Publié le 21 Mai 2020
par GéoAfriqueMédias.cg
dansINTERNATIONAL
Vu la situation actuelle en France et dans le monde entier liée au coronavirus, une série d’événements cruciaux pour l’environnement ont été reportés. L’année 2020 devait pourtant être charnière pour le climat et la biodiversité.
Avec les mesures de distanciation sociale, l’interdiction de franchir les frontières et de se réunir dans de nombreux pays, et les aéroports fermés, de nombreux colloques majeurs pour l’environnement ont dû être reportés. Lundi 13 avril au soir, le Président Emmanuel Macron, a même confirmé que les grands événements sont interdits jusqu’à mi-juillet en France, date qui peut être encore reportée.
COP15 Biodiversité, réunion de l’UICN sur la nature, COP26 sur le changement climatique
La COP15 de la Convention sur la Diversité Biologique (CBD) ou COP15 Biodiversité, qui devait se tenir à Kunming, en Chine, du 19 octobre au 1 novembre, est reportée à une date ultérieure, encore non fixée, mais probablement en 2021. La Convention des Nations unies sur la biodiversité a annoncé le 23 mars dans un communiqué que les dates devront être “ajustées”, les alternatives étant en discussion actuellement entre les différents gouvernements.
Ce sommet pour la biodiversité était très attendu car il devait fixer un cap à trente ans pour les efforts internationaux sur la biodiversité, avec des objectifs de résultats et d’évaluations sur les dix prochaines années. Mais la pandémie de coronavirus, qui sévit depuis plusieurs mois désormais, a entraîné le report de deux réunions préparatoires qui se tiendront finalement en août et septembre, décalant le calendrier initial.
Le Congrès de l’UICN (Union Internationale pour la Conservation de la Nature) à Marseille été décalé en janvier 2021. Il devait se tenir en juin. Ce sommet se déroule tous les quatre ans, et avait eu lieu aux États-Unis en 2016.
En ce qui concerne la COP26 sur le climat, qui devait se dérouler en novembre 2020 à Glasgow (Royaume-Uni), celle-ci est également reportée à une date indéterminée, peut-être en 2021. Cette conférence placée sous l’égide de la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques était cruciale cette année. Chaque pays devait, dans le cadre de l’Accord de Paris sur le climat, pour la première fois, soumettre de nouveaux objectifs de réduction de leurs émissions de gaz à effet de serre pour 2025. En effet, certains comme le Japon, en mars dernier, avaient réalisé des propositions très peu ambitieuses.
De nombreux experts, comme le nouveau patron du Global Carbon Project et l’ancienne responsable scientifique Corinne Le Quéré, devenue la patronne du Haut Conseil pour le climat en France, estiment déjà que la baisse mondiale des émissions de CO2 pourrait dépasser les 5% cette année, du fait de la pandémie actuelle. Cependant, une fois la crise passée, il sera nécessaire que les plans de relance au plan social et économique annoncés soient cohérents avec les engagements mondiaux pour le climat pour que cette réduction soit durable. Pour rappel, une baisse de 7,6% des émissions de gaz à effet de serre par an d’ici à 2030 doit être atteinte selon l’Unep (Programme des Nations unies pour l’environnement), pour contenir la hausse de la température mondiale au-dessous de 1,5°C.
ALTEREA devait également participer sur ce premier semestre 2020 a de nombreux événements liés au secteur du bâtiment et de l’environnement comme les congrès ATTF Bretagne ou Bourgogne Franche-Comté ainsi que les Rencontres Nationales de l’Ingénierie Territoriale en mai ou encore le salon des maires d’Ile de France en juin. Ces événements ont tous été reportés mais ALTEREA aura plaisir de vous y retrouver soit en fin d’année ou l’année prochaine et vous tiendra informer des nouvelles dates de rendez-vous.
Publié le 21 Mai 2020
par GéoAfriqueMédias.cg
dansINTERNATIONAL
Madrid, Espagne, 6 décembre 2019 - Les pays sont invités à relever sensiblement leurs ambitions en matière d'énergies renouvelables et à adopter des objectifs visant à transformer le système énergétique mondial lors de la prochaine série de contributions nationales déterminées (CDN), selon un nouveau rapport de l'Agence internationale pour les énergies renouvelables (IRENA), lancé à la conférence des Nations unies sur le changement climatique (COP25) à Madrid.
Source de l’article : « COP 25: Renewable Energy Ambition in NDCs Must Double by 2030» -irena.org– 06 décembre 2019
Publié le 21 Mai 2020
par André LOUNDA
dansSociété
Un seul point a été à l'ordre du jour de l'Assemblée Général des syndicats des agents municipaux, qui s'est tenue le 20 mai 2020, à l'Hôtel de Ville de Brazzaville. Cette Assemblée Générale, qui a regroupée les six (6) syndicats les plus représentatifs des agents de la Mairie de Brazzaville a été présidée par le Président de l'Intersyndical Hippolyte ANDOYOBE.Au cours des travaux, il a été question d'épingler les maux qui minent leur entité administrative et les conditions sociales des agents de la Mairie.
Cette Assemblée Générale qui s'est tenue à deux jours de l'élection du nouveau Président du Conseil Municipal et Départemental de la Ville de Brazzaville. C'est ainsi que les syndicalistes demandent aux distinguées conseillers, qui ont la mission d'élire le nouveau Maire, de faire un choix judicieux et veulent que le nouveau Maire, soit d'une bonne probité morale et exemplaire.Ensuit, ils ont également exigé le paiement de leurs arriérés de dix (10) mois de salaires et des pensions des agents municipaux admis à la retraite à compter de l'année 2012.L'Assemblée Générale a recommandé le recensement des cadres municipaux, qui sont en congés techniques avant leur retraite et la mise en place d'une commission de discipline.La clôture des travaux de l'Assemblée Générale a été sanctionnée par une Déclaration lu par Jean Prosper MIAKATSINDILA, Chef du Secrétariat de l'Assemblée Générale, et d'un Communiqué Final Sanctionnant les travaux de l'Assemblée Générale, lu par Armand NGAKIE, Point Focal de l'Intersyndical.
Publié le 19 Mai 2020
par André LOUNDA, Ange Armel MAPOUATA et Sévérin NIMI
dansEducation
Des nombreux efforts ont permis au gouvernement d’apporter des solutions aux multiples problèmes de l’éducation, qui demeurent malheureusement préoccupantes sur toute l’étendue du territoire national. Renforcer les capacités de l’Institut National de Recherche et d’Actions Pédagogiques (INRAP), est une nécessité pour des bons résultats de notre système éducatif. Plusieurs résultats sont obtenus par la gestion(i) des programmes des cantines scolaires (ii) des violences à l’école (iii) de la santé scolaire (iv) prévention des crises, des catastrophes et des conflits. Dernièrement, Augustin NOMBO, le Directeur Général dudit institut sur les antennes de Radio Congo, avait peint la situation et les grands défis que doivent relever l’INRAP. Aujourd4hui, suite à la gestion de la crise sanitaire et le confinement due à la pandémie du COVID-19, 24 heures sur 24, Augustin NOMBO et son équipe sous instruction du Ministre de l’Enseignement Primaire, Secondaire et de l’Alphabétisation, ont relevé les défis de leur département pour offrir aux élèves des classes d’Examen d’Etat de tous les départements du Congo, des cours polycopiés sous forme de fascicule afin, qu’ils puissent se préparer aux différents examens d’Etat et la fabrication des tables bancs. Des nombreux efforts ont permis au gouvernement d’apporter des solutions aux multiples.
A titre de rappel lisant les propos d’Augustin NOMBO, recueillis au grand Journal dominical de Radio Congo au mois de février.
-Monsieur le Directeur Général, l’INRAP est l’une des dernières structures de l’Etat, qui a du mal à partir en raison de son statut qui n’a pas changé, qui garde les stigmates du régime monopartisme. Pouvez-vous, nous parler du statut de cet établissement ?
*Augustin NOMBO/ Comme vous l’avez su le dire que c’est l’héritage du Parti Congolais du Travail (PCT), vous le savez très bien quand même, que nous pouvons nous réjouir de ce que le PCT a laissé comme héritage et que l’INRAP, vit sur les cendres du PCT. Justement et qui suit aussi et on peut dire que l’INRAP est aussi le miroir du PCT. Je pense qu’aujourd’hui, on peut s’en féliciter même si certaines personnes disent que le PCT, n’a pas rendu, n’a pas fait des grandes choses, qui soient des choses qui méritent aussi d’être acceptées et aussi applaudies. Mais le PCT a laissé aussi l’INRAP, et il faut savoir que c’est Monsieur Antoine NDINGA OBA, qui en 1972 déjà lorsqu’il fut ministre de l’éducation nationale était donc au trône de cet institut, qui a vécu justement comme une personne aussi, il y a des moments où on est malade et il y a des moments où on est en bonne santé.
-En bonne santé ! Et les missions assignées à l’INRAP Monsieur le Directeur Général ?
*Augustin NOMBO/ Vous le savez que, c’est pour dire que cet institut, c’est un Institut de Recherche et d’Actions Pédagogiques, qui dit recherche, qui dit innovation et l’action pédagogique, c’est ce qui sont des pratiques de classe justement. Et donc, on ne peut pas encore ajouter grande chose sur cela puisque ses missions comme nous le savons, c’est au niveau de l’élaboration des programmes. Nous avons aussi la fabrication du matériel didactique et ce sont des missions. Justement, nous allons en parler tout à l’heure.
-Et les missions qu’on va énumérer et le statut de l’INRAP au service de la République ?
*Augustin NOMBO/ On doit aussi rappeler que c’est l’école du peuple justement. Aujourd’hui, je peux vous dire que nous avons déjà et nous sommes entrain de voir que et je vous parlerais aussi du projet d’appui au système éducatif. C’est un nouveau projet que le gouvernement avait signé avec la Banque Mondiale et qui justement, dans sa première composante, est entrain de prendre en charge, disons qu’il y a une feuille de route mise en place qui va justement prendre en charge le changement du statut de l’INRAP parce que l’INRAP aussi doit s’aligner à l’émergence. Donc, l’INRAP ne doit pas être en dehors de ce qui se passe à travers le monde.
-A une certaine époque, Monsieur le Directeur Général, l’INRAP produisait des programmes pour les écoles tout au moins du primaire et du secondaire où sont passés ces programmes et même le matériel didactique ?
*Augustin NOMBO/ Je peux vous dire que l’INRAP continue à produire. Ce n’est pas que l’INRAP a délaissé son terrain et qu’il n’y a pas de programme. Les programmes existent, c’est vrai et on doit reconnaître que nous avons eu des moments difficiles mais les programmes sont toujours là. Donc, on ne peut pas dire que les programmes n’existent pas. Vous pouvez essayer de voir dans certaines écoles et établissements et vous verrez qu’il y a des programmes. Mais comme je venais de le dire que nous devrions essayer de revoir ces programmes et c’est ce travail qui est entrain d’être fait au niveau de l’INRAP.
-Est-ce que c’est en partenariat avec le département en charge de l’enseignement primaire et secondaire ?
*Augustin NOMBO/ Bien sûr ! On ne peut pas travailler en autarcie et que toutes les directions sont associées, c’est une façon de voir aujourd’hui, comment nous pouvons travailler les programmes et même la société civile peut être associée pour revoir nos programmes scolaires parce qu’aujourd’hui, l’école n’est plus une affaire simplement du gouvernement, c’est une affaire de tout le monde. Chaque famille a au moins un enfant à l’école. Donc, tout le monde doit participer à la refonte et à la révision des programmes aujourd’hui.
-Oui ! Vous êtes donc responsable, vous et le département en charge de l’enseignement primaire et secondaire. Responsable de ce qui se passe au niveau de certaines structures les programmes ne sont pas respectés ?
*Augustin NOMBO/ Mais cela, c’est au niveau de la population et ce n’est pas au niveau de la conception. C’est vrai qu’il y a quelques lacunes au niveau de la pratique mais tout cela, je crois que le Ministre Anatole Collinet MAKOSSO, aujourd’hui, est entrain de faire un grand travail pour voir tout cela et mettre en place et vous le savez que c’est un travail de longue haleine à réaliser et c’est un travail de plus de cinq ans. Donc, cela prend du temps, c’est ce que le ministre est entrain de faire avec les autres directions que nous avons. C’est dans ce sens-là.
-Et la fabrication du matériel didactique Monsieur le Directeur Général ?
*Augustin NOMBO/ Comme je venais de le dire pour les matériels didactiques. Oui ! Je peux vous avouer que l’INRAP à un certain moment, n’a pas fourni et ne fait pas, ne fabrique plus le matériel didactique. Mais là, nous sommes entrain de revoir et je peux vous dire aujourd’hui, que la menuiserie a déjà été réhabilité grâce au concours du gouvernement et le ministère a pris cela en charge et nous sommes entrain de voir et qu’on reviendra avec les tables bancs et l’INRAP, doit changer sa façon de faire. L’INRAP, ne peut plus aujourd’hui que fabriquer des tables bancs, nous pouvons faire des équerres en planche. L’INRAP, doit aller plus loin dans cette fabrication. Mais pour le côté de la fabrication des tables bancs ici, c’est parce qu’aujourd’hui, nous avons notre façon de voir les choses.
-Monsieur le Directeur Général, le ministre de l’enseignement exige de ces programmes, qu’il y a l’apprentissage des langues nationales et il y en a que ces programmes devraient être en vigueur dans les programmes scolaires de la République du Congo ?
*Augustin NOMBO/ Effectivement, le ministre a pris une bonne décision. Nous sommes entrain de voir déjà avec l’école d’Excellence de la Fraternité. Mais on verra aussi, que l’Ecole Félix TCHIKAYA, pourra aussi être une école pilote et nous allons commencer par là pour aller plus loin parce que pour généraliser, il faut qu’on évalue d’abord ce qui se fait avant d’aller plus loin. Donc, ce qui se fait justement, c’est que l’Ecole d’Excellence de la Fraternité, c’est une école pilote et nous aurons a évalué ce qui se fait et après, on pourra éventuellement généraliser parce qu’il faut toujours un centre d’expérimentation. Justement, c’est ce qui se fait. La décision qu’avait prise le ministre est une décision sage et que nous constatons depuis longtemps que les langues n’ont pas été enseignées dans l’enseignement primaire alors que dans les autres pays cela se fait. Donc, nous devons prendre des décisions pragmatiques pour que nous allions plus loin. C’est-à-dire que nous fixerons un cadre pour que plus tard qu’au bout de 5 ans ou 10 ans cela soit généralisé dans toutes les écoles du Congo.
Signalant qu’Augustin NOMBO est Enseignant de carrière, a obtenu le baccalauréat série A 4, lettres au Lycée Karl Max à Pointe Noire, c’est ce qui lui ouvrit les potes de l’Université Marien NGOUABI et il en est sorti avec la licence (s) lettres en 1989. En 1991, il empocha son diplôme d’Etude Approfondie de littérature francophone émergente et comparaisse à l’Université de Limoges en France, le tout couronné en 1994, d’un doctorat (s) lettres obtenu à Bordeaux en France, à l’université de Montaigne. Sur le plan professionnel, Augustin NOMBO, a été Attaché aux Ressources Documentaires auprès du Ministère de la Jeunesse et de l’Education Civique, Assistant-Enseignant Chercheur pendant 04 ans au Département des Langues et Littératures Française LLF, Conseiller à l’Action Pédagogique et à la Réforme des Programmes Scolaires auprès du Ministre de l’Enseignement Primaire, Secondaire et de l’Alphabétisation. Depuis juillet 2018, Maître Assistant en Littérature Française au département LLF de la Faculté des Lettres et des Sciences Humaines de l’Université Marien NGOUABI. Aussi, il a dispensé des cours dans plusieurs établissements de Brazzaville et sous d’autres cieux. Actuellement, il est Directeur Général de l’INRAP, depuis près de 16 mois. Homme de lettre, passionné de peinture, il a écrit un certain nombre d’ouvrages, publié plusieurs articles on peut citer entre autres, Etudes des éléments descriptifs de la nature, N. Rade de Joris Karl Huysmans, un anale de la Faculté des Lettres et des Sciences Humaines N°8, Université Marien NGOUABI en 2017 ; les femmes saintes chez J-Karl Huysmans du Centre de Recherche en Littérature Française N°8, édition Université Européenne en 2015. Augustin NOMBO a des solides connaissances de la langue allemande et maîtrise quelques logiciels informatiques. Militant à la base du Parti Congolais du Travail (PCT), affectionne tous les plats de friture, de bouillon sauvage, accompagné des « mayaka ma nkatu » en bon fils du Kouilou, il est doux et ne sort ses griffes que quand il le faut, stricte dans le cadre de son travail.
Publié le 19 Mai 2020
par André LOUNDA
dansSociété
Pour négocier cette période de changement et des perturbations après Roger OKEMBA, l’ancien Président dudit conseil, le Conseil Départemental et Municipal de la ville de Brazzaville a besoin de renforcer sa résilience et sa capacité de rebondir après les chocs et les tensions vécus un certains temps. En même temps, il doit conserver une certaine souplesse afin de tirer parti des possibilités tout en atténuant les risques passés et les difficultés qu’ont connus les agents de la Mairie de Brazzaville.
Pour passer vers un nouveau cap, pour le Conseil Départemental et Municipal de Brazzaville, de nouveaux progrès exigent des réformes audacieuses et pour affronter l’avenir avec les perspectives prometteuses, un seul homme optimiste : Guy Marius OKANA, aujourd’hui, peut être capable de construire un avenir meilleur pour le rayonnement de la Mairie de Brazzaville. Sur tous les candidats à l’élection du nouveau Président du Conseil Départemental Municipal de Brazzaville du jeudi 22 mai 2020, Guy Marius OKANA, est une aubaine à saisir pour l’amélioration du système de gestion de la ville de Brazzaville. En peu de temps, ce dernier a fait des exploits ; trois (3) mois d’arriérés de salaires payés et a marqué sa présence à la tête du Conseil Départemental et Municipal en qualité d’Administrateur-Maire par intérim par de nombreuses réalisations à savoir : A titre de rappel, pendant cette période de lutte contre La pandémie du COVID-19, en dehors des mesures de prévention prises par le gouvernement, Guy Marius OKANA, a annoncé d’autres mesures d’urgence contre cette pandémie en ce qui concerne les inhumations et les veillées à domicile, par une note circulaire précise« Plus de dépôt de la dépouille mortuaire ni à domicile ni à l’église. Le temps maximum de recueillement est d’une heure. Dix personnes sont autorisées pour assister au nettoiement et au recueillement des corps soit cinq du côté paternel et autant du côté maternel, y compris la veuve ou le veuf ».
Guy Marius OKANA, en partenariat avec l’Administrateur Maire de Bacongo, Simone LOUBIENGA, ont f travaillé avec les comités du marché Total pour mettre en place un dispositif pour respecter la distanciation sociale en vue de protéger les vendeurs et les acheteurs.
Lors d’une séance de travail, le 8 mai dernier avec les personnes vivant autour du cimetière du Centre-ville de Brazzaville, notamment les expropriés de l’ex-Office National des Postes et Télécommunications (ONPT), le Maire par intérim, Guy Marius OKANA, leur a demandé de libérer ces lieux pour permettre à la Mairie de Brazzaville d’agrandir cette nécropole.
Guy Marius OKANA, Administrateur-Maire de la ville de Brazzaville par intérim, a procédé, le 14 mai, au lancement de la restauration des panneaux de signalisation et des lignes discontinues et des passages piétons dans les différentes voies publiques de la ville capitale en présence des maires de Poto-Poto et Moungali.
Par contre plusieurs autres candidats se positionnent pour faire quoi au juste, il est mieux de laisser OKANA, faire le travail qu’il a su bien commencé. Il y a eu un sage Président du Congo Joachim YOMBI OPANGO, qui avait déclaré, qu’il ne faut pas rater le début. Et OKANA a su mieux marqué sa présence en un peux de jours. Au niveau du Parti Congolais du Travail, nous assistons à plusieurs candidats et pourtant au temps de Pierre NGOLO, le parti était plus discipliné. Comment se fait-il qu’il y est plusieurs candidats du PCT à l’élection municipale de ce 22 mai 2020 ? Où est passé la discipline au sein du PCT ?
Publié le 18 Mai 2020
par GéoAfriqueMédias.cg
dansINTERNATIONAL
WWF France a publié via un communiqué de presse du 5 mai 2020 un rapport intermédiaire de la consultation citoyenne “Crise Covid-19 : Comment inventer tous ensemble le monde d’après ?” et rapporte ses premiers résultats à mi-parcours.
Lancée le 10 avril par la Croix-Rouge française, WWF France, make.org et le Groupe SOS, en partenariat avec Unis-Cité et le Mouvement UP, la consultation connait un vif succès : plus de 89 000 participants, 20 000 propositions et 880 000 votes. Elle met aussi en évidence cinq thèmes dans les propositions formulées : la protection de l’environnement, l’agriculture, les transports, l’emploi et la santé.
L’environnement et l’agriculture/l’alimentation : Deux thèmes centraux de la consultation
Le sujet le plus évoqué est l’environnement, avec 22% des propositions, qui listent notamment la protection de la biodiversité et des espaces naturels, le verdissement des villes et reboiser les territoires, de mieux sensibiliser le grand public aux problématiques écologiques ou encore de mettre en place une fiscalité verte qui favoriserait les produits respectueux de l’environnement et pénaliserait les usages les plus polluants.
Le deuxième thème le plus fréquemment abordé est l’agriculture et l’alimentation, 17% des propositions, qui incitent à se diriger vers une agriculture biologique produite localement et qui favorise les circuits courts, ainsi qu’à limiter la pêche et l’élevage intensifs.
Les pouvoirs publics vus comme les moteurs principaux de la transition
S’il faut mettre en oeuvre ces propositions, les pouvoirs publics et institutionnels sont majoritairement cités pour agir (56%), notamment pour instaurer une fiscalité plus équitable et respectueuse de l’environnement.
En second lieu, les solutions appellent à un changement des citoyens eux-mêmes (14%) notamment en matière d’alimentation et de gestes éco-responsables. Enfin, les entreprises (12%) pourraient se réinventer par le biais de la transformation de leurs moyens de production ou encore de l’organisation du travail, par exemple en favorisant le télétravail.
Source de l'information : Communiqué de presse de WWF France ; Illustration : Pixabay
Un communiqué de presse du 7 mai 2020 relate les résultats d'une analyse de synthèse réalisée par des chercheurs d’INRAe, du Cirad, de l’IRD et de l’Institut Pasteur de la Guyane sur les liens entre forêts, déforestation et émergence de maladies infectieuses. Cette synthèse publiée dans la revueEnvironnemental Research Lettersa été concrétiséed’après l'étude d'uncorpus de 565 publications scientifiques publiées entre 1953 et 2018.
D'après le communiqué, sur l’ensemble des articles étudiés (lesquels citent les termes “forêts”, “déforestation” et “émergence de maladie infectieuse” dans leur titre ou résumé), seuls 165 évoquent un lien entre ces trois éléments. Pourtant ce lien apporte une connaissance essentielle sur la pandémie actuelle du Covid-19.
En effet, cette pandémie met en évidence -si la cause s’avère établie- laconnexion étroite entre les écosystèmes, leur biodiversité et l’émergence de nouvelles maladies infectieuses.Le virus SARS-Cov2 serait issu d’une probable recombinaison de virus de deux espèces animales différentes. Cette zoonose ou infection d’origine animale serait alors apparue au sein de communautés où une diversité biologique importante entre en contact avec une population vulnérable. Ainsi, la déforestation est une des causes de cette mise en contact entre les cycles microbiens des grands espaces forestiers et les populations humaines.
En étudiant plus en détail les 165 articles évoqués ci-dessus, les chercheurs estiment qu’une très grande majorité ne se concentrent que sur l’étude une zone géographique particulière (Le continent américain : Amérique du Nord, Amérique Centrale et Amérique du Sud), ensuite qu’ils ne traitent qu’une partie infime du cycle infectieux et de plus qu'ils n’évoquent que peu l’interaction avec les cas humains.
Comme l'évoque le communiqué, ce type d’analyse “de la recherche sur la recherche” est indispensable pourmieux orienter la trajectoire des recherches scientifiques futures. Globalement, cette étude démontre la nécessité d’approfondir la recherche sur les maladies infectieuses et leur lien possible avec les modifications environnementales dues aux activités humaines.
Source de l'information : Communiqué de presse conjoint d'INRAe, du Cirad et de l'IRD ; Illustration : Pixabay
Publié le 17 Mai 2020
par André LOUNDA
dansPOLITIQUE
Un déconfinement progressif par palier va donc entrer en vigueur à partir de lundi 18 mai 2020, mais les deux principales villes à savoir: Brazzaville et Pointe Noire, où la majorité des cas sont enregistrées restent couper du reste du territoire national. Le Premier Ministre, Chef du Gouvernement, Clément MOUAMBA, a dévoilé le samedi 16 mai, les contours de ce plan palier par palier.
Ce déconfinement progressif assorti de plusieurs mesures se fera par zone et secteurs d'activités a précisé Clément MOUAMBA. Le Gouvernement de la République du Congo a procédé à ce mode de déconfinement par palier par palier pour la simple raison que le COVID-19, ne sévit pas au même degré dans toutes les localités du pays et que les risques de propagation ne sont pas les mêmes et c'est ainsi que par rapport à la base des facteurs épidémiologiques et au respects des facteurs des risques de contamination, ce dit déconfinement va obéir à un plan spécifique, qui divise le pays en deux zones à savoir: Brazzaville et Pointe Noire, localités à forte prévalence du COVID-19 dite Zone N°1 et la zone N°2 pour les 10 autres départements du Congo, telque l'a déclaré le Premier Ministre. Brazzaville et Pointe Noire. Et à propos de la réouverture des établissements scolaires, pour la remise des cours qui est fixée au 1er juin 2020, cette mesure ne prends en compte que les élèves en classes d'examens d'Etat, notamment, les classes de CM2, de 3 ème et de Terminale. Quant à ceux des classes inférieures, la moyenne de passage en classe supérieures sera calculée sur la base des notes tenues au premier et deuxième trimestre, a précisé Clément MOUMBA.
Pour les autres secteurs d'activités, qui ne sont pas prises en compte par ce plan de déconfinement, c'est l'ouverture des marchés 5 jours sur 7 et de 6 heures à 16 heures en vue de l'aboutissement de ce plan de déconfinement.
Entres autres, le Premier Ministre en appel à la responsabilité de tout le monde afin que dans les prochains jours, le COVID-19, ne reste qu'un simple souvenir dans notre pays.
Dans sa communication, Clément MOUAMBA, a annoncé la reprise du transpot en commun assorti de quelques mesures respectives.
Publié le 17 Mai 2020
par André LOUNDA
dansSociété
Il y avait de l’émotion, la tristesse et des souvenirs ce samedi 16 mai 2020, au palais des Congrès de Brazzaville, à l’occasion de la cérémonie de recueillement organisé suite à la disparition de Marc MAPINGOU MATOUMBI,à l'âge de 63 ans, à la Clinique Ambroise Paré de Neuilly-sur-Seine, des suites du Covid-19. Ancien directeur de campagne du président Pascal Lissouba en 1992 décédé le mardi 5 avril 2020,
En effet, c’est à 63 ans, que nous a quitté Marc MAPINGOU MATOUMBI, fils de Basile MAPINGOU, Député UDDIA du Premier Président de la République du Congo, l’Abbé Fulbert YOULOU, avait aussi été Porte-parole du Général Jean Marie Michel MOKOKO lors de l'élection présidentielle de 2016. Reconnu comme étant détenteur d’une certaine connaissance de la société congolaise, cet ancien séminariste était un homme d’ouverture. Au cours de cette cérémonie marquée par la présence des membres du Gouvernement, également, les membres de sa famille ainsi que des amis et connaissances, des personnalités de marques et d’anonymes.
« Le livre de la vie est le livre suprême qu’on ne peut ni fermer, ni ouvrir à son choix. Il y a 63 ans, ce livre s’est ouvert à Marc MAPINGOU MATOUMBI, et le 05 avril 2020, ce livre s’est fermé ».
Le désir de mémoire, s'est imposé à tous ceux qui se sont recueillis pour ce dernier adieu.
Le psalmiste a déclaré : « Si le grain de blé que l’on met en terre refuse de mourir, la moisson de l’espoir des hommes ne pourra jamais fleurir ».
Les congolais de toutes audiences ne tarissent pas d’éloges à son endroit Plusieurs années de vie politique avaient fait de l’homme au verbe direct et sans fioritures un visage familier.
Sa dépouille mortuaire provisoirement a été mise en terre ce samedi 16 mai 2020 à 14 heures, au cimetière nouveau de Neuilly-sur-Seine (1 rue de Vimy 92000 Nanterre), "dans la stricte intimité familiale" conformément aux dispositions légales prises suite à la crise sanitaire.
Publié le 16 Mai 2020
par André LOUNDA
dansSociété
Pour la Municipalité de Brazzaville, de nouveaux progrès exigent des réformes audacieuses avec Guy Marius OKANA, ce transfuge du Conseil Municipal de Brazzaville, en sa qualité de Maire par intérim, s’est engagé d’avantage pour la transformation de tous les services municipaux de la ville de Brazzaville ; avec pour ultime ambition l’assainissement de la gestion financière, une bonne politique de gestion de tous les services municipaux, l’embellissement des principaux artères de la capitale et biens d’autres. Il a mis son savoir-faire au service des Brazzavillois au regard des grands défis que son département doit relever dès les premiers jours qu’il a commencé d’assumer ses fonction de Maire par intérim de la Ville de Brazzaville.
Sauf que bien souvent, la réalité ne correspond pas toujours exactement aux rêves qu’une personne peut avoir. Et lorsque Guy Marius OKANA, met en œuvre les bonnes pratiques en passant par la culture de la citoyenneté afin que les Brazzavillois s’approprient du futur de notre cher capitale, nous l’avons vu à l’œuvre en quelques jours dès qu’il a commencé sa fonction en qualité de Maire par intérim et il a tellement marqué les Brazzavillois avant et toute cette période de crise sanitaire que traverse notre pays due à la pandémie du COVID-19.
Parlons de l’homme sur ses réalisations en qualité de Maire par intérim, ce dernier, n’a jamais été tribal, ni régionaliste, dans son cabinet, il travaille avec tout le monde. Il n’y a pas d’ethnicisassions chez Guy Marius OKANA, c’est un Monsieur, qui reçoit tout le monde.
Dès sa prise de fonction, au total 570 corps d’enfants et d’adultes en dépôt et abandonnés dans les différentes morgues ont été inhumés à Mayitoukou, district de Goma-Tsétsé, dans le département du Pool, l’Administrateur-Maire de Brazzaville par intérim, M. Guy Marius Okana, avait annoncé cela, le 25 mars 2020 et l’opération a été effective pour se faire, la Mairie avait sollicité l’aide financière du gouvernement à travers les ministères tant de la santé et de la population que de la justice pour l’acquisition des cercueils. Le gouvernement avait alloué une somme de 35 millions 675.000 FCfa ayant permis à la Mairie de Brazzaville de procéder à la fabrication des cercueils et à l’achat de deux terrains à Mayitoukou pour cette inhumation, avait-il fait savoir.
Pendant cette période de lutte contre La pandémie du COVID-19, en dehors des mesures de prévention prises par le gouvernement, Guy Marius Okana, a annoncé d’autres mesures d’urgence contre cette pandémie en ce qui concerne les inhumations et les veillées à domicile, par une note circulaire précise« Plus de dépôt de la dépouille mortuaire ni à domicile ni à l’église. Le temps maximum de recueillement est d’une heure. Dix personnes sont autorisées pour assister au nettoiement et au recueillement des corps soit cinq du côté paternel et autant du côté maternel, y compris la veuve ou le veuf ».
Guy Marius OKANA, en partenariat avec l’Administrateur Maire de Bacongo, Simone LOUBIENGA, ont f travaillé avec les comités du marché Total pour mettre en place un dispositif pour respecter la distanciation sociale en vue de protéger les vendeurs et les acheteurs.
Lors d’une séance de travail, le 8 mai dernier avec les personnes vivant autour du cimetière du Centre-Ville de Brazzaville, notamment les expropriés de l’ex-Office National des Postes et Télécommunications (ONPT), le Maire par intérim, Guy Marius OKANA, leur a demandé de libérer ces lieux pour permettre à la Mairie de Brazzaville d’agrandir cette nécropole.
Guy Marius Okana, le maire de la ville de Brazzaville par intérim, a procédé, le 14 mai, au lancement de la restauration des panneaux de signalisation et des lignes discontinues et des passages piétons dans les différentes voies publiques de la ville capitale en présence des maires de Poto-Poto et Moungali
« Les panneaux de signalisation permettront à la police de circulation de réguler la circulation automobile et piétonne. Cela permettra à la circulation de notre ville de prendre un élan parce que les panneaux de tout genre seront disponibles partout. L’avenue de la Paix est une voie symbolique pour notre ville. Cette opération couvrira toute notre ville capitale. Cette initiative concerne la prospérité de Brazzaville »
«Le goudron qui parle est le visage d’une ville, je suis très content de cette belle initiative du Maire et cela facilitera les personnes et les chauffeurs qui ne maîtrisent pas le code de la route. Merci infiniment et félicitation pour cette magnifique idée », satisfait par cette initiative, s’est exprimé un habitant de Poto-Poto, qui attendait ce geste depuis plusieurs années. Mais aussi lorsque vous contemplez le pont du Djoué et le pont du centenaire, vous apprécierez que ces deux ponts aient été peints aux couleurs de la Républiques.
Disant qu’avec Guy Marius OKANA, à bientôt Brazzaville n'aura plus des nids de poules dans les différents artères de notre cher capitale et nous croyons que nous ne verrons plus ce spectacle désolant de « Bambissa lipapa » que nous assistons entre temps avec les 100 jours. Espérons qu'avec Guy Marius OKANA, nous reverrons la grande épopée de Jean Jules OKABANDO et Gabriel EMOUENGUE, des services de la voirie, il a fait ses preuves avec l'assainissement des marchés domaniaux de Brazzaville, les services d’hygiène municipaux sont à l'oeuvre bien équipé et bien habillé désinfectant les marchés et les places publics.