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GéoAfriqueMédias.cg

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Faire de la Géomatique un pilier de la modernisation des administrations et entreprises au Congo

Publié le 20 Décembre 2022 par André LOUNDA dans Sciences et Innovations

« Utilité de la Géomatique et Télédétection dans les administrations et entreprises au Congo », constitue le thème de la Table Ronde de l'Université Marien NGOUABI et Monde du Travail que la Faculté des Lettres, des Arts et des Sciences Humaines (FLASH) a organisé le 19 décembre 2022 à Brazzaville avec l’appui du Projet d'Appui à la Modernisation de l'Enseignement Supérieur, AMES-FGT dont les travaux ont été patronné par le Pr Yolande ONFOUEMÉ BERTON, Vice-présidente de ladite université, Coordonnatrice du projet en présence du Pr Omer MASSAMOU, Doyen de la FLASH et de Madame Jocelyne DHELOT, Point focal du projet.

Ce projet coordonné par le Pr Yolande OFOUEME -BERTYON, Vice-Présidente, chargée des affaires académiques à l'université Marien NGOUABI de Brazzaville, Géographe des espaces tropicaux, spécialiste de l'identification et évaluation des projets de développement et de l'étude de la consommation alimentaire, permettra à l'université de sortir de ses murs et aller vers la société pour pouvoir travailler ensemble.

Prenant la parole dans son discours de circonstance après avoir souhaité la bienvenues aux participants, tout en honorant la participation du Professeur Omer MASSAMOU, Doyen de la Faculté des Lettres, Arts et Sciences Humaines (FLASH), s'est réjoui de cette belle initiative a fait savoir aux participants qu’au cours de l'année universitaire 2021-2022, dit-il, la Faculté des Lettres, Arts et Sciences Humaines a bénéficié d'un appui significatif du ministère de l' Enseignement Supérieur le financement de trois projets majeurs dont le projet AMES. Aujourd'hui, la formation doctorale de Géographie nous invite à une table ronde sur l'utilité de la géomatique et la télédétection dans les administrations et entreprises au Congo.

Mais aussi pour ce projet, le Pr Yolande OFOUIEME-BERTON, a laissé entendre au cours d’une interview a que pour se faire, elle  a estimé qu'à travers ce projet dont elle est la Coordinatrice, l'Université Marien NGOUABI, doit sortir de ses murs et aller vers la société afin de travailler ensemble. « Je pense que l'université doit sortir de ses murs, mieux elle doit se vendre et aller vers la société. L'université ne doit pas rester dans sa tour Eiffel. C'est en allant vers les autres que l'on découvre l'information, les collaborations pour pouvoir travailler ensemble. Ainsi, nous avons organisé cette table ronde avec le monde du travail pour que nous puissions évoluer, discuter des attentes de futurs diplômés. C'est d'ailleurs, une option professionnelle pour les étudiants qui auront besoin du stage dans les administrations et les entreprises congolaises. Donc il faut que l'on se concerte avec les futurs partenaires », a rappelé le Pr Yolande ONFOUEME BERTON.

Quant à Madame Jocelyne DHELOT, Point focal du Projet AMES,  entre autres a rappelé que  le maître d'ouvrage n'est autre que le Ministère de l'Enseignement Supérieur, de la Recherche Scientifique et de l’Innovation Technologique et appuyé par l'Expertise  de   l’Agence France Développement (AFD) avant de définir les principaux objectifs de cette activité. « Le projet a comme objectif général, rappelle-t-elle, la contribution au développement socio-économique du pays en tenant compte des axes prioritaires qui ont été identifiés dans le Plan National de Développement ( PND 2022-2026) et l'amélioration de la qualité globale du système éducatif avec une déclinaison spécifique sur la filière valorisation des ressources. Et dans ce projet, nous avons trois grands axes à savoir : Le premier axe concerne les appuis structuraux sur la gouvernance et la qualité du système éducatif ; Le deuxième axe concerne l'amélioration de la formation, l'insertion professionnelle, l'enseignement ; Le troisième axe concerne le partenariat.», a-t-elle rappelé.

A titre de rappel que le projet AMES-FGT,  prévu pour une durée de quatre ans (2020-2024), doté d'une subvention de sept millions d'euros par l'Agence Française de Développement (AFD),  nous tenons à signalé que ce projet est mis en œuvre au bénéfice du ministère de l'Enseignement Supérieur, de la Recherche Scientifique et de l'Innovation Technologique (MESRSIT) avec l'appui d'Expertise France.

 

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Coupe du monde Qatar 2022 : Finale Argentine-France, la société Congo B a récompensé des parieurs

Publié le 19 Décembre 2022 par André LOUNDA dans Société

A l’occasion du match final de la 22e édition de la Coupe du monde qui s’est disputée au Qatar  opposant l’Argentine et la France, remportée par tir aux buts l’Argentine l’a remporté, le dimanche 18 décembre 2022 à Brazzaville au Gymnase Henri ELENDE les parieurs se rivalisaient pour empocher les prix mis en jeu par la société Congo B.

C’était en présence des responsables de la Direction des activités sportives du Ministère de la Jeunesse,  des Sports de la Formation Qualifiante et de l’Emploi que dirige Hughes NGOULONDELE, la société Congo B a, en effet, organisé une tombola dénommé « La tombola du parieur », afin de départager les gagnants devant un huissier de justice.

Le plus grand prix mis en jeu a été remporté par Rodrigue PEA, une voiture. Les quatorze autres parieurs ont remporté plusieurs kits, dont des motos, réfrigérateurs, écrans plasma, smartphones et bien d’autres. Au terme de ce grand Tombola, l’ensemble des parieurs a salué l’initiative, en souhaitant qu’elle ne soit pas la dernière.« Je ne m’attendais pas qu’un jour, je devrais participer à cette tombola. J’ai misé en jouant comme tous les autres et cela a permis que je sois tiré au hasard et de gagner cette voiture. Je remercie les organisateurs et les demande à continuer dans cet élan. S’agissant des personne qui ne participent pas à ce jeu, il a déclaré que  je leur demande de se joindre à nous en jouant et c’est ce qui est nullement son   cas et qu’il ne connaissait aucune personne évoluant dans cette entreprise ».

Par ailleurs, nous avons noté que cette activité a connu la participation de plusieurs artistes musiciens des deux Congo qui ont agrémenté à cette première Tombola organisé par Congo B. 

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La lutte contre la corruption, une nécessité aux acteurs des organisations de la société civile de s’y impliquer

Publié le 19 Décembre 2022 par André LOUNDA dans Société

Dans le cadre de la réalisation de sa mission de prévention, la Haute Autorité de Lutte contre la Corruption (HALC) a organisé le 16 décembre 2022 à Brazzaville , après le deuxième anniversaire de prestation de serment à la Cour d’Appel de Brazzaville sa première campagne de sensibilisation des citoyens congolais sur la corruption et la vulgarisation des textes  juridiques fondamentaux de base auprès des leaders des organisations de la société civile sur les problématiques du phénomène tout en les appelant à jouer pleinement leur rôle dans ce combat.

La campagne de sensibilisation de ses leaders de la société civile par la Haute Autorité de Lutte contre la Corruption a eu pour objectif de les mobiliser afin qu’ils s’engagent pleinement dans la lutte contre la corruption, la concussion, la fraude et les infractions assimilées. Les échanges ont ponctués par une séance de questions-réponses portés autour de plusieurs thématiques à savoir : des dispositions législatives et réglementaires sur la protection des dénonciateurs et lanceurs d’alerte ; l'écosystème national de lutte contre la corruption, la HALC et ses procédures de saisine ; l’aperçu général de la loi anti-corruption, etc. Il convient de rappeler que la dénonciation des faits de corruption se fait au numéro vert 1023.

Emmanuel OLLITA ONDONGO, Président de la HALC, s’adressant aux leaders de la société civile qui ont un rôle très capital à jouer dans la lutte contre la corruption, leur a fait savoir que cette lutte mérite l’implication de tous les Congolais. Il est incompatible d’œuvrer pour l’émergence du pays et entretenir en même temps les antivaleurs comme la corruption.

« Nous avons le devoir de baliser la voie de l’émergence du Congo tant attendue. Or, il est incompatible de sauver d’un côté l’émergence d’un pays, et de l’autre entretenir dans ce même pays, les antivaleurs comme la corruption, la concussion, la fraude, j’en passe. Le seul secret pour y arriver, c’est le changement de comportement des filles et fils de ce beau pays que nous aimons tous. Ce qui est encore mieux et beaucoup plus simple et facile d’ailleurs, c’est que cette émergence de notre pays, nous n’irons jamais la négocier ailleurs qu’avec nos propres cœurs, ces cœurs que nous portons sur nous », a laissé entendre le Président de la HALC.

Quant à Céphas Germain EWANGUI, le Secrétaire permanent du Conseil consultatif de la société civile et des Organisations non Gouvernementales, selon lui, la synergie d’action avec la HALC est importante pour renforcer la lutte contre la corruption. Un fléau qui entrave le progrès du pays à plus d’un titre. « La corruption, a sa dimension « passive », celle du corrompu et sa dimension « active » celle du corrupteur. Il s’agit de deux acteurs qui passeront un compromis pour commettre ou promouvoir un abus. Cela, avec l’amplification devient à n’en douter, une des plus graves entraves au progrès d’un pays. Elle paralyse la société, aggrave les injustices, amène le pays à avoir des cadres et spécialistes bidons, parce que fruit de la corruption pour l’obtention des diplômes et qualifications imméritées avec tous les dangers publics qui vont avec. », a expliqué Céphas Germain EWANGUI.

« C’est dans cette optique que le Conseil consultatif de la société civile s’est engagé à soutenir les efforts déployés à ce jour par la Haute Autorité de Lutte contre la Corruption et entend tout mettre en œuvre pour aider les organisations de la société civile spécialisées sur cette thématiques à se constituer en plateforme solide dans l’optique de travailler au jour le jour à l’amélioration de l’indice de perception de la corruption dans notre pays et ceci, en appui aux dynamismes engagées par les différentes institutions dont en première ligne la Haute Autorité de Lutte contre la Corruption. », a rassuré Céphas Germain EWANGUI.

A noter que cette activité est donc la bienvenue. Elle permettra aux leaders des différentes organisations de la société civile d’accéder aux informations utiles, d’avoir pleinement de connaissances, ders stratégies mises en place par la HALC pour conduire au mieux cette bataille et aussi d’accéder aux données juridiques disponibles et le tout pour se mettre ainsi en ordre de bataille pour apporter dans toutes les mesures possibles, leur part de contribution contre ce fléau.

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Budget 2023 : le FMI demande au Congo de rationaliser ses dépenses

Publié le 12 Décembre 2022 par GéoAfriqueMédias.cg dans Economie

Le Fonds monétaire international (FMI) propose au gouvernement congolais, dans son récent rapport, de prendre des « mesures durables » pour des dépenses essentielles favorisant la croissance à moyen terme.   

Le gouvernement est appelé à supprimer totalement la nouvelle subvention introduite en faveur de la Société nationale des pétroles du Congo (SNPC) et à éliminer des exonérations de la taxe sur la valeur ajoutée ainsi que des droits de douane dont bénéficie cette compagnie d’État. Ces mesures devront être mises en œuvre dès 2023 en tenant compte notamment de la courbe baissière de l'inflation, du prix des carburants et du gaz domestique ainsi que du renforcement de l'aide sociale pour protéger les plus vulnérables.

Globalement, les priorités des autorités congolaises demeurent la relance économique, le paiement des arriérés et de la dette extérieure, y compris la constitution des réserves. « La diversification économique et la création d'emplois dépendront de ces efforts budgétaires et de l'intensification des réformes structurelles. L'amélioration de la gestion des finances publiques, ainsi que la gouvernance, la transparence et les réformes du secteur financier seront prioritaires dans le programme de réforme du gouvernement », a insisté l’Institution de Bretton Woods.

Dans le rapport publié le 6 décembre dernier sur la deuxième revue du programme triennal avec le gouvernement congolais, le FMI a averti sur le risque lié à la pression inflationniste (3,5%) sur la reprise économique. Il recommande alors une meilleure réglementation des prix des produits alimentaires essentiels et la modération des coûts de transport en vue de baisser la courbe de l’inflation.

Les services du FMI ont noté le non-respect du critère de référence structurel relatif au décret sur les règles en matière de conflits d'intérêts, à cause du retard de publication et des lacunes dans les normes de déclaration. Ils ont également fustigé l’introduction à la SNPC relative à l’importation de carburant, alors que les recettes d'exportation de pétrole brut de la société profitent des prix élevés du pétrole au niveau mondial.

« Les performances dans le cadre de l’exécution du programme ont été mitigées. Trois des cinq critères de performance de fin juin n’ont pas été respectés. En particulier, le déficit primaire hors pétrole et le financement intérieur net ont largement dépassé leurs objectifs. Cela s'explique par l'introduction d'une subvention à la SNPC pour l'importation de carburant, sans compensation des avances de dividendes au budget de la part de la compagnie pétrolière de l’État », a martelé le FMI.

Rappelons que le FMI et le gouvernement sont parvenus à un accord sur l'achèvement de la deuxième revue au titre de la facilité élargie de crédit.

 

Fiacre Kombo
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Le Répertoire des résultats de la recherche agricole au Cameroun 2022 présenté au public à Yaoundé

Publié le 12 Décembre 2022 par GéoAfriqueMédias.cg dans Sciences et Innovations

Pour valoriser et vulgariser à grande échelle les résultats de recherche agricole, en vue de booster la productivité et la production agropastorales, le gouvernement, à travers le ministère de la Recherche scientifique et de l’Innovation (MINRESI) que manage Dr Madeleine Tchuinté a, le 16 novembre 2022 à Yaoundé, solennellement présenté au public le Répertoire des résultats de la recherche agricole au Cameroun.

Afin d’édifier les utilisateurs finaux (producteurs, transformateurs, agro-industries, particuliers, consommateurs…) sur les prouesses de la recherche agricole nationale, on y trouve dans ce document des semences améliorées de base (en quantité et qualité) des produits de grande consommation adaptées aux 5 zones agro-écologiques du Cameroun.

Il s’agit : des cultures vivrières (maïs en 30 variétés, riz en 50 variétés, sorgho/mil en 20/4 variétés, blé en 22 variétés, haricot en 22 variétés, arachide en 16 variétés, niébé en 27 variétés, soja en 9 variétés et cultures maraîchères en 30 variétés) ; des tubercules et bananier (pomme de terre en 55 variétés, manioc en 55 variétés, igname en 100 variétés, macabo /taro en 2/4 variétés, patate douce en 5 variétés, bananier plantain en 600 cultivars et bananier dessert en 4 variétés) ; des cultures d’exportation (cacaoyer en 150 variétés, caféier en 500 variétés, coton en 20 variétés, hévéa en 17 variétés, théier en 50 variétés, palmier à huile en 14 variétés, agrumes et fruitiers en 200 variétés, anacardier et Acacia senegal en cours de caractérisation et raisin de table en 8 variétés) ; de l’élevage (race bovine, volaille, porc, petits ruminants, hérissons, escargot, caille… ) et de la pêche (poisson) ; des forêts, sols et environnement ; des biofertilisants et la lutte contre les insectes et les ravageurs.

Le maître d’œuvre du document de 77 pages consacré à la recherche agricole solennellement présenté, devant un parterre de membres du gouvernement et des partenaires au développement, par le Pr Eddy Ngonkeu, Conseiller technique N°2 au MINRESI et spécialiste de l’agriculture biologique, est l’Institut de recherche agricole pour le développement (IRAD) dirigé par le Dr Noé Woin (directeur de recherche).

Visiblement, l’apport de la recherche agricole dans la mise en œuvre de la Stratégie nationale de développement 2020-2030 (SND30), de la politique d’import-substitution et de la marche du Cameroun vers l’émergence en 2035 est effectif.

S’agissant de la substitution de l’importation de la farine de blé, le répertoire démontre que les chercheurs de l’IRAD ne ménagent aucun effort pour entreprendre et vulgariser la fabrication de la farine alternative locale (manioc, patate douce, banane plantain, igname).

C’est dire que la recherche en matière de transformation agro-alimentaire locale occupe une place de choix dans les laboratoires de référence de l’Institut de Nkolbisson, en vue de promouvoir la consommation du ‘’made in Cameroon’’ (café, beurre de cacao, fromages, yaourts, biscuits, beignets, jus…).

En présentant l’état des lieux de la recherche agricole au Cameroun, Dr Noé Woin a déroulé les missions de l’IRAD ; sa démarche scientifique participative avec les acteurs du secteur rural ; son occupation territoriale avec 89 structures opérationnelles ; les zones agro-écologiques ; ses acquis majeurs en termes de cultures créées ou sélectionnées et vulgarisées, d’introduction de races pures d’animaux exotiques ; ses réponses aux défis majeurs que sont le changement climatique, la digitalisation agricole, la valorisation des produits agricoles, les pandémies telles que le COVID-19, la politique d’import-substitution, la diffusion des résultats de la recherche ; et son partenariat très diversifié.

Bref, ce répertoire 2022 présente les innovations et paquets technologiques de la recherche agricole qu’offre le gouvernement pour assurer de manière durable l’autosuffisance et la souveraineté alimentaire du Cameroun.

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APAFReP, le projet de l'IRAD (Cameroun) retenu par l'OIF pour la Recherche-innovation dans le Bassin du Congo

Publié le 12 Décembre 2022 par GéoAfriqueMédias.cg dans Sciences et Innovations

Le projet innovant présenté par l’Institut de Recherche Agricole pour le Développement (IRAD) que dirige le Dr Noé Woin intitulé : «Amélioration de la production de l’agriculture familiale et Réduction de la pauvreté par la valorisation des savoirs et savoir-faire paysans pour la mise au point des produits agricoles innovants (APAFReP)» fait partie des projets sélectionnés par un jury international et pluridisciplinaire pour un montant de 118 millions Fcfa environ.

Le projet échelonné sur une durée de 2 ans et qui va bientôt être implémenté vise à booster la production agricole et piscicole à travers un appel compétitif ouvert à tous les chercheurs de l’IRAD sur l’ensemble du territoire national.

Selon les promoteurs, Il va permettre de retenir 15 mini-projets au terme duquel 16 produits innovants seront mis au point.

D’après les responsables de l’IRAD, les champs thématiques retenus à cet effet sont : les semences améliorées, la pisciculture et le matériel agricole.

Bien évidemment, lesdits produits innovants seront protégés par des brevets de l’Organisation africaine de la propriété intellectuelle (OAPI).

L’objectif général de ce projet est de contribuer à créer un environnement de la recherche et innovation (R&I) inclusif en RDC et au Cameroun et favorable au développement durable (DD).

Et l’objectif de l’IFDD est, à travers bien d’autres projets pertinents selectionnés, de renforcer son soutien aux acteurs de la recherche pour la mise en œuvre de projets novateurs, le suivi de proximité et la capitalisation des résultats probants. Car, selon la directrice de l’IFDD, Cécile Martin-Phipps, «l’adaptabilité et la résilience de nos sociétés nécessitent des solutions innovantes portées par la jeunesse francophone pour renforcer leur autonomisation grâce au dispositif de la recherche au marché».

L’Institut de la Francophonie pour le Développement Durable (IFDD), qui est un organe subsidiaire de l’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF), en partenariat avec plusieurs institutions, à savoir : l’Université Kongo en République Démocratique du Congo (RDC), Eden Africa et Ingénieurs Sans Frontières a lancé, en mai 2021, un appel à projets dénommé «Déploiement des technologies et innovations environnementales pour le développement durable et la réduction de la pauvreté au Cameroun et en RDC (PDTIE). À travers une subvention du Fonds Afrique, Caraïbes et Pacifique (ACP) pour l’Innovation, une des composantes du Programme de Recherche et d’Innovation de l’Organisation des États d’Afrique, des Caraïbes et du Pacifique (OEACP), avec la contribution financière de l’Union européenne (UE).

Source Médiaterre

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La transition écologique en ordre de marche industrielle

Publié le 12 Décembre 2022 par GéoAfriqueMédias.cg dans Environnement

Dans un contexte de contraintes budgétaires, l’État seul ne pourra pas faire face aux investissements colossaux qu’exige la transition énergétique. Les investissements privés vont donc jouer un rôle clé pour financer l’innovation et le déploiement des énergies décartonnées.

Dans le monde, le besoin de financement de la transition énergétique a été chiffré par l’Irena, l’Agence internationale des énergies renouvelables, à plus de 131.000 milliards de dollars d’ici 2050. La décarbonation de l’énergie ne pourra donc s’accomplir sans une forte implication du secteur privé. Le secteur public doit créer un cadre réglementaire et fiscal favorable pour orienter les filières énergétiques et stimuler l’innovation. Mais c’est essentiellement au secteur privé qu’il revient de financer l’innovation et le déploiement des nouvelles infrastructures de production et de distribution des énergies décartonnées.

En France, par exemple, l’Etat n’a pas les moyens, ni financiers ni techniques, de mener seul la transition énergétique, d’autant qu’il devra investir des sommes colossales dans l’entretien et la mise à niveau du parc nucléaire par exemple. Il doit fixer le cap et mettre en place des incitations pour favoriser les investissements privés, dans un contexte où l’explosion des prix de l’énergie accélère la recherche d’alternatives plus compétitives et plus vertueuses.

Investir massivement dans les énergies renouvelables

Premier producteur d’énergie éolienne et solaire en France, Engie a ainsi annoncé des investissements de 15 à 16 milliards d’euros sur les années 2021-2023, dont 40 et 45 % seront consacrés aux capacités de génération d’électricité à partir d’éolien et de solaire. L’énergéticien français compte ainsi passer de 31 gigawatts (GW) de capacités d’énergie éolienne, solaire et hydraulique en 2021 à 50 GW d’ici à 2025, puis à 80 GW à l’horizon 2030. Grâce à ces investissements, Engie vise désormais la neutralité carbone en 2045 (et non plus 2050).

« Nous sommes à un moment charnière du monde de l’énergie », souligne Catherine MacGregor, directrice générale d’Engie. « Partout, l’urgence climatique est au cœur de la relance post-Covid. Engie doit se préparer pour pouvoir saisir des opportunités ». « Construire le bon projet, au bon endroit, avec le bon prix, en l’opérant de manière optimisée : c’est comme cela que nous voulons nous différencier », ajoute Jean-Pierre Clamadieu, le président d’Engie.

Pionnier de l’éolien en mer, Engie a ainsi été choisi par l’Etat français, pour développer, installer et exploiter, avec ses partenaires EDP Renewables et la Caisse des Dépôts, deux parcs éoliens offshore, d’une puissance de 496 MW chacun, l’un au large de Dieppe - Le Tréport et l’autre sur la zone des îles d’Yeu et de Noirmoutier. Engie, EDP Renewables et la Caisse des Dépôts, avec leurs partenaires industriels Eiffage, Principle Power, General Electric (GE) et RTE, ont également été sélectionnés par l’Etat dans le cadre de l’appel à projets éolien flottant, pour installer une ferme pilote au large de Leucate – Le Barcarès, dans l’Aude.

Dans le solaire, après l’acquisition de la société Solaire direct, Engie exploite notamment la centrale de Curbans, dotée de 105.000 panneaux photovoltaïques, implantés à 1.000 mètres d’altitude dans les Alpes-de-Haute-Provence, ainsi qu’un parc de 180 hectares à Gréoux-les-Bains. L’énergéticien compte aussi miser sur son héritage gazier pour jouer la carte de l’hydrogène vert, considéré comme une priorité d’investissement par le gouvernement français. « Toutes les activités d’Engie vont bénéficier de l’essor de l’hydrogène », assure Catherine MacGregor, même si aujourd’hui la maturité de l’hydrogène vert est celle des « énergies renouvelables il y a quinze ans ».

Résoudre la difficile équation de la mobilité lourde

L’hydrogène vert, c’est aussi le segment privilégié par la société d’investissement Kouros, créé en 2016 par l’ancien avocat international Alexandre Garese, et spécialisée dans les nouvelles énergies et la mobilité durable. Pour lui, la prise en compte croissante des critères ESG et ISR dans les investissements est très positive : « nous avons besoin que le maximum d’outils soient mis en œuvre, à tous les niveaux, pour enclencher la grande migration de capitaux d’un système carboné à un nouveau système énergétique décarboné, explique Alexandre Garese. Nous y sommes particulièrement attentifs chez Kouros, car c’est un accélérateur pour le développement de nos activités ».

Kouros a notamment développé depuis quatre ans une expertise certaine dans le domaine de l’hydrogène vert, avec six investissements et deux nouvelles sociétés créées. Hyliko, notamment, est aujourd’hui l’un des premiers acteurs en Europe du camion hydrogène et de la décarbonation des flottes de poids lourds. Cette société propose aux transporteurs et aux logisticiens une offre de leasing et d’entretien des camions hydrogène, ainsi que la fourniture d’un hydrogène vert produit à partir de biomasse.

« À mes yeux, les deux principales conditions d’une mobilité durable sont l’énergie renouvelable d’une part, et l’infrastructure à la dimension du bassin de vie d’autre part, estime Alexandre Garese. Ces deux critères président aux choix stratégiques de Kouros. Nous cherchons à produire une énergie propre, et à la consommer « sur place » sans dégrader dans le transport la qualité acquise lors de l’extraction ou de la fabrication ».

Plus largement, Kouros a l’ambition d’affirmer son positionnement d’acteur de premier plan dans la refondation du système énergétique sur des bases décarbonées et le développement de projets énergétiques d’avenir. Pour respecter les accords de Paris et limiter le réchauffement climatique à 1,5°C en 2100, « remplacer les énergies fossiles par des énergies renouvelables ne suffira pas, souligne Alexandre Garese. Il faudra en même temps retirer massivement et rapidement du carbone de l’atmosphère… En tant qu’investisseur et entrepreneur, Kouros s’impose donc ce double impératif ».

« La transition écologique passe par la rationalité économique, estime le créateur de Kouros. Aujourd’hui, nous avons plus que jamais besoin du monde de la finance, pour que les projets énergétiques passent d’une culture de la rente à une culture de la rentabilité ».

Électrifier le parc automobile : un défi industriel

Des investissements privés massifs sont aussi à l’œuvre dans la forte accélération de l’électrification du marché automobile européen. Bruxelles a prévu en effet d’interdire toutes les ventes de voitures à moteurs thermiques, hybrides compris, à partir de 2035. Précurseur de l’électromobilité, Renault a ainsi annoncé viser 100 % de ses ventes en voitures électriques en 2030. « On s’est mis en tête de préparer les conditions pour que Renault soit une marque 100 % électrique à horizon 2030 », a ainsi déclaré Luca de Meo, directeur général de Renault.

Pour amortir ses investissements sur les deux plateformes de voitures électriques CMF-BEV et CMF-EV, Renault devra nécessairement s’appuyer sur son allié Nissan. D’autant que Renault investit également dans un vaste projet de campus industriel dans les Hauts-de-France, doté de cinq usines d’où sortiront 400.000 voitures électriques par an (batteries incluses). La marque au Losange a en effet confirmé son intention de concentrer toute la production en France sur les sites de Douai, de Maubeuge, de Ruitz et de Cléon. Cinq voitures électriques seront produites au sein de ce pôle : la nouvelle Mégane (depuis début 2022), la R5 (2024) et la nouvelle Scenic à Douai ; les utilitaires comme le Kangoo (2023) et la nouvelle 4L (2024) à Maubeuge. Le site de Ruitz sera chargé de la fabrication des boîtes de vitesses équipant l’ensemble de la gamme E-TECH et de la production de bacs batteries pour les véhicules électriques fabriqués en France. Quant à l’usine de Cléon, en Normandie, elle aura, dès 2023, une capacité de production de plus d’un million de moteurs par an.

« C’est une accélération historique de la stratégie électrique de Renault Group et du made in Europe, se félicite Luca de Meo. En construisant avec Renault ElectriCity un écosystème électrique compact alliant efficience et haute technologie dans le Nord de la France, ainsi qu’une megafactory dédiée au moteur électrique en Normandie, nous créons les conditions de notre compétitivité, à domicile ». Le Losange a aussi annoncé un partenariat avec le chinois Envision pour la construction à Douai d’une gigafactory de batteries, qui équiperont notamment les futures R5 électriques à partir de 2024. Un projet qui représente pour Renault un investissement de deux milliards d’euros.

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Développement des filières piscicole, porcine et bovine au Cameroun : des chercheurs de l'IRAD arrimés aux pratiques de gestion et d'élevage modernes

Publié le 12 Décembre 2022 par GéoAfriqueMédias.cg dans Economie

À travers des ateliers de formation organisés à l’endroit d’une quatre vingtaine chercheurs juniors et techniciens de l’Institut de Recherche Agricole pour le Développement (IRAD) que dirige le Dr Noé Woin, dans le cadre du Projet de Développement des Chaînes de Valeur de l’Élevage et de la Pisciculture (PDCVEP) soutenu par la Banque Africaine de Développement (BAD), les 18 et 19 août à Limbe (région du Sud-Ouest) pour la filière piscicole, les 15 et 16 septembre à Yaoundé (région du Centre) pour la filière porcine et les 22 et 23 septembre 2022 à Bangangté (région de l’Ouest) pour la filière bovine.

Généralités sur l’élevage, techniques de logement, techniques d’alimentation, formulation alimentaire, techniques de reproduction, gestions technique, économique, commerciale et environnementale de l’élevage, prophylaxie et principales maladies, description et présentation des règles de biosécurité, gestion des écloseries, travaux pratiques sur la composition des aliments. Voilà, entre autres, notions et enseignements riches qui ont meublé les différents ateliers de formation animés par des experts chevronnés.

Au cours d’un de ces séminaires, le Responsable spéculation porc et Point focal IRAD à l’unité de coordination PDCVEP, Yves Merlin Ndjondjip, a laissé entendre que, dans le cadre de ce projet, des géniteurs porcins seront mis à la disposition de l’IRAD, ainsi que des formations pointues dans les trois domaines.

Au cours des différentes remises solennelles des attestations de fin de formation aux participants provenant de par les Structures opérationnelles de l’Institut, disséminées à travers le pays, les dirigeants ont demandé aux personnels bénéficiaires desdites formations d’en faire bon usage afin de booster une fois pour toutes les filières porcine, bovine et aquacole au Cameroun.

Source Médiaterre

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Unissons nos efforts contre la corruption pour le développement, la paix et la sécurité

Publié le 9 Décembre 2022 par André LOUNDA dans Société

Le 09 décembre de chaque année, la communauté internationale célèbre la Journée Internationale de Lutte contre la Corruption. Cette année, elle est célébrée à travers le monde sous le thème : « La CNUCC à 20 ans : Unir le monde contre la corruption ». Cette journée vise à mobiliser les acteurs publics et non étatiques contre la corruption. En république du Congo à l’instar des autres pays, à l’occasion de cette journée, Emmanuel OLLTA ONDONGO, Président de la Haute Autorité de Lutte contre la Corruption (HALC) a fait une déclaration dont voici sa teneur.

DECLARATION DU PRESIDENT DE LA HAUTE AUTORITE DE LUTTE CONTRE LA CORRUPTION A L’OCCASION DE LA JOURNEE INTERNATIONALE DE LUTTE CONTRE LA CORRUPTION,

                                                          EDITION 2022

Mesdames et Messieurs,

Chers compatriotes,

Le 09 décembre, le Congo à l’instar de la communauté mondiale, commémore la journée Internationale de Lutte contre la Corruption.

Cette date marque l’adoption et la signature par les Etats, au sein de l’Organisation des Nations Unies, de la Convention des Nations Unies contre la Corruption en 2023, traduisant leur volonté et leur détermination à combattre le phénomène dévastateur de la corruption.

La corruption, comme on peut le constater à l’avant-propos de cette convention, je cite : « La corruption est un mal insidieux dont les effets sont aussi multiples que délétères. Elle sape la démocratie et l’Etat de droit, entraine des violations des droits de l’homme, fausse le jeu des marchés, nuit à la qualité de la vie et crée un terrain propice à la criminalité organisée, au terrorisme et à d’autres phénomènes qui menacent l’humanité. », Fin de citation.

Qu’on l’entende bien, la corruption est un phénomène très dangereux, qui annihile tous les efforts de construction de l’Etat de droit, de la démocratie et de développement économique et social.

L’adoption de la Convention des Nations Unies contre la Corruption signifie en clair que la communauté internationale est déterminée à prévenir et à endiguer ce phénomène. A ce jour, cela fait 20 ans d’engagement contre la corruption est-il bien compris par tous, dans les Etats partis ?

Le Congo, notre pays a souscrit à cette démarche par la promulgation de la loi N°13-2005 du 14 septembre 2005 autorisant la ratification de la Convention des Nations Unies contre la Corruption.

Aussi, il a marqué son adhésion à cette convention depuis le 13 juillet 2006.

Depuis lors, des efforts ont été fournis pour la mise en œuvre de la Convention des Nations Unies contre la Corruption. C’est dans ce cadre que le Gouvernement du Congo a engagé toutes les réformes du dispositif de lutte contre la corruption qui ont abouti récemment, non seulement à la création de la la Haute Autorité de Lutte contre la Corruption par la loi N°3-2019 du 7 février 2019, mais aussi à la promulgation de la loi N°9-2022 du 11 mars 2022 portant prévention et lutte contre la corruption et les infractions assimilées.

Cette dernière loi Convention des Nations Unies contre la Corruption, à l’image de la Convention des Nations Unies, contient toute une série de normes, de mesures et de règles que le Congo peut appliquer pour réformer le régime juridique de lutte contre la corruption.

En effet, elle prévoit l’adoption de mesures préventives et la criminalisation des formes de corruption les plus répandues dans les secteurs public et privé. Et elle marque un tournant décisif en ce qu’elle exige la restitution des fruits de la corruption au pays spolié.

20 ans après l’adoption de la Convention des Nations Unies, la corruption demeure un  défi qui ne saurait être l’affaire des seuls gouvernants.

Le combat contre la corruption devrait requérir la volonté de tous. C’est dans cette perspective qu’est saisi le sens de la célébration de la journée internationale de lutte contre la corruption, édition 2022 dont le thème est « 20 ans de la Convention des Nations Unies contre la Corruption : Unissons le monde contre la Corruption ».

Mesdames et Messieurs,

Depuis, le Congo, par les réformes qui se sont succédé, en phase avec la Convention des Nations Unies contre la Corruption, avec les efforts entrepris, a commencé à remonter sur l’échelle de classement de Transparency international en passant du 165ème rang au 162ème rang. La sensibilisation menée depuis l’année dernière par la HALC ainsi que les résultats des enquêtes en cours de traitement ne manqueront pas de faire bouger davantage les lignes.

Mais, comme peut le laisser suggérer le thème de notre journée, la lutte contre la corruption nous interpelle tous car nous avons l’obligation de garantir une vie meilleure aux générations futures.

Autour de la Haute Autorité de Lutte contre la Corruption, unissons donc tout le monde : jeunes et vieux, femmes et hommes, responsables gouvernementaux, fonctionnaires, agents des forces de l’ordre, représentant des médias, opérateurs du secteur privé, organisation de la société civile et universitaire, pour combattre ensemble le phénomène de corruption.

Vive la Convention de Nations Unies contre la Corruption ;

Vive le Congo sans corruption : Je vous remercie !

 

                                                                         Fait à Brazzaville, le 9 décembre 2022

 

                                                                                            Le Président de la HALC,

 

                                                                                            Emmanuel OLLITA ONDONGO

A titre de rappel que c’est en 2002 que le monde s’est réuni pour adopter un accord historique, la Convent des Nations Unies contre la Corruption (CNUCC). Depuis lors, 188 parties se sont engagées dont le Congo notre pays à respecter les obligations de cette convention en matière de lutte contre la corruption, ce qui témoigne d’une reconnaissance quasi universelle de l’importance de la bonne gouvernance, de la responsabilité et de l’engagement politique.

Dénoncez les actes de corruption pour défendre les valeurs démocratiques en appelant le Numéro vert de la HALC, 1023

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Participez au débat organisé par le programme de R&I de l'OEACP: "Comment rapprocher les universités des industries en Afrique"

Publié le 7 Décembre 2022 par GéoAfriqueMédias.cg dans Communiqué de Presse

Le programme de recherche et d’innovation de l’OEACP organise un débat sur le thème “Rapprocher les universités des industries” le 9 décembre 2022.

Libérer l’innovation pour accélérer le développement durable nécessite une bonne collaboration à quadruple hélice, entre l’industrie, le gouvernement, les universités et la société. Si l’intégration de la recherche et de l’éducation est généralement assez simple, la création de partenariats entre l’industrie et le monde universitaire reste un défi, tout comme l’engagement des organisations de la société civile. Comme le souligne le document de travail du programme d’innovation UA-UE, le continent africain manque de capacités d’échange de connaissances et de transfert de technologies.

L’objectif de ce débat est d’explorer le sujet de la collaboration université-industrie et de répondre à trois questions :
– Que savons-nous des liens entre l’université et l’industrie en Afrique ?
– Comment renforcer ces liens par le biais de l’élaboration de politiques ?
– Quelles sont les meilleures pratiques pour des collaborations réussies ?

Lire le dépliant

(pour obtenir plus d’informations sur les trois intervenants et pour accéder à des publications utiles)

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