Publié le 7 Juin 2022
par GéoAfriqueMédias.cg
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Cette nuit du 05 juin 2022, toutes les infrastructures du port de Nika Tera en Ukraine ont été détruites à 100% par des missiles hypersoniques russes de haut niveau tirés depuis Nikolaev. Tous les missiles hypersoniques russes ont atteintes leurs cibles, aucun d'entre eux n'est disponible dans le matériel que l'OTAN fournit en Ukraine. Rien ne peut résister aux missiles hypersoniques missiles russes qui détruisent tout ce qu'ils visent !
La légion étrangère internationale fiancée par l’OTAN est un véritable échec contre la Russie. Plusieurs soldats australiens, français, américains ont perdus leurs vies cette nuit. Le Président Zelensky pointé du doigt, l'armée ukrainienne et les politiciens locaux commencent à ne plus être d'accord avec Zelensky qui insiste encore et qui prend des humains pour des animaux de guerre pour continuer la bataille. Les soldats et les politiciens ukrainiens sentent maintenant qu'ils ne sont pas pris en compte par l’importation des armes en Ukraine. Qu’est-ce qui se passe ? C’est parce que l'armée russe est en train de détruire toutes les capitale stratégique de l'Ukraine et elles sont devenues russes. Toutes les capitales stratégiques Ukrainiennes sont maintenant complètement détruites, Zelensky ne veut pas abandonner, il est inquiet, trahit par les alliés parce qu’il n’avait pas encore compris que l’OTAN ne vise que ses intérêts.
Publié le 2 Mai 2022
par GéoAfriqueMédias.cg
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Hier, une centaine de civils sont sortis de l'ancienne usine Azovstal, transformée en base militaire ukrainienne à Mariupol et tenue par le bataillon néonazi Azov. Et les gens ont commencé à parler. Mais vous n'en entendrez pas un mot dans les médias occidentaux, car ils condamnent les groupes extrémistes de les avoir retenus contre leur gré. Cela s'appelle une prise d'otages. Et cela constitue un crime de guerre. Pourtant, personne en Occident ne le condamne, chacun se félicite de leur sortie comme si de rien n'était. Ce n'est pas de l'hypocrisie, c'est de la complicité.
Zelensky l'annonce fièrement, une centaine de civils sont sortis de la base de l'armée ukrainienne Azovstal et se dirigent vers les territoires non contrôlés par la Russie, sous protection de la Croix-Rouge ... Manifestement, pas tous se dirigent loin de la Russie et personne ne cherche à savoir en Occident comment ils sont arrivés dans l'ancienne usine et pourquoi ils ne sont pas sortis plus tôt.
Puisque l'armée russe a assuré la sortie de ces hommes, femmes et enfants, qu'ils les ont emmenés vers le village de Bezimennoe à DNR, où ils ont été soignés et nourris et ceux qui le voulaient sont repartis avec la Croix-Rouge vers l'Ukraine, les langues se sont déliées.
Une femme répond à la question que beaucoup se posaient de savoir comment des civils avaient pu se trouver dans cette usine, alors qu'elle était depuis longtemps devenue un site militaire. Elle habitait non loin de là quand les combats faisaient rage et, ayant peur, son fils l'a appelée pour se cacher dans l'usine. Beaucoup d'autres sont ainsi venus se réfugier, tout d'abord volontairement. Ensuite, ils n'ont pas pu en sortir, même lorsque les tirs avaient cessés, deux ou trois fois les Ukrainiens les ont empêchés de partir. Leur présence n'était donc plus, désormais, volontaire, mais forcée, ce qui caractérise la prise d'otages autant que l'utilisation de bouclier humain, puisque en mettant en avant la présence de civils détenus contre leur volonté, les Ukrainiens voulaient forcer la Russie à les laisser en vie sans se rendre.
Une autre femme explique que le comportement de ces Ukrainiens est devenu extrêmement agressif. Un jour, ils sont venus affirmant avoir forcé plusieurs habitations, y avoir trouvé des drapeaux russes, que tout le monde à Mariupol a des drapeaux russes et que c'est une ville russe. Ce qui les a mis en rage.
Les Russes, qui sont sur place et ont accompagné les civils, sont sidérés par le discours qu'ils tenaient les premières heures. En fait, certains étaient persuadés, puisque c'était l'armée russe qui les faisait sortir, qu'ils allaient être fusillés. Et encore dans le bus, quand ils allaient être mis en sécurité, ils pensaient vivre leurs dernières heures. Imaginons le discours qui leur était servi toute cette période de rétention. Ils étaient totalement coupés de la réalité et entièrement dépendant de leurs geôliers. Par exemple, dans ce bunker, dans les tréfonds d'Azovstal, 9 personnes ont vécu pendant 62 jours, dont deux enfants de 9 et 11 ans :
La présentation faite par les médias, notamment Le Figaro, est simplement incroyable. Sans même soulever la question de savoir pourquoi ces civils se trouvent dans ce site militaire, le bataillon néonazi Azov est parfaitement normalisé, ce sont des bons gars ukrainiens qui aident à évacuer les civils :
"Le régiment ukrainien Azov, qui défend cette zone, avait d'abord évoqué l'évacuation d'une vingtaine de personnes dans la nuit de samedi à dimanche. "
Pour appeler les choses par leur nom, la Russie a réussi à libérer une partie des otages retenus à Azovstal, une partie des civils qui soutenaient le groupe Azov pouvant en contre-partie retourner librement en Ukraine.
Publié le 2 Mai 2022
par GéoAfriqueMédias.cg
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"Nous fournissons des armes, l'armée russe fournit des morts". Voici la dernière sortie de Joseph Borrell, celui-là même qui, il y a peu, avait déclaré que cette guerre en Ukraine se gagnerait sur les champs de bataille. Lorsqu'un piètre technocrate joue au va-t-en-guerre, l'on a de quoi s'inquiéter. Les Européens et les Ukrainiens, en tout cas, le devraient ... Et que le fameux "parti de la paix" se demandequellepaix est attendue, quand l'ennemi veut votre destruction totale et physique.
Joseph Borrell ne cessera de nous étonner. Il est des hommes qui se révèlent lors des situations graves, il est de ceux qui perdent les apparences. Lui, appartient sans aucun doute à la seconde catégorie : il ne peut vraiment plus faire illusion. Mais peut-on faire illusion à ce poste en général, et en ce moment en particulier ? Comment envoyer les Ukrainiens à une mort certaine au nom des intérêts impérialistes atlantistes et oser expliquer que la Russie "fournit des morts", alors que pendant 8 ans rien n'a été fait pour calmer la situation dans l'Est du pays, alors que l'UE s'est totalement couchée devant les Etats-Unis, alors que les Atlantistes fournissent armes et munitions à l'Ukraine ... pour que "la Russie fournisse les morts" ? Il semblerait que, justement, l'Europe se moque totalement de ces morts. Quelle abominable hypocrisie!
Dans soninterview, Borrell fait perdre tout son sens à ce fameux "clan de la paix" russe, qui s'accroche aux pourparlers, comme s'ils pouvaient mettre un terme au conflit. J'entends au conflit géopolitique, à savoir l'enjeu, et non pas seulement au conflit militaire. Borrell rétablie parfaitement le lien entre les deux plans en déclarant d'entrée de jeu :
"Il ne s'agit pas seulement de savoir quand, il s'agit de savoir comment la guerre s'arrête!", avec quel vainqueur
Ainsi, paraît-il, l'Europe est confrontée à un choix cornélien - fournir ou ne pas fournir d'armes à l'Ukraine, c'est-à-dire entretenir ou ne pas entretenir la phase militaire de ce conflit. Pourtant, il n'y a pas de choixcornélien, car il n'y a pas d'état d'âme, il y a la guerre. Alors la réponse est claire et finalement logique :puisque la victoire géopolitique du monde atlantiste passe par la victoire militaire en Ukraine, les Atlantistes iront jusqu'au bout.
Et Borrell annonce lui aussi la seconde phase du conflit, nous sortons de la phase "légère", de la guerre rapide, et entrons dans une phase lourde, une guerre longue, dans laquelle le silence est de mise, l'ennemi ne doit pas savoir ce qui se passe. Car, finalement, la victoire ne sera obtenue qu'au prix de sa destruction physique et totale, peut-on ajouter.
A bon entendeur, salue. Que les partisans de ce malsain "parti de la paix" se demandent justementquellepaix ils prétendent obtenir, quand l'anéantissement de leur pays et de leur civilisation est en jeu. Ils ne peuvent empêcher le conflit, ils ne peuvent que gêner la victoire.
Publié le 1 Mai 2022
par GéoAfriqueMédias.cg
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Une centaine de civils ont pu être évacués de l'aciérie Azovstal, dernière poche de la résistance ukrainienne à Marioupol, ville portuaire du sud-est du pays, a annoncé Volodymyr Zelensky.
Alors que les forces russes ont maintenu samedi 30 avril leur pression sur les régions de l'est de l'Ukraine, particulièrement autour de la ville Kharkiv, où elles continuent de grignoter du terrain, et du Sud où elles ont détruit la piste de l'aéroport d'Odessa. Une centaine de civils ont pu être évacués de l'aciérie Azovstal, dernière poche de la résistance ukrainienne à Marioupol, selon Volodymyr Zelensky. La présidente de la Chambre des représentants des Etats-Unis, Nancy Pelosi, a rencontré samedi le président ukrainien au cours d'une visite surprise à Kiev.
Une centaine de civils évacués de l'usine Azovstal, à Marioupol
L'évacuation de l'usine Azovstal, dernière poche de résistance à Marioupol, port assiégé par les Russes dans le sud-est du pays, "a commencé" et une centaine de civils se dirigent vers "le territoire contrôlé par l'Ukraine", a annoncé, ce dimanche, Volodymyr Zelensky. "L'évacuation de civils depuis Azovstal a commencé. Un premier groupe d'environ 100 personnes se dirige vers le territoire contrôlé (par l'Ukraine). Demain on va les accueillir à Zaporijjia", à l'ouest de Marioupol, a écrit sur Twitter le président ukrainien. "Merci à notre équipe! Ils travaillent avec des représentants de l'ONU pour évacuer les civils qui restent sur le territoire de l'usine", a-t-il poursuivi.
Cette déclaration fait suite à plusieurs annonces au sujet de ces civils terrés dans l'immense aciérie datant de l'époque soviétique. Le régiment ukrainien Azov, qui défend cette zone, avait d'abord évoqué l'évacuation d'une vingtaine de personnes dans la nuit de samedi à dimanche. Le ministère de la Défense russe a ensuite déclaré, ce dimanche, que près de cinquante civils avaient été évacués : un premier groupe de 25 civils samedi après-midi, puis un second de 21 personnes en début de soirée. Il n'était pas clair, dans l'immédiat, si parties ukrainienne et russe parlaient de la même évacuation et des mêmes personnes.
L'actrice s'est notamment rendue dans un hôpital pour rencontrer des enfants blessés dans le bombardement du 8 avril devant la gare de Kramatorsk, dans l'est du pays, attribué à la Russie, qui avait tué plus de 50 civils, selon le gouverneur.
Publié le 1 Mai 2022
par GéoAfriqueMédias.cg
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Le Président français, Emmanuel Macron, a annoncé, ce samedi 30 avril, que la France va « renforcer » l’envoi de matériel militaire et d’aide humanitaire à l’Ukraine, après un entretien avec le Président ukrainien.
La France va « renforcer » l’envoi de matériel militaire à l’Ukraine ainsi que son aide humanitaire à ce pays, a annoncé, ce samedi 30 avril, l’Elysée, après un entretien entre le président réélu Emmanuel Macron et son homologue Volodymyr Zelensky. Alors que le président ukrainien le remerciait pour des « envois de matériel militaire d’envergure qui contribuent à la résistance ukrainienne », le chef d’Etat français « a indiqué que cet appui continuera de se renforcer, de même que l’assistance humanitaire apportée par la France ».
Selon un communiqué, il a ajouté que « la mission d’experts français contribuant au recueil de preuves pour lutter contre l’impunité et permettre le travail de la justice internationale relatif aux crimes commis dans le cadre de l’agression russe, se prolongera ».
Les Etats-Unis, la France, la République tchèque et d’autres alliés ont fourni à Kiev des centaines de pièces d’artillerie de longue portée pour l’aider à contrer l’offensive de Moscou dans le Donbass (est). Paris envoie pour sa part ses ultramodernes canons automoteurs « Caesar ».
Plus de 615 tonnes d’équipement acheminés.
Selon l’Elysée ce samedi, l’aide humanitaire française à l’Ukraine représente à ce stade « plus de 615 tonnes d’équipement acheminés dont du matériel médical, des groupes électrogènes pour les hôpitaux, de l’aide alimentaire, de l’aide pour l’hébergement, et des véhicules d’urgence ». Emmanuel Macron a insisté sur « sa volonté d’œuvrer activement lors de son second mandat à rétablir la souveraineté et l’intégrité territoriale de l’Ukraine, en maintenant toujours une étroite coordination avec ses partenaires européens et alliés ».
Il a également évoqué « la disponibilité de la France à contribuer à un accord prévoyant des garanties de sécurité à l’Ukraine. » Le Président a également fait part à Volodymyr Zelensky de son « inquiétude » après les bombardements russes ce jeudi à Kiev, ainsi que sur « la situation insupportable à Marioupol, malgré ses appels répétés adressés au président russe de respecter le droit international humanitaire ».
Publié le 23 Avril 2022
par GéoAfriqueMédias.cg
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L’Occident, quoique rassemblé, peine à mobiliser au-delà de ses rangs comme jadis, certains pays, notamment africains, refusant de s’aligner. Des signes de fractures et d’une révolution potentielle pour l’économie mondiale et des rapports de force. La guerre en Ukraine porte des germes d’une accélération de la refonte des relations internationales, selon les experts. L’Afrique en est un exemple.
« Nous sommes à un moment d'émancipation vis-à-vis des Etats-Unis, de l'Occident et de fragmentation du paysage politique mondial », écrit la directrice de la prévision pour l'unité de recherche de "The Economist", Agathe Demarais. La professeure d’études stratégiques au Centre d’études stratégiques for Policy Research, à New Delhi en Inde, Brahma Chellaney, affirme que la guerre « est un point de bascule qui mènera à la création d'arrangements alternatifs, la polarisation des relations internationales et la scission de l'économie mondiale ». Alors qu’il se trouvait en Chine, le chef de la diplomatie russe, Sergueï Lavrov, a déclaré que le monde était à « une étape très sérieuse dans l'histoire des relations internationales » qui débouchera sur une « situation internationale nettement plus claire, (...) un ordre mondial multipolaire ». A l’Assemblée générale de l'ONU, 141 pays sur 193 se sont prononcés sur la résolution. Sur cinquante-quatre membres africains, nombreux (vingt-six pays) sont passés d’un vote favorable en mars à un vote contre ou ont choisi la voie de la neutralité début avril. La plupart de ces pays entretiennent une coopération de longues dates avec Moscou, entre autres l’Angola, l’Algérie, l’Afrique du Sud, la Centrafrique, le Congo, l’Ethiopie, l’Egypte, le Mali ou encore le Mozambique.
L’Occident peine à convaincre les Africains
Il faut dire que l’Occident peine à convaincre les Africains. Le président sud-africain, Cyril Ramaphosa, estime que « la guerre aurait pu être évitée si l'Otan avait tenu compte des avertissements de ses propres dirigeants ».« Et encore, ce n'est que la Russie. Si un jour il fallait voter contre la Chine, qui a des capacités de persuasion (...) plus importantes, cela pourrait être beaucoup plus compliqué », écrit un expert français. Même si « la guerre a un impact multidimensionnel extrêmement négatif sur le quotidien des gens dans le monde, surtout en Afrique […], c'est quelque chose qui concerne l'Otan et la Russie, c'est dans l'espace européen », souligne l’ancien ambassadeur du Maroc aux Nations unies, Mohamed Loulichki. Taxé d’hypocrisie, cette guerre met donc en lumière « une lassitude mondiale vis-à-vis de l'Occident » qui pourrait aboutir à la fracturation politique mais aussi économique, écrit Jean-Marc Balencie, du blog "Horizons incertains". Les liens historiques, mêlés à l’arrogance occidentale et aux anciens schémas, ont poussé certains pays africains à refuser de condamner l’invasion russe de l’Ukraine et à bouder l’ONU.
La neutralité africaine profite à la Russie
Cinq raisons essentielles gouvernent la neutralité africaine : le refus d’un ordre international perçu comme occidental ; un scepticisme envers l’Otan et de ses motivations ; une dépendance croissante de certains ces pays africains vis-à-vis de Moscou en raison du soutien militaire ; un recours grandissant aux importations de blé et d’engrais ; et enfin le sentiment d’assister à un retour de la guerre froide. « Les pays africains ont fondé leurs décisions sur une évaluation stratégique des catastrophes humanitaires qu’il engendre. Une approche qui contraste avec celle de l’Union européenne, qui a su converger et adopter une position commune à cet égard », écrit "The Conversion".
Le président ukrainien, Volodimir Zelensky, a sollicité son homologue sénégalais, Macky Sall, également président en exercice de l’Union africaine, dans des considérations stratégiques. Les autorités africaines ont opposé une fin de non-recevoir, préférant garder la neutralité et ménageant leurs relations avec la Russie. De plus, ils n’ont toujours pas digéré l’attitude de Kiev face à un comportement raciste et xénophobe, face aux ressortissants africains voulant fuir les bombardements, mais interdits par les forces de l’ordre de monter dans les trains, ou refoulés à la frontière polonaise. Ce qui avait marqué les esprits des Africains. Tout comme ces actes n’ont malheureusement pas été condamnés. Et face aux Nations unies, les opinions africaines semblent de plus en plus prudentes. Les bombardements de Bouaké en 2004 en Côte d’Ivoire, les événements liés à l’élimination du guide libyen Mouammar Kadhafi en 2011 ont laissé des traces. La sagesse de Nelson Mandela résumerait la position africaine : « Pourquoi voulez-vous que vos ennemis deviennent forcement les ennemis des autres ! ».
A l’ombre de la guerre en Ukraine, le Kremlin tisse sa toile
A la faveur de son premier sommet Russie-Afrique de Sotchi, le Kremlin a relancé ses relations avec l’Afrique depuis 2019. Une deuxième édition est prévue en automne. Au Mali, en Centrafrique, au Soudan, au Mozambique, etc, Moscou a réussi à se faire une place de choix, signant des accords de défense avec les pays africains, attirant la sympathie de la jeunesse africaine. La Russie vient de signer un nouvel accord de coopération militaire avec le Cameroun dans sa lutte contre le terrorisme, après avoir procédé à une mise en place d’un nouveau cadre de coopération avec la Mauritanie, la Centrafrique, le Nigeria, il y a moins d’un an.
Publié le 18 Avril 2022
par GéoAfriqueMédias.cg
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La romancière franco-camerounaise, Calixte Beyala, semble, comme l’immense majorité de la population planétaire et un nombre d’occidentaux sachant prendre du recul qui leur vaut les qualificatifs de « poutinolâtres », « bolchéviques », et autres « nazis », agacée par le président ukrainien Volodymyr Zelensky, qu’elle accuse de s’ériger en donneur de leçon, donner des ordres partout et à tout le monde.
Alors que l’Ukraine est envahie par la Russie de Vladimir Poutine, Volodymyr Zelenski tente d’organiser la résistance sur le terrain de guerre mais également sur le plan « diplomatique ». Sur ce terrain, le président ukrainien ne cesse de faire des demandes presque partout pour qu’on sanctionne la Russie.
Insatisfait du travail des ambassadeurs de l’Ukraine au Maroc et en Géorgie, qu’il juge assez inefficaces pour obtenir des armes ou des sanctions contre la Russie dans ces deux pays, Volodymyr Zelenski les a tout simplement rappelés. Une telle action a dû mal à recevoir l’assentiment de l’écrivaine et intellectuelle Calixthe Beyala, qui accuse Volodymyr Zelenski de se comporter comme « le nouveau président du monde. ». : « Il donne des ordres partout ; il intime à tout le monde d’obéir, Sinon ! Fermez vos frontières à la Russie ! Fermez vos usines ! N’achetez rien ! Ne vendez rien ! Mourrez de faim ! Mourrez de froid ! Faites des kilomètres à pieds pour aller travailler », commente-t-elle sur sa page Facebook.
L’écrivaine rappelle a Volodymyr Zelenski que les africains avaient été les premiers à être victimes du nazisme. « Il oublie que nous autres africains avions été victimes de ses amis occidentaux ! Qu’ils nous ont esclavagisés ! Qu’ils nous ont colonisés ! Qu’ils ont massacré nos pères et mères pendant les guerres des indépendances ! Qu’ils ont tué nos leaders, Lumumba ! Khadafi ! Boganda ! Um Nyombe! Que sur la tête de nos grands-parents, cette blessure est là, très présente ! Qu’aucun de nos gouvernants qui seraient en adéquation avec nos peuples ne saurait leur apporter le moindre début de soutien ! ».
L'intelligence artificielle (IA) transforme le monde plus vite que celui-ci ne peut estomper l’intensification des divisions géopolitiques et des disparités socio-économiques. Alors que l’évolution technologique est plus rapide que la politique réglementaire,aucun cadre commun n'a émergé permettant de coordonner les nombreuses approches de gouvernance dépendant de contextes nationaux. Les préoccupations et les intérêts des citoyens et de la société civile du Sud global en particulier doivent être davantage priorisés pourinverser la fragmentation croissante de la gouvernance des plateformes algorithmiques et des systèmes d'IA dans le monde.
Les sociétés du Sud sont en droit de bénéficier d’avantages économiques équitables et de protections significativescontre les plateformes et outils largement contrôlés par des sociétés basées dans le Nord et au sein des grandes puissances, en particulier les États-Unis et la Chine, mais également l’Union européenne. Cette équité doit être fondée sur ce que nous définissons comme un «constitutionnalisme de l’IA», qui considère l’IA et le big data commedes ressources fondamentales au sein de l’économie moderne.
Nourri par les réflexions d'un groupe de travail pluridisciplinaire et international - avec une forte représentation du Sud Global - composé de 21 expertsréunis de manière inédite parInitiate: Digital Rights in Societyet leForum de Paris sur la Paix, le rapport propose quele constitutionnalisme de l'IA et une approche fondée sur les droitsguident l'élaboration de protocoles et de conventions internationaux de haut niveau qui fixeront les normes d'élaboration des politiques pour le développement et le déploiement de l'IA, dans le monde entier. Ilrecommande 4 actions cléspour œuvrer en faveur d'un paysage politique de l'IA moins fragmentéqui intègre les intérêts et les préoccupations des pays du Sud Global.
Publié le 25 Mars 2022
par GéoAfriqueMédias.cg
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Le Forum de Paris sur la Paix et Initiale publient un rapport sur la gouvernance de l'IA
L'intelligence artificielle (IA) transforme le monde plus vite que celui-ci ne peut atténuer les divisions géopolitiques et les disparités socio-économiques qui s'intensifient. Alors que les changements technologiques dépassent les politiques réglementaires,aucune plateforme commune n'a encore émergépour coordonner une variété d'approches de gouvernance dans demultiples contextes nationaux.
Nourri par les réflexions d'un groupe de travail composé de 21 experts réunis par« Initiate : Digital Rights in Society »et leForum de Paris sur la Paix, le rapport propose que leconstitutionnalisme de l'IA- qui considère l'IA et le big data comme des ressources fondamentales de l'économie moderne -et une approche fondée sur les droitsdoivent guider l'élaboration de protocoles et de conventions internationaux de haut niveau qui fixeront les normes d'élaboration des politiques pour le développement et le déploiement de l'IA, dans le monde entier, etrecommande plusieurs actions cléspour œuvrer en faveur d'un paysage politique de l'IA moins fragmentéqui intègre les intérêts et les préoccupations des pays du Sud Global.
[ Sous embargo jusqu'à la sortie officielle le mercredi 23 mars 2022, 9h CET ]
Publié le 16 Mars 2022
par GéoAfriqueMédias.cg
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L'ancien président Donald Trump a signalé que s'il faisait une autre candidature à la Maison Blanche en 2024, il choisirait un colistier autre que l'ancien vice-président Mike Pence. "Je ne pense pas que les gens l'accepteraient", a déclaré Trump au Washington Examiner lors d'une interview mardi soir dans laquelle il a qualifié Pence de "personne vraiment bien" mais a renouvelé ses griefs concernant le refus de Pence de tenter d'annuler les résultats de l'élection présidentielle de 2020. lors du dépouillement par le Congrès des votes des collèges électoraux. "Mike et moi avions une excellente relation, à l'exception du facteur très important qui s'est produit à la fin. Nous avions une très bonne relation », a déclaré Trump à l'examinateur. "Je ne lui ai pas parlé depuis longtemps."
Trump a affirmé à plusieurs reprises que Pence, dans son rôle de président du Sénat le 6 janvier 2021, aurait pu rejeter les votes du collège électoral de plusieurs États remportés par Joe Biden en 2020 – une autorité que Pence a déclaré qu'il était convaincu qu'il manquait. Trump a fait valoir que les votes du collège électoral auraient dû être rejetés en raison d'une fraude généralisée, dont aucune preuve n'a été révélée.
"Mike pensait qu'il allait être un tapis roulant humain, que peu importe la fraude des votes, vous devez les envoyer à Old Crow", a déclaré Trump, en utilisant son surnom pour le chef de la majorité au Sénat de l'époque, Mitch McConnell (R- Ky).
Les affirmations de Trump sur le pouvoir de Pence de rejeter les votes des collèges électoraux ont contribué à alimenter le "Hang Mike Pence!" chant qui a éclaté parmi la foule pro-Trump lors de l'émeute du Capitole le 6 janvier.
Pence, qui explore sa propre candidature potentielle à la présidentielle de 2024, a déclaré que les républicains devaient dépasser la défaite électorale de 2020.
Alors que Pence a continué à vanter ses services dans l'administration Trump, il a récemment montré une volonté de se distancier de l'ancien président sur certaines questions.
Lors d'un discours aux donateurs républicains à la Nouvelle-Orléans ce mois-ci, Pence a déclaré qu'il n'y avait pas de place dans le Parti républicain pour les "apologistes de Poutine" dans un coup apparent contre Trump. Trump avait précédemment qualifié le président russe Vladimir Poutine d'"intelligent", de "savant" et de "génie", tout en insistant sur le fait que l'invasion de l'Ukraine par la Russie ne se serait jamais produite sous sa direction.