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PND 2022-2026 : « Le Plan National de Développement structure les bases nécessaires pour répondre aux besoins de la population et améliorer sa qualité de vie », dixit Ingrid Ghislaine Olga EBOUKA-BABACKAS

Publié le 4 Octobre 2021 par André LOUNDA dans Economie

« Le PND 2022-2026 servira à l’opérationnalisation de la vision du Président de la République dans son projet de société, « Ensemble poursuivons la marche ». Pour cette période 2022-2026, le nouveau PND ne manquera donc pas de prendre racine dans les recommandations pertinentes tirées du diagnostic du PND 2018-2002. Il érigera un tronc nourri de la sève puissante de la volonté ferme du Gouvernement d’opérer la transition d’une économie congolaise de rente pétrolière vers « une économie forte diversifiée » dont le socle demeure un secteur privé entreprenant et dynamique. En outre, il s’alignera sur les engagements sous régionaux, régionaux qui y sont contenus : le programme économique régional de la CEMAC, les objectifs de développement durables des Nations Unies et l’Agenda 2063 de l’Union Africaine. Surtout, il déploiera ses branches dans six directions. Les trois précédents axes de diversification économique, que sont : le développement de l’agriculture  au sens large, le développement de l’industrie en lien avec les zones économiques spéciales, le développement du tourisme. Ces trois axes seront, complétées par trois autres axes de l’économie », c’est par ces propos qu’Ingrid Olga Ghislaine EBOUKA BABACKAS, Ministre du Plan, de la statistique et de l’intervention Régional a procédé au lancement de l’atelier de lancement de  l’Atelier de lancement des travaux d’élaboration du Plan National de Développement (PND) 2022-2026.

Dans son discours d’ouverture des travaux d’élaboration du nouveau PND, le Ministre de l’Economie, du Plan, de la Statistique et de l’Intégration Régionale Ingrid Olga Ghislaine EBOUKA-BABACAS a signalé que ce plan compte tenu de ce qui précède, les travaux d’élaboration du PND 2022-2026 naissant s’articulent logiquement avec ceux de l’évaluation du PND 201862022 s’achevant. En effet, le 1er octobre 2018, la République du Congo s’était dotée de la loi N°32-2018, portant approbation du Plan National de Développement (PND) 2018-2022. Ce dernier a été élaboré et mis en œuvre dans un environnement marqué par la fluctuation à la baisse du baril de pétrole, source de déséquilibres verticaux de l’économie congolaise. Ce plan visait la stabilisation macro-économique plus élargie, capable de créer davantage d’emplois, particulièrement pour les jeunes et les femmes de réduire significativement la pauvreté et de contribuer au développement du capital humain. Mais, ces conditions n’ont pas pu être réalisées suite aux facteurs exogènes et endogènes adverses qui ont perturbé les équilibres macroéconomiques, particulièrement :

  • La persistance de la récession depuis 2015 qui s’est 2015 qui s’est manifestée par une baisse continue de la croissance du PIB jusqu’à -6,2% en 2020 :
  • Le déficit des finances publiques et un niveau d’endettement élevé par rapport à la norme de 70% de la CEMAC.
  • La mise en œuvre compromise de l’accord de facilité élargie de crédit de juillet 2019 signé avec le FMI et son corolaire, la défiance des bailleurs de fonds ;
  • La survenance de la pandémie de COVID-19, un an et deux mois après le lancement du PND 2018-2022, qui en réalité n’a été exécuté que pendant deux années.

Fort heureusement, l’évaluation des performances du PND 2018-2022 en cours d’adoption par le Conseil National des performances débouchera sur des recommandations fortes pour l’immédiat.

En outre, le PND 2022-2026 s’alignera sur les engagements sous régionaux, régionaux et internationaux qui y sont contenus : le programme de deuxième génération des réformes économiques et financières et le programme économique régional de la CEMAC, les objectifs de développement durable des Nations Unies et l’Agenda 2063 de l’Union Africaine.

Surtout, il déploiera ses branches dans six directions. Les trois précédents axes de diversification économique que sont : le développement de l’agriculture au sens large, le développement de l’industrie en lien avec les zones économiques spéciales, le développement du tourisme.

Ces trois axes seront toutefois, complétés par tris autres : le développement de l’économie numérique, la promotion immobilière et le développement des zones franches commerciales.

Par ailleurs, le PND 2022-2026 conservera comme terreau transversal l’amélioration de la gouvernance et le renforcement du capital humain. Enfin, il prendra en compte dans ses branchages, les contraintes du programme d’appui financier que le Congo se prépare à conclure avec le Fonds Monétaires International dans un contexte aggravé de crise à la fois économique, financière, sanitaire et environnementale. En réalité, il s’agira sans aucun doute, pour nous, de trouver un juste dosage de la poursuite de nos efforts pour stabiliser la situation macroéconomique et de la réunion des facteurs positifs de croissance pour la véritable relance de notre économie.

Mais aussi, le document cadre stratégique de développement fera ressortir les principaux éléments suivants : le diagnostic de la situation économique et sociale du Congo ; la vision les objectifs du PND 202262026 ; les priorités et les axes stratégiques ; le schéma de financement (budget, gap, stratégies de financement) ; l’analyse des facteurs de risques et l’identification des mesures d’atténuation ; la stratégie de communication ; le mécanisme de mise en œuvre et de suivi-évaluation du PND 202262026.

A noter que l’élaboration du PND 2022-2026 bénéficie de la mise en place d’un organe de supervision appelé la Task-Force des politiques économiques et sociales, présidé par le représentant personnel, du Président de la République, le Ministre d’Etat ? Gilbert ONDONGO nommé par décret N°2021-304 du 25 mai 2021. Conformément aux orientations de la Task-Force, la production du nouveau PND est enfermée dans un temps imparti relativement bref : le voter de la loi portant adoption du PND 2022-2026 est pr2vu lors de la prochaine session parlementaire.

 

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Publié le 2 Octobre 2021 par André LOUNDA dans société

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Le processus de digitalisation des cours du préscolaire, du primaire et du secondaire par les inspecteurs et enseignants formés a été lancé au Congo

Publié le 1 Octobre 2021 par André LOUNDA dans Education

Madame Régine TCHICAYA OBOA, la Directrice de Cabinet du Ministre de l’Enseignement Préscolaire, Primaire, Secondaire et de l’Alphabétisation a procédé le 28 septembre 2021 au Lycée de la Révolution de Brazzaville au lancement de l’Atelier de Formation des Acteurs de la Chaîne d’Encadrement en Ingénierie Pédagogique de l’Enseignement à Distance et à la Prévention du COVID-19. Dont l’objectif global est de renforcer les capacités des acteurs de la chaîne d’encadrement pédagogique en ingénierie pédagogique de l’enseignement à distance, à l’utilisation des dispositifs d’enseignement à distance et à la prévention du COVID-19.

Dans le cadre de la mise en œuvre du plan national de riposte contre l’impact de la COVID-19 dans le secteur de l’éducation et de la formation, le Partenariat Mondial pour l’Education a accordé un don de 7 millions de dollars US à la République du Congo pour appuyer la mise en œuvre des activités du plan opérationnel donc un des objectifs est d’assurer la continuité pédagogique pour tous les élèves dans l’éducation de base (pré-primaire, le primaire, et le premier cycle du secondaire général, ainsi que l’éducation non formelle y compris les enfants à besoins spécifiques. A cet effet, la mise en place d’un dispositif national intégré et multidimensionnel d’enseignement à distance à travers la radio, la télévision, l’internet et la distribution des supports pédagogiques imprimés en vue d’assurer la continuité des apprentissages à travers un accès équitable et inclusif. Bien que le processus de digitalisation des cours du préscolaire, du primaire et du secondaire par les inspecteurs et enseignants formés à cet effet soit déjà lancé, certaines difficultés persistent chez ces derniers pour la production des certaines ressources pédagogique telle que les leçons interactives, les leçons en langages de signe et les scripts radio. C’est pour doter les encadreurs pédagogiques de ces compétences requises pour la poursuite de la digitalisation des ressources pédagogiques et une appropriation du dispositif d’enseignement à distance que des TDRs ont été élaborés.

Ouvrant les travaux, Régine TCHICAYA OBOA a r défini l’école est le premier levier pour assurer le progrès économique et social pour assoir durablement la cohésion nationale. Le prochain PND 2022-2026 obéit à cette exigence. Les caractères connus de l’enseignement à distance sans la séparation spatiale et temporelle avec la présence des médias et la technologie pour permettre la bonne communication. Ensuit cela peut se faire par des documents audio-visuels ou via réseaux sociaux notamment, l’internet. En effet, les compétences vont s’articuler sur nouvelles technologies de l’enseignement.

De son côté, le représentant de la Représentante de l’UNESCO au Congo

A rassurer que pour apporter une réponse adaptée, liée à cette crise sanitaire dans les pays d’Afrique centrale, l’UNESCO de par sa mission d’appui conseil et de renforcer des capacités, a privilégié une approche mixte/hybride, utilisant des solutions de haute technologie, de faible technologie, impliquant des matériaux alternatifs d’apprentissage en ligne, la diffusion de programmes de radio et de télévision (tel est le cas des cours diffusés sans interruption par TELE CONGO, durant toute la période d’avril à juillet, complétée par des copies imprimées de supports éducatifs, pour atteindre le plus grand nombre de bénéficiaires. Et ce, en vue de répondre aux défis, problèmes imminents liées à la connectivité, la disponibilité des équipements et des appareils, l’inclusion et l’équité pour « ne laisser aucun enfant pour compte ». C’est dans cette optique que l’UNESCO se tient prête, à fournir son expertise et son savoir-faire, dans la formation de réponses éducatives adaptées aux situations de crises.

Au cours de cet atelier de formation qui durant cinq jours du 28 septembre au 2 octobre 2021, il s’agira de doter, de façons inclusives, le corps d’inspecteurs et d’encadreurs pédagogiques, d’une formation en ingénierie de formation à distance pour garnir ce corps de métiers, des connaissances technologiques d’apprentissage en ligne. Entre autres, de faire découvrir à tous les participants la plateforme Moodle, outil de médiation qui va faire de lien entre les apprenants et la formation ; de former 50 encadreurs de la chaîne de supervision pédagogique à la production et à la supervision des ressources numériques multi format avec les outils de l’assurance qualité ; de former 10 acteurs de la chaîne d’encadrement pédagogique à l’administration de la plateforme en mettant un accent sur le chargement des contenus et d’élaborer la feuille de route assortie d’un calendrier détaillé pour la suite des activités et des rencontres périodiques de conservation.

 

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HALC : « Le moment est venu pour dénoncer les actes de corruption », a lancé Emmanuel OLLITA ONDONGO

Publié le 1 Octobre 2021 par André LOUNDA dans société

C’est dans le cadre de la réalisation de sa mission de prévention, que la Haute Autorité de Lutte contre la Corruption est organisé sa première campagne de sensibilisation des citoyens congolais sur la corruption et la vulgarisation des textes juridiques fondamentaux de base de la HALC auprès d’un échantillon des administrations publiques. Poursuivant sa ronde, la HALC a cette fois-ci procédé à la 5ème campagne de sensibilisation sur la corruption et de vulgarisation des textes juridiques au Ministère des Postes, des Télécommunications et de l’Economie Numérique, le 29 septembre 2021 à Brazzaville.

L’occasion était tout indiqué au cours de cette session d’échanges avec les cadres de ce ministère pour le Président de la HALC, Emmanuel OLLITTA ONDONGO de lancer un vibrant appel aux citoyens congolais, « Le moment est venu pour dénoncer les actes de corruption, la HALC a besoins des lanceurs d’alertes, dénoncez les actes de corruptions par le numéro vert 123».

Le Ministre Léon Juste IBOMBO a manifesté sa joie en abritant cette 5ème Session de la HALC, « C’est avec joie et un sentiment d’interpellations collectives que j’ouvre ce jour, mercredi 29 septembre 2021, largement les portes du Ministères des Postes, des Télécommunications et de l’Economie Numérique pour recevoir la Haute Autorité de Lutte contre la Corruption dont la détermination et l’engagement à lutter contre les antivaleurs, je ne sais pas s’il est encore vraiment besoin de le dire sont une réponse à la volonté politique du Président de la République, Son Excellence Monsieur Dénis SASSOU N’GUESSO de son Gouvernement sous l’impulsion du Premier ministre, Monsieur Anatole Collinet MAKOSSO.

« En effet, la corruption, cette gangrène tant décrié doit être combattue avec la plus grande énergie, est au centre de nos travaux de ce jour. Comme vous le savez, en ayant mis la corruption et les autres infractions assimilées au cœur de ses deux séminaires gouvernementaux, le Gouvernement de la République a pris la mesure de cette bataille socio-économique, facteur de régression », a fait savoir Léon Juste IBOMBO.

Aussi, il, a salué chaleureusement, au nom de l’ensemble des cadres du Ministère des Postes, des Télécommunications et de l’Economie Numérique, le Président de la Haute Autorité de Lutte contre la Corruption et sa délégation venue ici sensibiliser, vulgariser les textes juridiques dédiées à cette lutte.

« C’est le meilleur moyen pour nous, de nous approprier les fondements de notre commune appartenance à une nation respectueuse de ses lois et règlements en la matière. Au moment où notre monde semble dériver, sous les prétextes de crises, vers la généralisation des antivaleurs, la présente rencontre Haute Autorité de Lutte contre la Corruption/ Ministère des Postes, des Télécommunications et de l’Economie Numérique, est pour nous une occasion d’un échange fructueux qui devrait aiguiser la conscience de nos cadres et agents sur les méfaits de ce fléau destructeur» a-t-il indiqué.

De son côté, Emmanuel OLLITTA ONDONGO ouvrant les travaux au nom de la HALC a félicité la reconduction de Léon Juste IBOMBO à la tête de ce vaste département ministériel et d’autre part, il l’a remercié pour avoir bien voulu répondre à la sollicitation de son institution et l’a remercié pour cette opportunité qu’il offerte à cette nouvelle institution considérée aujourd’hui comme la renaissance de l’espoir au Congo.

« Cet acte dénote de votre volonté à contribuer à la réalisation d’une manière générale, des objectifs définis dans le projet de société du Président de la République, j’ai cité : « Ensemble poursuivons la marche » et de façon particulière, à la réussite des missions confiées à notre institution par la République. Cette ouverture que nous constatons en vous et votre bonne volonté de coopérer avec la HALC, nous laissent croire que c’est l’effet de votre brillant passage à la CNLCCF. Vous êtes donc un averti en matière de lutte contre la corruption », a déclaré Emmanuel OLLITA ONDONGO.

Poursuivant son propos, le Président de la HALC a défini d’abord la Corruption, ensuite la concussion et enfin la fraude.

La Corruption, c’est l’action qui consiste à engager une personne investie d’une autorité à agir outre son devoir, en se soudoyant.

La Concussion quant à elle, c’est la perception illicite par un agent public, de sommes qu’il sait ne pas être dû, une exaction, une malversation.

La Fraude, c’est une action faite de mauvaise foi dans le but de tromper.

La tentative de l’une ou l’autre de ces infractions est prévue dans la loi anti-corruption N°5-2009 du 22 septembre 2009.

Au sens courant, l’impunité est le fait de ne pas risquer d’être puni lorsqu’on pose un acte qui va à l’encontre des règles établies.

Aussi, il a fait savoir que la 5ème séance de la campagne de proximité de la HALC, après notre passage dans quatre précédents départements ministériels. La motivation participative des cadres à l’activité prend de l’ampleur, c’est un bon signe dans la démarche à suivre. Le chemin est long c’est vrai mais « le voyage le plus long commence toujours par le premier pas » dit un adage français. Cette vaque de campagnes de porte à porte qui fera la ronde de tous les ministères, aura pour points de chute, la Primature, les 2 chambres de parlement et la Présidence de la République, avant de clôturer par un carnaval anticorruption, dans nos deux (2) villes capitales, j’ai cité Brazzaville et Pointe Noire. Nous avons le devoir de baliser la voie de l’émergence du Congo tant attendue. Or il est incompatible de sauver d’un côté l’émergence d’un pays, et de l’autre entretenir dans ce même pays, les antivaleurs comme la corruption, la concussion, la fraude j’en passe. Le seul secret pour y arriver, c’est le changement de comportement des filles et fils de ce beau pays que nous aimons tous.

Au cours des travaux, les participant ont suivi quatre exposés et les textes sur la corruption suivi d’échanges interactifs à savoir : Ecosystème National de lutte contre la corruption, Rôle et place et Développement de la HALC ; la HALC et ses procédures de saisine ; l’Aperçu Générale de la Loi anticorruption ; Lutte contre la corruption : place de la loi relative à la déclaration du patrimoine. Loi N°3-2009 du 7 février 2019 portant création de la Haute Autorité de Lutte Contre la Corruption ; Loi N°4-2019 du 7 février 2019 relative à l’obligation de déclaration de patrimoine par les citoyens élus ou nommés à une haute fonction publique ;Loi N°5-2009 du 22 septembre 2009 sur la corruption, la concussion, la fraude et les infractions assimilées ; Décret N°2019-391 du 28 décembre 2019 portant organisation et le fonctionnement de la Haute Autorité de Lutte contre la Corruption et le Décret N°2019-320 du 12 novembre 2019 fixant les modalités d’application de la loi relative à l’(obligation de déclaration de patrimoine par les citoyens élus ou nommés à une haute fonction publique.

A noter que ces initiatives de la HALC tant attendu portent tant d’espoir pour le Congo. La constitution du 25 octobre 2015 nous dit que tous les citoyens congolais sont égaux devant la loi et ont droit à la protection de l’Etat. C’est pour rassurer qu’il n’y a pas de congolais qui sont plus congolais que les autres devant cette réalité que s’impose la notion TOLERANCE=Zéro. Et c’est donc ici où la HALC déclare haut et fort que «la récréation est terminé » pour preuve lors de son discours sur l’état de la nation en décembre 2018, Son Excellence Dénis SASSOU N’GUESSO a déclaré : « il n’y aura ni menus fretins ni gros poissons, tout passera dans la nasse de la justice ».

 

 

 
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