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Madame Nelly OYA a été déclaré Docteur de l'Université Marien NGOUABI, avec les félicitations du Jury

Publié le 30 Décembre 2022 par André LOUNDA dans Eduaction

<< Formulation des ITEMS d'Évaluation en Rédaction au Brevet d'Étude du Premier Cycle ( BEPC) en République du Congo >>, constitue le titre de la soutenance de thèse de Doctorat Unique dans la Domaine: Sciences de l'Éducation de la Formation Doctorale: Didactique des disciplines et évaluation dans la Spécialité/Option: Didactique de Français de l'École Normale Supérieure (ENS) de l'Université Marien NGOUABI, présentée et soutenue publiquement, le 29 décembre 2022 par Madame Nelly OYA, sous la direction de thèse d'Édouard NGAMOUNTSIKA, Professeur Titulaire, UMNG de Brazzaville.

En effet, le Jury composé de :

-Président : ONGOKA Pascal Rebda, Professeur, Université Marien NGOUABI;

-Rapporteur externe: Archer Maurice, Maître de Conférences, École Normale Supérieure d'Abidjan (Côte d'Ivoire);

-Rapporteur interne: GOMBÉ APONDZA Guy Roger Cyriaque, Maître de Conférences, UMNG;

-Examinateur : NZANGA NSIOKA Alphonse, Professeur Ordinaire, Université Pédagogique de Kinshasa, (RDC). Le Jury après avoir entendu, échangé, discuté avec la candidate, examiné et évalué le travail de cette dernière, lui décerne le grade de Docteur de l'Université Marien NGOUABI, avec la mention << Très Honorable >> et les félicitations du Jury. Cette mention se justifie par la qualité du travail fournit par l'impétrante et aussi, le Jury l'a recommandé de 'incorporer toutes les observations faites pour peaufiner son travail.

En résumé, cette recherche portant sur la formulation des items d'évaluation en rédaction au BEPC en République du Congo, vise à identifier les causes de maladresse dans la formulation des items d'évaluation en rédaction au BEPC ; de vérifier l'impact de ces items sur les performances des candidats lors des évaluations ; de suggérer à la lumière des résultats de cette recherche, quelques approches de solutions ; d'amener les inspecteurs et enseignants de Français du Congo à pratiquer les principes et les exigences didactiques et docimologiques de formulation des noms en rédaction. Le choix de ce thème part du constat fait ses dernières années, les items d'évaluation de la rédaction au BEPC présentent des problèmes divers. Soit-il ne suscite pas suffisamment les comportements attendus des candidats et n'indiquent pas exactement ce que les candidats doivent faire, soit, ils ne portent pas toujours sur les thèmes de programme d’enseignement.

Cependant, les exigences didactiques et docimologiques recommandait qu’un item d’évaluation soit formulé de telle sorte que les candidats comprennent exactement ce qui leur a été enseigné. Il doit préciser la consigne à respecter. Alors, l’évaluation des apprentissages est une composante essentielle de question de la formation  des candidats. Nous avons focalisé notre recherche dans la période allant de 2010 à 2019. La question principale de cette étude est : Comment les items d’évaluation en rédaction au BEPC sont-ils formulés ? Autour de cette question principale, gravitent des questions secondaires, quel genre de questions les enseignants formulent-ils au BEPC ? Pourquoi les candidats ont-ils des faibles notes en rédaction au BEPC ? Que faire pour pallier ces lacunes ? La réponse imaginée à cette problématique s’est appuyée sur une méthodologie portant sur la sélection des items formulés par les inspecteurs et enseignants de Français au Congo. Ce travail présente en matière d’évaluation et leur impact sur les maladresses de candidats.

 

Madame Nelly OYA a été déclaré Docteur de l'Université Marien NGOUABI, avec les félicitations du JuryMadame Nelly OYA a été déclaré Docteur de l'Université Marien NGOUABI, avec les félicitations du JuryMadame Nelly OYA a été déclaré Docteur de l'Université Marien NGOUABI, avec les félicitations du Jury
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Les cadres de la HALC renforcent leurs capacités sur les droits humains et la lutte contre la corruption

Publié le 29 Décembre 2022 par André LOUNDA dans Société

Les droits humains et la lutte contre la corruption au centre d'une session d'information à l'attention des cadres de la Haute Autorité de la Lutte contre la corruption (HALC). Organisée le 29 décembre 2022 à Brazzaville par le Haut-Commissariat des Nations Unies aux Droits de l'homme (HCNUDH), cette session a pour objectifs: édifier les participants sur le lien entre d'une part la lutte contre la corruption et les droits humains; faire acquérir des connaissances sur l'évaluation des politiques publiques et son intérêt pour la lutte contre la corruption et permettre à la HALC de questionner les approches adoptées pour lutter contre la corruption en se référant à l'approche basée sur les droits humains et l'évaluation des politiques publiques.

Placée sous le patronage du Ministre du Contrôle d’Etat, de la Qualité du Service Publique et de la lutte contre les Antivaleurs, Jean Rosaire IBARA en présence d’Emmanuel OLLITA ONDONGO, Président de la HALC et du Docteur Lucien MANGA, Coordonnateur Adjoint du Système des Nations Unies en République du Congo, qui en premier dans son discours, a fait savoir que la corruption existe dans tous les pays sans exception même s’il y a en a qui sont plus affectés  par cette gangrène que d’autres. Elle nuit au développement d’un pays et entrave l’accès des populations à la justice et aux services sociaux de base tels que les soins de santé primaire, l’éducation et une alimentation suffisante.

Aussi, le Dr Lucien MANGA a rappelé que la République du Congo, à l'instar d'autres pays, a mis en mis en place une Haute Autorité de Lutte contre la Corruption. Elle dispose également d'un cadre institutionnel approprié pour la promotion des droits humains. L'objectif que nous tous c'est celui de rendre cette institution performante. Nous sommes cependant encouragés par le fait que les cadres de cette structure jouent déjà leur rôle avec une bonne implication de la société civile. Ainsi, la présente va permettre de renforcer les capacités de cette institution et en même temps de mettre en lumière l'impact négatif de la corruption sur l'avancée des droits humains.

Par ailleurs, il a souligné que la création d’institutions anticorruption et l’implication de la société civile contribuent à améliorer la visibilité citoyenne sur l’utilisation des fonds publics. Dans ce cadre, lac Haute Autorité de lac Lutte contre la Corruption joue un rôle essentiel dans l’évaluation des politiques publiques. L’assurance des garde-fous tels que les déclarations de patrimoine et la protection affective des lanceurs d’alerte peut s’avérer cruciale à cet égard, tout comme l’appui des Ministères du Contrôle d’Etat et de la Justice.

Pour conclure, le Dr Lucien MANGA a réitéré l’engagement du Système des Nations Unies à accompagner le gouvernement congolais dans ses efforts à lutter contre ce fléau en vue d’atteindre les Objectifs du Développement Durable à l’horizon 2030.

De sa part, Emmanuel OLLITA ONDONGO, Président de la HALC, ouvrant les travaux de la session d’information a premièrement salué cette initiative et a salué la présence du Ministre du Contrôle d’Etat et les invités, puis dans un bref aperçu, il a fait la genèse de la HALC, «  La HALC trouve les germes de sa naissance entre autres dans les 48 mesures issues de l’accord entre le gouvernement de notre pays et le Fonds Monétaire International », a-t-il rappelé.

En effet, il a déclaré que la République du Congo, signataire des conventions de l’ONU et de l’Union africaine sur la lutte contre la corruption, affiche une réelle volonté politique dans le combat contre ce fléau.

Crée par la loi n° 362019 du 7 février 2019, la HALC est une autorité administrative indépendante jouissant de la personnalité morale et de l’autorité financière.

Aux cadres de la HALC, il leurs a rassuré tout en leur rappelant que cet atelier de formation est pour nous, un important « Rendez-vous du savoir » entre le personnel de la HALC et les experts en service du Haut-Commissariat des Nations Unies aux Droits de l’Homme. Le choix des thématiques qui seront présentées tout à l’heure est la preuve que les échanges qui auront lieu seront riche d’enseignements pour tous les participants. « Vous mesurez vraisemblablement tout l’intérêt de cet atelier de formation, où le partage de connaissances entre les experts de ces deux questions respectives est opéré par une familiarisation de leur langage et une réflexion sur l’éventualité de l’élaboration d’un plan d’action », a-t-il laissé entendre.

Ainsi, il a émis un vœu que cet atelier de formation, qui au demeurant est la toute première activité qui réunit la HALC et le Haut-Commissariat des Nations Unies aux Droits de l’Homme marque le début d’un partenariat fécond entre ces deux institutions. « Un tel partenariat contribuerait à éradiquer la corruption ou les antivaleurs dans notre pays », a déclaré Emmanuel OLLITA ONDONGO.

Puis, il a rassuré que pour une bonne gouvernance,  la lutte contre la corruption fait partie des priorités nationales du Programme des Nations unies pour Développement et se trouve au cœur des revendications sociales de la population et des actions de plaidoyer des organisations de la société civile, du secteur privé ainsi que des partenaires techniques et financiers. 

En rappel, le Congo avait été classé 162e sur 180 avec un score de 21 points sur 100 en 2021 sur l’échelle de l’indice de perception de la corruption de Transparency international en matière de corruption. Plusieurs études ont dénoncé la pratique de la corruption dans le secteur public ou privé de l’Etat.

Au cours de ces travaux, cette session a été placé son accent sur des échanges interactifs avec pour thématiques : Echanges sur les règles et le programme de la session avec les participantes et participants ; Engagements du Congo en matière des droits humains et lutte contre la corruption : Enjeux et perspectives ; L’approche basée sur les droits humains et lutte contre la corruption ; Evaluation des politiques publiques et lutte contre la corruption ; Exploration des pistes de réflexion sur les approches adoptées pour la lutte contre la corruption ; Synthèse, prochaines étapes et évaluation de lac session.

A noter qu’au terme de cette formation, le Haut-Commissariat des Nations Unies aux Droits de l’Homme et la HALC dans tous les prochains jours auront des échanges pour envisager l’organisation d’autres activités en tirant compte des résultats et des leçons apprises de cette première session.

 

 

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MBANI-OMBELÉ Edmond Hugues a désormais dans son parcours un Doctorat, un appel l’Etat à maintenir l’exorbitance

Publié le 28 Décembre 2022 par André LOUNDA dans Eduaction

«  L'Exorbitance en Droit Congolais », est le titre de la thèse pour l'obtention du Diplôme de Doctorat Unique dans le Domaine du Droit de la Faculté de Droit de l'L'Université Marien NGOUABI; Parcours/Option: Droit Public, dans la Spécialité du Droit Administratif présenté et soutenue publiquement, le 27 décembre 2022 à Brazzaville par MBANI-OMBELÉ EDMOND Hugues, titulaire d'Master en Droit Public, Recherche Fondamentale, placé sous la direction de thèse du Professeur Placide MOUDOUDOU, Maître de Conférences Agrégé en Droit Public (UMNG).

En effet le Jury composé de:

Président: Séraphin NÉNÉ-BI BOTI, Professeur titulaire en Histoire du Droit des Institutions à l'Université ALLASSANE OUATTARA (Côte d'Ivoire);

Rapporteur externe: Amadou NCHOUWAT, Maître de Conférences de Droit Public, Université de Yaoundé-Sao, Cameroun;

Rapporteur interne: Godefroy MOYEN, Maître de Conférences en Droit Public Doyen Honoraire de la Faculté de Droit à l'Université Marien NGOUABI;

Examinateur: Grégoire BALANDEJA WA PUNGU, Professeur Ordinaire de Droit Public à l'Université de Kinshasa(RDC).

Le Jury, après avoir entendu, échangé et discuté avec l'impétrant sur la qualité de son travail, lui décerne le titre de Docteur de l'Université Marien NGOUABI avec la mention << Très Honorable >>, et les félicitations du Jury.

Cette thèse qui se résume comme suit : L’exorbitance est aujourd’hui bouleversée sous diverses influences. Elle banalise du fait des transformations sociales : la montée en puissance de l’intérêt particulier et économique face à un intérêt général affaibli. Ces transformations en grande partie portée par le droit communautaire, notamment le droit OHADA, et CEMAC, qui applique des règles aux personnes privées que publics. Ces règles communautaires sont hostiles à l’interventionnisme économique : aux aides aux entreprises, aux abus de position dominante. Ceci pour favoriser le jeu de la concurrence entre les acteurs économiques à l’intérieur du marché commun.

 L’échec de la collectivité des moyens de production et du socialisme comme moyen de décollage économique ont contribué au recul de l’exorbitance. Ce qui a entrainé inéluctablement au mouvement de privatisation des entreprises du secteur public au profit du secteur privé : à l’émergence du contrat de droit privé dans les contrats de droit public et la valorisation du domaine public.

L’évolution, des mœurs et du droit international ont aussi contribué au déclin de l’exorbitance, désormais les autorités politiques sont devant leur responsabilité politique et pénale. Dès lors que les hommes sont égaux et aucune personne ne peut se prévaloir de sa position sociale pour s’échapper aux crimes dits internationaux.

Cependant, l’Etat ne peut pas se départir de l’exorbitance, dans l’exercice de ses missions spécifiques, il doit conserver son rôle particulier en tant qu’Etat.

Ce rôle permet à l’Etat de faire grandir son patrimoine immobilier, de rompre ou de modifier unilatéralement un contrat, de protéger ses biens.

C’est pourquoi, le maintien ou la résistance de l’exorbitance est constitué par les prérogatives d’actions, des pouvoirs spécifiques dans l’exécution, la protection des biens du domaine, l’inaliénable et l’imprescriptibilité affectées à la mission de service public. L’insaisissabilité des biens de l’Etat, du domaine public est également source de contrainte car elle rend plus ardue la valorisation du domaine public.

L’exorbitance se maintient à travers les privilèges et la protection que l’Etat octroie aux autorités politiques, administratives et aux fonctionnaires. Sans oublier certaines professions à l’instar des Avocats, Magistrats, qui ont acquis de véritables pouvoirs à l’égard de leurs membres comportant la valeur de décision juridique ou administrative.

 Ces secousses traduisent bien davantage une évolution qu’une réelle remise en cause de l’exorbitance.

 Godefroy MOYEN, le Rapporteur interne a déclaré que cette thèse est intéressante, équilibrée et écrite dans un langage particulier. Sur son fonds, il a fait savoir qu'elle est intéressante, captivante par son intitulé.

Selon Placide MOUDOUDOU, Directeur de Thèse, l’impétrant a été à la hauteur et le Président du Jury est un international qui a présidé, est un collègue qui nous vient de la Côte d’Ivoire, qui a été très impressionné par la qualité du travail. Il doit incorporer les observations qui ont été faites par les membres du Jury, c’est pour améliorer la qualité du travail avant le dépôt en Bibliothèque, toutes les coquilles de formes et de fond doivent être évacué tout simplement parce que même Dieu a fait l’ancien testament et un nouveau testament.

Quant au nouveau Docteur, dans sa thèse au cours d’une interview nous a fait savoir qu’il a voulu montrer que la puissance de l’Etat est influencée par le droit communautaire, où l’intérêt général est terni par l’intérêt individuel. Et l’Etat était impuissant ne peut plus intervenir soit pour aider une entreprise pour intervenir dans que ce soit. Raison pour laquelle que sa réflexion a été porté sur ce thème mais en réalité l’Etat ne peut se dépouiller de ses pouvoirs parce qu’il a des missions d’intérêt général. Il a un pouvoir spécifique qui lui permet de grandir son patrimoine pour exercer les missions régaliennes qui lui sont conviées. Raison pour laquelle l’Etat doit maintenir l’exorbitance. L’exorbitance aussi est mieux pour nous les publicistes parce que nous préservons les droits de l’Etat, il reste que l’Etat puisse se soumettre également aux droits, il prend des actes, il doit également respecter les décisions qu’il prend. Donc, l’Eta doit se soumettre également au droit.

 

A noter que né le 25 août 1973 à Brazzaville, MANI-OMBELE Edmond Hughes est titulaire d’un Master en Droit Public, il exerce depuis 2007 en qualité d’Huissier de Justice, Commissaire-priseur. Entre autres,  il a suivi en 2018 une formation sur la vente aux enchères à l’Ecole Nationale de Procédure à Paris en France.

 

 

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Clôture des travaux de la campagne de sensibilisation sur la lutte contre la corruption en milieu scolaire

Publié le 25 Décembre 2022 par André LOUNDA dans Société

L'École Paramédicale et Médico-sociale, Jean Joseph LOUKABOU a été le samedi 25 décembre 2022, le point de chute de la campagne de sensibilisation sur la lutte contre la corruption en milieu scolaire. Une deuxième classe anticorruption a été ouverte à cette occasion à l'endroit des élèves des établissements d'enseignement technique et professionnel dont  l'objectif étant de faire de ces élèves des ambassadeurs de la HALC au sein de leurs établissements d’origine.

 

En effet, à l'occasion de cette troisième journée, présidée par le Secrétaire Général de la HALC, EWE YAMBI MOMBILI,  les participants venus des établissements des secteurs de l'enseignement technique et professionnel, et bien d’autres,  ont suivi premièrement le discours du Directeur Antifraude du Ministère de l’Enseignement Technique et Professionnel, qui a déclaré que : « Vous voyez que cette façon de faire nous permettra de mutualiser nos efforts et changer l'expérience afin que nous visions le même objectif pour atténuer les pratiques de corruption et de fraude dans notre pays ». Puis, ils ont été édifié par un cours magistral sur la HALC et la lutte contre la corruption et la fraude en milieu scolaire, et de son instrument de communication appelé N° vert 1023 par Germain LOUBOTA, le Chef de Département de la Propagande, la Sensibilisation et de la Communication de la HALC. Il s’est agit pour ce dernier de leurs inculquer de quelques notions sur la tout en les évaluant.

Au terme de cette activité les participants ont été édifiés sur les missions et le pouvoir de cette institution et le Secrétaire Général de la HALC a déclaré close avec un satisfécit la campagne de sensibilisation sur la lutte contre la corruption et la fraude en milieu scolaire.

 

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Les portes du siège du Parti UDH-YUKI défoncées devant un huissier de justice

Publié le 25 Décembre 2022 par André LOUNDA

Les portes du siège du Parti UDH-YUKI défoncées devant un huissier de justiceLes portes du siège du Parti UDH-YUKI défoncées devant un huissier de justiceLes portes du siège du Parti UDH-YUKI défoncées devant un huissier de justice

Suite à la crise multidimensionnelle que traverse le Parti de l'Opposition Congolaise, UDH-YUKI, l'huissier de justice, commissaire priseur, près de la Cour d'Appel de Brazzaville, Pierre Claver N ITOU-NGOKO a procédé à faire défoncer les portes du siège de ce Parti sous l'œil vigilant de 16 membres du Bureau Politique après avoir fait son constat que toutes les portes étaient fermées.

En défonçant ces portes, les portes principales et arrière, le second constat a montré que toutes les portes des membres du Bureau Politique et du secrétariat du Parti sont fermées.

Après avoir fait l'état des lieux, l'huissier de justice après avoir échangé avec les membres du Bureau Politique de l'UDH-YUKI pour conclure, les membres du Bureau Politique sur un total de 23 membres, 16 ont été présents, ils se sont réunis pour débattre les points soumis à l'ordre jour à savoir: la vérification des présences; l'examen et adoption de l'OJD; point d'information; examen et adoption du compte rendu de la dernière session du Bureau Politique; examen de l'acte pris par le 1er Vice-président en dehors du Bureau Politique et ses conséquences. Puis, les divers.

A noter que le quorum étant atteint, le 2ème Vice-président en dirigeant les travaux a rendu compte sur la rencontre du Parti UDH-YUKI et le Ministre de l Administration du territoire, de la décentralisation et du développement local.

 

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La HALC a procédé à l'ouverture d'une classe anticorruption à Brazzaville

Publié le 23 Décembre 2022 par André LOUNDA dans Société

C’est ce qui est ressortit le vendredi 23 décembre 2022 au terme de cette deuxième journée relative à la campagne de sensibilisation à la lutte contre la corruption en milieu scolaire. Cette classe a pour objectif principal d’intérioriser les élèves des notions antifraudes. Initiée par la HALC, cette campagne de sensibilisation à lutte contre la corruption en milieu scolaire a rassuré les participants que l'école congolaise n'est pas épargnée par la corruption, la fraude, la concussion et les infractions assimilées.

En effet, à l'occasion de cette deuxième journée, les participants venus de plusieurs secteurs de l'enseignement, les représentants de la société civile, les syndicalistes et les professionnels du public et privé ont suivi des exposés et échangés avec les panélistes dont le 1er intervenant a été, le Directeur Antifraude du Ministère de l'Enseignement Préscolaire, Primaire, Secondaire et de l'Alphabétisation, qui a fait une présentation et gestion de fraude en milieu scolaire. Le 2ème intervenant, le Directeur Antifraude du Ministère de l'Enseignement Technique et Professionnel a développé le thème:<< Identification et caractéristiques des cas de fraude et de corruption: cas de l'Enseignement Technique et Professionnel. Plusieurs autres thèmes ont été présentés aux participants. Au terme de la rencontre, les participants avec satisfaction ont apprécié cette initiative de la HALC. Le Secrétaire Général de la HALC clôturant les travaux au nom du Président de cette institution a remercié les intervenants pour la qualité de leurs exposés et les participants qui durant ces deux jours ont été bien déterminé.

De la classe anticorruption, dont l’objectif principal, c’est d’intérioriser les élèves des notions antifraudes. D’après Germain LOUBOTA dans sa communication en présence du Secrétaire Général de la HALC a fait savoir que la classe anticorruption ouverte ce jour, c’est un nouveau concept de sensibilisation pour permettre à la HALC d’être en contact avec les élèves et permettre aux membres de cette classe d’acquérir des connaissances sur la lutte contre la corruption.

Au cours des échanges avec les élèves, Germain LOUBOTA dans un bref aperçu et de questionnement a adressé une question aux élèves, Est-ce vous avez déjà entendu parler de la HALC ? Pour certains oui par les réseaux sociaux et d’autres qu’en faveur de cette rencontre. Poursuivant, Germain LOUBOTA dans un cours à l’endroit de ces élèves, leur a donné quelques éléments sur la connaissance de la HALC et de son instrument de communication appelé N° vert 1023.

« FINIE LA RECRATION », selon l’orateur, ce slogan est une vision du Président de la HALC, Emmanuel OLLLITA ONDONGO afin que la corruption soit terminée en République du Congo.

Comment lutter contre la corruption ?

Sur cette question, Germain LOUBOTA a laissé entendre que la sensibilisation est le moyen le plus efficace pour lutter contre la corruption. A l’issue de cette classe, « ce que nous souhaitons après vous avoir évalué et que la HALC va vous renvoyer dans vos établissements respectifs afin que vous fassiez de la sensibilisation pour que les bébés Lili disparaissent dans les établissements d’enseignement », a conclu Germain LOUBOTA.

A noter que ces élèves seront formés de plus en plus sur le concept de la lutte contre la fraude pour qu’ils soient plus efficaces.

 

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La HALC lance sa première Campagne de sensibilisation sur la corruption en milieu scolaire

Publié le 23 Décembre 2022 par André LOUNDA dans Société

Dans le cadre de la réalisation de l' une de ses missions qui lui sont assignées, la Haute Autorité de Lutte contre la corruption, la HALC a organisée du 22 aub24 décembre 2022 à Brazzaville, sa 1ère Campagne de sensibilisation des citoyens congolaises évoluant en milieu scolaire et sur la vulgarisation des textes juridiques fondamentaux de base de ladite institution auprès des deux Ministère en charge des enseignements primaires, secondaires, technique et professionnels.

Placé sous le thème, «  Bannissons la corruption et la fraude en milieu scolaire », patronné par Jean LUC MOUNTHOU, Ministre de l’Enseignement Préscolaire, Primaire, Secondaire et de l’Alphabétisation en présence de Ghislain Thierry MANGUESSA EBOME, Ministre de l’Enseignement technique et Professionnel, après avoir remercié les deux Ministres pour avoir bien voulu répondre à la sollicitation de la HALC, Emmanuel OLLITA ONDONGO a déclaré que cet acte dénote de votre volonté à contribuer à la réalisation d'une manière générale, des objectifs définis dans le projet de société du Président de la République, il a cité: « Ensemble poursuivons la marche » et de façon particulière, à la réussite des missions confiées à la HALC par la République.

 

À cet effet, le Président de la HALC a défini d'abord la Corruption. Il a fait savoir que la Corruption n c'est l'action qui consiste à engager une personne investie d'une autorité à agir outre son devoir, en le soudoyant,

La concussion quant à elle c'est la perception illicite par un agent public n de sommes qu'il sait ne pas être dû, une exaction, une malversation.

La fraude, c'est une  action faite de mauvaise foi dans le but de tromper.

«  La tentative de l'une ou l'autre de ces infractions est prévue dans la loi anticorruption Nº9-2022 du 11 mars 2022 », a rappelé Emmanuel OLLITA ONDONGO. Au sens courant l'impunité est le fait de ne pas risquer d'être puni lorsqu'on pose un acte qui va à l'encontre des règles établies.

Poursuivant son propos, Emmanuel OLLITA ONDONGO, Président de la HALC a laissé entendre qu'aujourd'hui le 22 décembre 2022, après le deuxième anniversaire de leur prestation de serment à la Cour d'Appel de Brazzaville, s' ouvre devant les deux ministres de l'enseignement, la 10ème séance de la campagne de proximité de la HALC, après leur passage dans neuf (9) autres administrations ciblées, Selon lui, la motivation participative des cadres à l'activité est croissante; ce qui nous rassure de la qualité des différents thèmes présentés par nos panélistes. Nous avouons sans risque de nous tromper qu'au fur et à mesure de chaque étape que nous traversons, une lueur d’espoir s’installe.

Pour le président Emmanuel OLLITA ONDONGO, la HALC a la responsabilité de prévenir et combattre la corruption, la concussion, la fraude et les autres infractions assimilées. Le combat contre la corruption est sans merci et mérite l’implication de tous les Congolais. « Nous avons le devoir de baliser la voie de l’émergence du Congo attendue. Or, il est incompatible de sauver d’un côté l’émergence d’un pays, et de l’autre entretenir dans ce même pays, les antivaleurs comme la corruption, la concussion, la fraude j’en passe », a expliqué le Président de la HALC.

« Le seul secret pour y arriver c’est le changement de comportements des filles et fils de ce beau pays que nous aimons tous », a-t-il ajouté.

Pour terminer son propos, Emmanuel OLLITA ONDONGO n’a rassuré que la HALC salut la bonne volonté du Président de la République et du Premier Ministre, Chef du Gouvernement pour leur implication personnelle dans l’application effective de la loi N°4-2019 du 7 février 2019 relative à l’obligation de déclaration de patrimoine par les citoyens élus ou nommés à une haute fonction publique. Ce geste qui suscite l’admiration de tous les congolais qui aiment leurs pays, vient appuyer les efforts de la HALC dans ce combat qu’elle a engagé dès le 1er jour de son entrée’ en fonction.

Pour votre information, la HALC dispose d’un numéro vert qui devient opérationnel, c’est le 1023.

« S’agissant des informations brutes obtenues à partir de notre numéro vert, elles subiront un traitement digne et une analyse profonde, pour se rassurer de leur authenticité, avant leur validation », a conclu Emmanuel OLLITA ONDONGO.

De son côté, lançant la campagne, Jean Luc MOUNTHOU  a décrié sur l'apparition des phénomènes dangereux sur les plans sociaux, économiques et politiques qui sapent les efforts de la démocratie, de la bonne gouvernance, et du développement durable des nations.

Puis il a rappelé qu’aucun secteur de la vie publique n'est épargné, et l'éducation compte parmi les secteurs à protéger au regard de sa sensibilité dans la société. C'est pourquoi, l'Assemblée Générale des Nations Unies s'était levée le 31 octobre 2003 pour combattre ces phénomènes, en appelant tous las pays à prendre les dispositions juridiques dissuasives, préventives et correctionnelles au travers de l'adoption de la Convention des Nations Unies contre Corruption, comme faisant suite à l'adoption dès le 11 juillet 2003 de la Convention de l'Union Africaine sur la Prévention et la Lutte contre la Corruption. Décidée plus que jamais à protéger l'ensemble de ses secteurs du phénomène de la corruption et la fraude, la République du Congo 🇨🇬 a eu tôt la sensibilité d'instituer au ministère de l'Enseignement Préscolaire Primaire Secondaire et de l'Alphabétisation, la cellule de contrôle de lutte contre la corruption depuis 2015.Ainsi, les acteurs de corruption et de fraude en milieu scolaire peinent à inscrire leurs candidats dans les délais car cherchant à gonfler les listes par les faux transferts, la falsification des dates de naissance faisant usage de faux et de transhumance, le mercenariat qui emploie une autre personne en lieu et place de vrai candidat.

A noter que plusieurs thématiques seront développées durant trois jours lors de ces rencontres parmi lesquelles L’écosystème national de lutte contre la corruption : place et rôle de la HALC ; La HALC et ses procédures de saisine ; L’aperçu général de la loi anti-corruption ; La lutte contre la corruption : place de la loi relative à la déclaration de patrimoine.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Bienvenu MPAPOUGOU a été hissé à la tête du SYNALU par le congrès

Publié le 23 Décembre 2022 par André LOUNDA dans Société

Durant trois (3) jours d'intenses travaux les congressistes après examen et adoption avec amendements les documents soumis à leurs appréciations à savoir: Le Rapport d’Activités Triennal de décembre 2019 à décembre 2022: Les États de Recettes et de Dépenses de janvier 2020 à novembre 2022; Les Statuts; Règlement Intérieur de la Caisse d 'Entraide Sociale (CES); Le Règlement Intérieur révisée de la Mutuelle du SYNALU, la MUSYNA. Poursuivant les travaux, les congressistes ont élu Bienvenu MPAPOUGOU Secrétaire Général: Landry NGAKOULA, Secrétaire Général Adjoint; chargé de l'Organisation et de la Mobilisation ; Hubert MAKOMO, Président de la Commission de Contrôle et d'Évaluation du SYNALU et aussi soixante-sept (67) membres du Conseil National du SYNALU ont été mis en place.

Les congressistes ont également adopté cinq (5) motions, sept (07) recommandations et une résolution. Un communiqué final a été rendu public. Dans la cohésion, l'unité et l'espoir en l'avenir, le 7ème Congrès du SYNALU a clos ses travaux sur une note de satisfaction générale par Madame Zita INKO, Conseillère aux Affaires Sociales et aux œuvres académiques au nom de Madame le Ministre de l'Enseignement Supérieur, de la Science et de l'Innovation Technologique.

 

 

 

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Développement des filières piscicole, porcine et bovine au Cameroun : des chercheurs de l'IRAD arrimés aux pratiques de gestion et d'élevage modernes

Publié le 21 Décembre 2022 par GéoAfriqueMédias.cg dans ., Economie

À travers des ateliers de formation organisés à l’endroit d’une quatre vingtaine chercheurs juniors et techniciens de l’Institut de Recherche Agricole pour le Développement (IRAD) que dirige le Dr Noé Woin, dans le cadre du Projet de Développement des Chaînes de Valeur de l’Élevage et de la Pisciculture (PDCVEP) soutenu par la Banque Africaine de Développement (BAD), les 18 et 19 août à Limbe (région du Sud-Ouest) pour la filière piscicole, les 15 et 16 septembre à Yaoundé (région du Centre) pour la filière porcine et les 22 et 23 septembre 2022 à Bangangté (région de l’Ouest) pour la filière bovine.

Généralités sur l’élevage, techniques de logement, techniques d’alimentation, formulation alimentaire, techniques de reproduction, gestions technique, économique, commerciale et environnementale de l’élevage, prophylaxie et principales maladies, description et présentation des règles de biosécurité, gestion des écloseries, travaux pratiques sur la composition des aliments. Voilà, entre autres, notions et enseignements riches qui ont meublé les différents ateliers de formation animés par des experts chevronnés.

Au cours d’un de ces séminaires, le Responsable spéculation porc et Point focal IRAD à l’unité de coordination PDCVEP, Yves Merlin Ndjondjip, a laissé entendre que, dans le cadre de ce projet, des géniteurs porcins seront mis à la disposition de l’IRAD, ainsi que des formations pointues dans les trois domaines.

Au cours des différentes remises solennelles des attestations de fin de formation aux participants provenant de par les Structures opérationnelles de l’Institut, disséminées à travers le pays, les dirigeants ont demandé aux personnels bénéficiaires desdites formations d’en faire bon usage afin de booster une fois pour toutes les filières porcine, bovine et aquacole au Cameroun.

Source Médiaterre

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Ouverture des travaux du 7ème  Congrès Ordinaire du SYNALU

Publié le 21 Décembre 2022 par André LOUNDA dans Société

<< Ensemble, sauvegardons nos acquis, mutualisons nos efforts, pour traduire dans les faits, la vocation de Syndicat National, de notre organisation, par son extension sur toutes l'étendue du territoire>>, c'est sur ce thème que se sont ouverts, le 20 décembre 2022 à Brazzaville les travaux du 7ème Congrès Ordinaire du Syndicat National de l'Université, SYNALU. Placés sous patronage de Madame le Ministre de l' Enseignement Supérieur, de la Recherche Scientifique et de l' Innovation Technologique, représenté par la Conseillère aux Affaires Sociales et des œuvres Universitaires, Madame Zita INKO en présence du Professeur Gontran ONDZOTTO, Président de l'Université Marien NGOUABI et de Camille MONEKENE MAKOUMBOU, Secrétaire Général sortant du SYNALU.

En effet, après trois années d’activités, le Syndicat National de l’Université va ouvrir une parenthèse de trois jours, pour faire son bilan, mettre en évidence des écueils et projeter son avenir pour trois ans de plus. C'est l'objet de son 7ème Congrès Ordinaire qui va se dérouler du 20 au 22 décembre 2022.

Dans son mot de circonstance, le Secrétaire Général sortant, Camille MONEKENE-MAKOUMBOU a fait savoir aux congressistes que le Bureau Exécutif National issu du 6ème Congrès Ordinaire va bientôt céder le témoin à celui qui sortira des entrailles du 7ème Congrès Ordinaire. Il vous laisse un héritage considérable au regard des réalisations, parmi lesquelles la réhabilitation du siège du SYNALU, l'acquisition d'une tenue d'activités, les bons de pharmacie, l'Assemblée Générale de la MUSYNA.

En outre, il leurs a exhorté à la vigilance, << Je dis bien vigilant dans le choix des dirigeants qui vont conduire la destinée de notre Syndicat pour les trois (3) années à venir, pour répondre à la formule << l'homme qu'il faut, à la place qu'il faut>>.

''Unité de pensée et d'Action'''.

 

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