approbation, le plan d’investissement, le mécanisme financier et le schéma de gouvernance du Fonds Bleu du Bassin du Congo, le choix porté sur la Banque de Développement des États d’Afrique Centrale (BDEAC) comme banque de développement sélectionné pour la gestion de la ligne de financement du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo. Et en outre, nous avons instruit nos équipes de la coordination que je porte également de finaliser le plaidoyer de notre communication de notre commission climat menant un plaidoyer en terme d’image de marque du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo avant donc la COP 26 qui se tiendra à Glasgow du 31 octobre au 12 novembre 2021 avec un outil performant de communication. Et enfin , le 30 septembre 2021, a eu lieu le Sommet des Chefs d’État et des Gouvernements de la Commission Climat du Bassin du Congo (CCBC) au cours duquel les Chefs d’État et de Gouvernements ont approuvé le plan d’investissement ; le mécanisme de financement et le schéma de gouvernance du Fonds Bleu du Bassin du Congo. Les Chefs d’État et de Gouvernement ont également approuvé le choix de la Banque des États de l’Afrique Centrale (BDEAC) retenue pour l’ouverture et la gestion du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo et ils ont également constaté que le Fonds Bleu pour le Bassin du Congo est prêt pour un financement ». Ses propos ont constitué la toile de fonds de la conférence de presse que Madame Arlette Soudan NONAULT

Comme vous le savez, la Conférence des Parties à la Convention Cadre des Nations Unies sur les Changements Climatiques est un rendez-vous mondial qui réunit chaque année dans l’un des  pays membres à la Convention, les Chefs d’État et de Gouvernement, les Représentants des Organisations sous régionales, régionales et internationales, des Organismes du Système des Nations Unies, des Organisations de la Société Civile et du Secteur Privé, des Médias, ainsi que les des Observateurs. Cette année, la 26ème Conférence des Parties à la Convention Cadre des Nations Unies sur les Changements Climatiques (CCNUCC), se déroulera du 31 octobre au 12 novembre 2021 à Glasgow en Écosse. A cette occasion, les États signataires de l’Accord de Paris doivent réévaluer leurs engagements de réduction d’émission de gaz à effet de serre. Une promesse difficile à tenir compte tenu des obstacles imposants à surmonter. Le Bassin du Congo, deuxième poumon écologique mondial, réserve cruciale de biodiversité et premier puits de carbone grâce à ses tourbières récemment découvertes dans la Cuvette centrale, intéresse de plus en plus les États-Unis d’Amérique souhaitent accompagner le Congo dans ses politiques de préservation de ce patrimoine naturel. Et Il y a trois bassins les plus importants au monde, l’Amazonie, du Mékong, mais le Bassin du Congo est très important. Au cours de la COP 26, nous devons mettre en marche des nouveaux programmes », a déclaré Soudan NONAULT.

Tout le monde a compris que Glasgow marquera une étape critique pour établir l’ambition de cette décennie décisive, c’est ce qui n’a pas échappé au regard vigilant d’Arlette Soudan NONAULT avec des idées très constructives, conformément aux attentes du  Fonds Bleu du Bassin du Congo, la gestion des tourbières et des projets innovants qui en découlent qui seront soumis à Glasgow en Écosse dans les tous prochains jours. Et avec un  vrai sens de l’urgence, au cours de cette conférence de presse elle  a  dégagé la responsabilité  du Congo pour  préserver ses forêts et les tourbières pour l’intérêt de la planète, le Congo est un poumon écologique, un consensus sur le fait que nous devons faire davantage pour qu’il soit possible de limiter le réchauffement climatique  à 1,5 °C. Mais il faut être honnête, même si l’on garde l’espoir que de nouveaux engagements seront bientôt pris, il sera très difficile d’obtenir, d’ici à la COP26, des plans climat qui nous mettent sur une trajectoire de 1,5 °C.

Signalons que selon la dernière évaluation des Nations unies (ONU), les engagements actuels de réduction des émissions de gaz à effet de serre, pris de manière volontaire par les États, mènent la planète vers un réchauffement « catastrophique » de 2,7 °C d’ici à la fin du siècle, loin de l’objectif de l’accord de Paris de le limiter bien en deçà de 2 °C, et si possible à 1,5 °C.

commentaires

Le Congo est prêt pour son rapport à la 41ème Session de la Conférence Générale de l’UNESCO

Publié le 4 Octobre 2021 par André LOUNDA dans International

Il s’est tenu du 30 septembre au 02 octobre 2021 dans la salle des Actes de la Présidence de l’Université Marien NGOUABI de Brazzaville, les Travaux de l’Assemblée Générale de la Commission Nationale Congolaise pour l’UESCO. La cérémonie d’ouverture y relative a été présidée par Madame Edith Delphine Emmanuel ADOUKI, Ministre de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche Scientifique et de l’Innovation Technologique, Présidente de la Commission Nationale Congolaise pour l’UNESCO en présence de Jean Luc MOUTHOUD, Ministre de l’Enseignement Préscolaire, Primaire, Secondaire et de l’Alphabétisation ; de Ghislain Thierry MANGUESSA EBOME, Ministre de l’Enseignement Technique et Professionnel ; de Louis BAKABADIO, Conseiller Spécial du Président de la République chargé de l’Education, Science et Innovation Technologique ; de Madame Fatoumata MAREGA, la Représentante de l’UNESCO au Congo et bien d’autres.

La Cérémonie d’ouverture a été ponctuée par le mot introductif du Secrétaire Général de la Commission Nationale Congolaise pour l’UNESCO, le discours de la Représentante de l’UNESCO et le discours d’ouverture du Ministre de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche Scientifique et de l’Innovation Technologique.

Prenant la parole, Gabriel BOKOUMAKA, le Secrétaire Général du CNCU, a remercié tous les membres du Gouvernement non seulement pour leur présence à cette cérémonie, mais surtout pour leur sollicitude vis-à-vis des préoccupations quotidiennes de la Commission Nationale.

Aussi, il a salué la présence de Madame la Représentante de l’UNESCO au Congo, une partenaire de tous le temps, toujours à l’écoute des sollicitudes de la CNCU surtout en cette période de la pandémie à COVID-19. Ensuite, il a rendu un hommage appuyé à Madame le , Ministre de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche Scientifique et de l’Innovation Technologique pour son implication personnelle sans laquelle la ressource financière de la tenue de cette Assemblée Générale n’aurait pas pu être rendue disponible.

Par ailleurs, Gabriel BOKOUMAKA a rappelé que cette session de l’Assemblée Générale se tient à la veille de la 41ème Session de la Conférence Générale de l’UNESCO, ce qui introduit dans son ordre du jour l’exercice laborieux de l’exploitation de plusieurs documents et rapports relatifs ç la Conférence Générale de l’UNESCO, essentiellement, les projets de résolutions liés au programme et budget 2022-2023 et au projet de la stratégie à moyen terme 2022-2029. Il a souligné, les difficultés rencontrées par les membres de la CNCU surtout en cette période de crise financière rendu encore plus ardu par la COVID-19, limitant ainsi les contacts physiques au profit des réunions en lignes.

Pour conclure ses propos, le Secrétaire Général de la CNCU a lancé un appel au membres du Gouvernement présents à cette rencontre afin que soit levé les difficultés rencontrées relatives à la faiblesse ou manque de connectivité par internet des services administratifs publics.

De son côté, Madame Fatoumata MAREGA, Représentante de l’UNESCO au Congo , s’est réjouie de la tenue de cette Assemblée Générale de CNCU destinée à évaluer le travail du Secrétariat Général et à préparer la participation du Congo à la Conférence Générale de l’UNESCO. Elle a rappelé que la Conférence Générale de l’UNESCO est l’instance suprême de cette institution. Elle est composée des représentants de tous les Etats membres de l’Organisation et se réunie tous les deux ans. Elle a salué cette initiative de placer au plus haut niveau ces préparatifs qui concernent tous les ministères des domaines de compétence de l’UNESCO.

Ouvrant les travaux, Edith Delphine Emmanuel ADOUKI, Ministre de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche Scientifique et de l’Innovation Technologique, a premièrement salué la présence des membres du Gouvernement responsables des secteurs de la coopération avec l’UNESCO, et remercié tous les membres de la CNCU. Poursuivant, elle a décortiqué l’Agenda des travaux de l’Assemblée Générale. Elle a fait savoir à tous les participants que ces points seront examinés à la 41ème Session de la Conférence Générale de l’UNESCO qui se tient dans un contexte mondial marqué par la pandémie de la COVID-19

Avant de déclarer ouvert les travaux de la session ordinaire du CNCU, elle a relevé l’excellent niveau atteint par la coopération entre la République du Congo et l’UNESCO tout en exhortant les participants à un examen minutieux des documents (41 C/5et 41C/4 pour une bonne participation du Congo à ce grand évènement.

Du déroulement des travaux

Les participants ont adopté l’ordre du jour et mis en place du bureau des travaux qui se composait comme suit : Président : Omer ABOLO, Directeur du Cabinet MERSIT ; Vice-présidente : Emilienne GOMBOUKA, Directrice Générale de la Promotion de la Femme au Développement et de l’Intégration de la  Femme au Développement ; Rapporteur : Gabriel BOKOUMAKA, Secrétaire Général de la CNCU.

Au cours des travaux, les participants ont suivi avec attention la présentation du rapport du Secrétariat Général de l’UNESCO et des projets de résolution V.1 du 41C/5 par grand programme. Le premier document a donné lieu à un débat enrichissant avant d’être adopté avec amendement. Le second document, a été pris en compte pour les travaux en commission.

Le présidium a ensuite procédé à la mise en place des bureaux des sous-commissions. Six (6) sous-commissions ont été constituées à savoir : (i) Sous-commission Education ; (ii) Sous-commission Sciences Exactes et naturelles ; (iii)Sous-commission Sciences humaines et sociales ; (iv) Sous-commission Culture ; (v) Sous-commission Communication et information ; et enfin (vi) Sous-commission APX (Administration et transdisciplinaire).

Les rapports des sous-commissions ont été adoptés en plénière avec amendement et seront intégrés au rapport général des travaux.

Aussi, l’Assemblée Générale a donné quitus au Secrétaire Général pour son rapport et a formulé une recommandation sur le renforcement des moyens budgétaires du Secrétariat Général de la Commission Nationale Congolaise pour l’UNESCO.

Les travaux de l’Assemblée Générale de la CNCU ont été clôturé le samedi 02 octobre 2021 par Omer ABOLO, Directeur de Cabinet du Ministre de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche Scientifique et de l’Innovation Technologique, un communiqué final a été rendu public par Gabriel BOKOUMA et des recommandations pertinentes de l’UNESCO ont été prises en compte.

 

ASSEMBLÉE GÉNÉRALE DES MEMBRES DE LA COMMISSION NATIONALE CONGOLAISE POUR L’UNESCO

RAPPORTS FINAL DES TRAVAUX DE L’ASSEMBLÉE GÉNÉRALE DE LA COMMISSION NATIONALE CONGOLAISE POUR L’UNESCO (30 septembre au 1er et 2 octobre 2021)

Convoquée par note de service n°0501/MESRSIT-CAB du 13 septembre 2O21 du Ministre de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche Scientifique et de l’Innovation Technologique, Présidente de la Commission Nationale Congolaise pour l’Unesco, l’Assemblée Générale de la Commission Nationale Congolaise pour l’Unesco s’est tenue du 30 septembre au 2 octobre 2021. L’ouverture a eu lieu dans la salle des actes du Rectorat de l’Université Marien NGOUABI. Trois moments forts ont marqué la tenue de cette Assemblée Générale : - la cérémonie d’ouverture présidée par Mme Edith Delphine Emmanuel née ADOUKI, Ministre de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche Scientifique et de l’Innovation Technologique, Présidente de la Commission Nationale Congolaise pour l’UNESCO. - Le déroulement des travaux en plénières et dans les commissions ; - La cérémonie de clôture. De la cérémonie d’ouverture Placée sous le patronage de Madame Edith Delphine Emmanuel née ADOUKI, Ministre de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche Scientifique et de l’Innovation Technologique, Présidente de la Commission Nationale Congolaise pour l’UNESCO, l’Assemblée générale s’est ouverte à 11 Heures 40mn. La cérémonie d’ouverture a connu la participation de : - Monsieur Jean Luc MOUTHOUD, Ministre de l’Enseignement Préscolaire, Primaire, Secondaire et de l’Alphabétisation ; COMMISSION NATIONALE CONGOLAISE MINISTERE DE L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE ET DE L’INNOVATION TECHNOLOGIQUE ------------- SECRETARIAT GENERAL ----------------- République du Congo Unité*Travail*Progrès ---------- - Monsieur Ghislain Thierry MAGUESSA EBOMÉ, Ministre de l’Enseignement Technique et Professionnel ; - Madame Fatoumata MAREGA, Représentante de l’UNESCO, chef du bureau de Brazzaville ; - Monsieur le Professeur Louis BAKABDIO le Conseiller Spécial du Président de la République, chargé de l’éducation, science et Innovation technologie ; - Monsieur Philippe MVOUO, le Président du Conseil Supérieur de la Liberté de la Communication ; - Monsieur le Professeur ATTI-BAYEBA Vice-président chargé de la recherche et de la coopération internationale de l’Université Marien NGOUABI ; Trois interventions ont ponctué cette cérémonie d’ouverture : le mot introductif du Secrétaire Général de la CNCU, le discours de la représentante de l’UNESCO au Congo et le discours d’ouverture du Ministre de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche Scientifique et de l’Innovation Technologique, Présidente de la Commission Nationale Congolaise pour l’Unesco. Prenant la parole en premier, Monsieur Gabriel BOKOUMAKA, Secrétaire Général de la Commission Nationale Congolaise pour l’Unesco, a remercié tous les membres du gouvernement non seulement pour leur présence à cette cérémonie, mais surtout pour leur sollicitude vis-à-vis des préoccupations quotidiennes de la Commission Nationale. Le SG a aussi salué la présence de Mme la Représentante de l’UNESCO au Congo, une partenaire de tout le temps, toujours à l’écoute des sollicitudes de la CNCU surtout en cette période du COVID-19. Le SG a ensuite rendu un hommage appuyé à Madame la Ministre de l’enseignement supérieur, de la recherche scientifique et de l’innovation technologique pour son implication personnelle sans laquelle la ressource financière de la tenue de cette assemblée générale n’aurait pas pu être rendue disponible. Il a par ailleurs rappelé que cette session de l’Assemblée Générale se tient à la veille de la 41ème session de la Conférence Générale de l’UNESCO, ce qui introduit dans son ordre du jour l’exercice laborieux de l’exploitation de plusieurs documents et rapports relatifs à la Conférence générale de l’UNESCO, essentiellement, les projets de résolutions liés au programme et budget 2022-2023 et au projet de la stratégie à moyen terme 2022-2029. Le SG a souligné, les difficultés rencontrées par les membres de la CNCU surtout en cette période de crise financière rendu encore plus ardu par la COVID-19, limitant ainsi les contacts physiques au profit des réunions en lignes. Il a terminé son mot par un appel aux membres du Gouvernement présents cette cérémonie et à l’UNESCO afin que soit levées les difficultés rencontrées relatives à la faiblesse ou au manque de connectivité par internet des services administratifs publics. Prenant la parole à son tour, la Représentante du Bureau UNESCO de Brazzaville, s’est réjouie de la tenue de l’assemblée générale de la CNCU destinée à évaluer le travail du Secrétariat général et à préparer la participation du Congo à la Conférence Générale de l’UNESCO. Elle a rappelé que la Conférence Générale est l’instance suprême de l’UNESCO. Elle est composée des représentants de tous les Etats membres de l’Organisation et se réunie tous les deux ans. Elle a salué cette initiative de placer au plus haut niveau ces préparatifs qui concernent tous les ministères des domaines de compétence de l’UNESCO. Prenant la parole pour son allocution d’ouverture, Madame Edith Delphine Emmanuel née ADOUKI, Ministre de l’enseignement supérieur, de la Recherche Scientifique et de l’Innovation Technologique, Présidente de la CNCU a salué la présence des membres du gouvernement responsables des secteurs de la coopération avec l’UNESCO, et remercié tous les membres de la Commission Nationale Congolaise pour l’UNESCO. Madame la Ministre a décliné l’ordre du jour des travaux de l’AG de la CNCU. Elle a fait savoir aux participants que ces points seront examinés à la 41ème session de la Conférence Générale de l’UNESCO qui se tient dans un contexte mondial marqué par la pandémie de la COVID-19. Elle a relevé l’excellent niveau atteint par la coopération entre la République du Congo et l’UNESCO, tout en exhortant les participants à un examen minutieux des documents (41C/5 et 41C/4) pour une bonne participation du Congo à ce grand événement. Elle a enfin déclaré ouvert les travaux de la session ordinaire de CNCU. II- Du déroulement des travaux La vérification des présences a fait ressortir 3 absences sur les 60 membres attendus. Après la vérification des présences, les participants ont adopté l’ordre du jour et mis en place le bureau des travaux qui se compose comme suit : Président : M Omer ABOLO, Directeur de cabinet au Ministère de l’Enseignement Supérieur de la Recherche Scientifique et de l’Innovation Technologique Vice-présidente : Émilienne GOMBOUKA, Directrice Générale de la Promotion de la femme au Ministère de la Promotion de la femme et de l’Intégration de la Femme au développement Rapporteur : Gabriel BOKOUMAKA, Secrétaire Générale de la Commission Nationale Congolaise pour l’UNESCO - CNCU Les participants ont suivi la présentation du rapport du Secrétariat Général de la CNCU et des projets de résolution du Volume 1 du document 41C/5 par grand programme. Le premier document a donné lieu à un débat enrichissant avant d’être adopté avec amendements. Le second document, a été pris en compte pour les travaux dans les différentes commissions. Après ces présentations, le présidium a procédé à la mise en place des bureaux des sous-commissions. Six (6) sous-commissions ont été constituées : 1- Sous-Commission Education - Président : Pr Bonaventure Maurice MENGHO - Vice-président : Monsieur Edouard KOMBO - Rapporteur : Monsieur Maixent Roland MOBOKA 2. Sous-Commission Sciences Exactes et naturelles - Président : Pr Joseph GOMA TCHIMBAKALA - Vice-président : Monsieur Jean Joël LOUMETO - Rapporteur : Monsieur Maurice NDEDI MALONDA 3. Sous-Commission Sciences humaines et sociales - Président : Monsieur Guy MOUSSAVOU - Vice-président : Jean Robert BINDELE - Rapporteur : Mme PEPE ESTAMO Mireille 4. Sous-Commission Culture - Président : Monsieur Jean Omer NTADY - Vice-président : Brice Isidore OWABIRI - Rapporteur : Georges NGAMBOU 5. Sous-Commission Communication et information - Président : Monsieur Wilfrid Anasth MBOSSA - Vice-président : Monsieur Philippe YOUHOU - Rapporteur : Monsieur Gervais NDOKEKIA 6. Sous-Commission APX (Administration et transdisciplinaire). - Présidente : Madame NGOTENE DIEMBI - Vice-président : Gabriel BOKOUMAKA - Rapporteur : Monsieur Jules KOUBA Président de la FECASU Les travaux en commissions se sont déroulés du vendredi 1er au samedi 2 octobre 2021 et consistait à examiner et amender les projets de résolution contenu dans le volume I du projet de résolution du 41C/5 et à se prononcer sur les autres documents soumis à l’examen des Etats membres. Les rapports des sous-commissions présentés ce samedi 1er octobre 2021 à la plénière ont soit appuyé les projets de résolution, soit introduit des amendements. Ces rapports ont été adoptés par la plénière avec amendement, et seront intégrés au rapport général des travaux. L’Assemblée Générale a reçu du bureau de Brazzaville des projets de recommandations et des projets de résolution qui ont été actés pour être intégrés au rapport dans sa version définitive. L’assemblée a donné quitus au Secrétaire Général pour son rapport et a formulé une Recommandation sur le renforcement des moyens budgétaires du Secrétariat Général de la Commission Nationale Congolaise pour l’UNESCO. Les travaux de l’Assemblée Générale ont été clôturés ce samedi 02 octobre 2021 sous la présidence de Monsieur Omer ABOLO, le directeur de cabinet, représentant de du Professeur Edith Delphine Emmanuel née ADOUKI, Ministre de l’enseignement supérieur, de la Recherche Scientifique et de l’Innovation Technologique, Présidente de la Commission Nationale Congolaise pour l’UNESCO. Fait à Brazzaville, le 3 octobre 2021 L’Assemblée Générale de la Commission Nationale Congolaise pour l'UNESCO.

commentaires
<< < 1 2 3 > >>