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La HALC a reçu des hôtes de marque en vue d'une coopération naissante

Publié le 6 Janvier 2023 par André LOUNDA dans Société

Le Directeur de l'Agence Française Anticorruption (AFA) , Charles DUCHAINE et le Président de l'ONG Croissance PEACE, Emmanuely Ludovic François Frédéric et leur suite en visite de travail en République du Congo ont été reçu le jeudi 5 janvier 2023 au siège de la Haute Autorité de Lutte contre la Corruption ( HALC ) par Emmanuel OLLITA ONDONGO, Président de la HALC en présence de ses collaborateurs.

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<< C'est avec un réel plaisir que j'éprouve en m'adressant aux différentes personnalités présentes dans cette salle. À l'entame, recevez ici par ma voix et au nom de tous les personnels de la Haute Autorité de Lutte contre la Corruption en mon nom propre, les vœux les meilleurs de bonheur, de santé et de prospérité à l'occasion de cette nouvelle année qui commence. >>, C’est par ce propos que le Président de la HALC a souhaité la bienvenue et ses vœux à leurs hôtes de marque. << À tous nos hôtes, recevez ici nos cordiales salutations et les souhaits de bienvenue dans notre capitale >>, a laissé entendre Emmanuel OLLITA ONDONGO.

Poursuivant, il a ajouté qu' aussi vais-je adresser ici mes vifs remerciements à chacun de vous pour avoir rehaussé de votre présence à cette cérémonie. Je pense ici particulièrement à Monsieur Charles DUCHAINE, Directeur de l'Agence Française Anticorruption (AFA) pou avoir accepté d'endosser les vœux de l'établissement de la coopération entre nos deux institutions, et à Monsieur Emmanuely Ludovic François Frédéric ainsi qu’à la délégation qui l'accompagne pour avoir assuré la facilitation. Mais au-delà d'une simple présentation usuelle, il conviendrait de vous signaler que cette cérémonie revêt un caractère particulier et historique dans le cadre de la prévention et la lutte contre la corruption. À Charles DUCHAINE et à Monsieur Emmanuely, le Président de la HALC, leur a rassuré particulièrement qu' elle devra en aboutir à la matérialisation de cette collaboration par la signature d'un protocole d'accord de coopération entre la Haute Autorité de la Lutte contre la Corruption (HALC) conformément à l'article 2 alinéa 8 de la loi 3-2019 du 7 février 2019 portant création de la Haute Autorité de Lutte contre la Corruption.

Pour conclure, le Président de la HALC a fait savoir à ses hôtes que la signature de cet acte dénote de l'excellence des relations historiques qui existent entre nos deux pays. Notre vœu ardent est de voir croître cette coopération naissante pour des lendemains meilleurs, bénéfiques à nos deux institutions. Je ne saurais terminée mon propos sans souhaiter à nos illustres hôtes bon séjour à Brazzaville.

A noter que Monsieur Charles DUCHAINE et sa suite sont arrivés à Brazzaville, le 4 janvier 2023 dans leurs gibecières plusieurs activités seront au centre de leur visite de travail.

 

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Charles DUCHAINE a été reçu ce matin par Anatole Collinet MAKOSSO

Publié le 5 Janvier 2023 par André LOUNDA dans Société

 

En visite de travail pour la première fois au Congo, Charles DUCHAINE, Directeur de l'Agence Française Anticorruption en sigle AFA a été reçu ce jeudi 5 janvier 2023 par Anatole Collinet MAKOSSO à la Primature. Visite de travail au cours de laquelle en présence d'Emmanuel OLLITA ONDONGO, Président de la Haute Autorité de Lutte contre la Corruption (HALC) et de ses collaborateurs, le Directeur de l'AFA s’est entretenu avec le Premier Ministre, Chef du Gouvernement congolais sur la lutte contre la Corruption en République du Congo. À titre de reconnaissance, Charles DUCHAINE a remis au Chef du Gouvernement une médaille de l'AFA. Au terme de la rencontre, il s’est prêté aux micros des professionnels des médias.

-Monsieur le Directeur, l'indice de perception de Transparency International affirme et confirme les avancées réalisées par le Congo matière de Lutte contre la Corruption. Est-ce que c'est ce qui a été autour de votre entretien avec le Premier Ministre?

Charles DUCHAINE : De toutes les façons on en a parlé mais de façon secondaire mais, c'important ! Même si voulez cet indice n'est fondé que sur le ressenti. La réalité, il faut la respecter parce qu'on ne dispose pas de telle mesure, le travail que nous faisons en France, c'est de mesurer de la manière un peu scientifique sur la lutte contre la Corruption. Il faut être attentif, il faut respecter cet indice mais aussi s’ils ont délibérés en donnant d'autres critères d'évaluation, c'est ce qui est important pour le Congo et aussi pour d'autres pays ! Ce n'est pas trop loin de la situation qu'on ait par rapport à cet indice. Donc, les quelques points que vous avez gagné ce n'est pas de grandes choses, c'est sans doute la démonstration que vous faites et c'est important.

 

-On vous a vu offrir une médaille au Premier Ministre qu’est-ce qu’elle signifie ?

 

Charles DUCHAINE : Cette médaille, est la médaille de notre agence, ce n’est pas une décoration, c’est un souvenir que je laisse au Premier Ministre comme souvenir de notre agence.

 

-Est-ce que c’est pour reconnaître que le Congo fait des avancées en matière de lutte contre la corruption ?

 

Charles DUCHAINE : Ecoutez, je viens d’arriver, je ne peux pas donner mon point de vue sur les avancées ! Je crois que c’est une volonté ! Le Premier Ministre vient de nous expliquer à travers ses propos ! J’en ai vu une volonté politique forte et c’est la condition nécessaire. Sans la volonté, il n’y a pas de chemin, il n’y a pas de résultats. Une volonté politique, il faut l’entretenir, il faut que chacun à son niveau contribue à la manifestation de cette volonté. Il faut que le Président de la République, le Premier Ministre, le Président de la Haute Autorité de Lutte contre la Corruption soient engagés dans cette bataille. Mais, il faut que le plus petit fonctionnaire soit engagé dans cette lutte, tout le monde doit y contribuer, c’est un travail collectif.

 

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La HALC dans un Face à Face avec les agents de l'Aéroport MAYA- MAYA

Publié le 31 Décembre 2022 par André LOUNDA dans Société

<< Des voix s'élèvent pour décrier, voire dénoncer, les faits de corruption dans les Aéroports africains >>, c'est sous ce leitmotiv que la Haute Autorité de la Lutte contre la Corruption, la HALC a sensibilisé les agents œuvrant à l'Aéroport MAYA-MAYA dans le cadre de la poursuite de sa campagne de sensibilisation sur la lutte contre la corruption, la concussion et la fraude.

Placée sous le thème: << Halte à la corruption à l'Aéroport MAYA-MAYA >>, la campagne de sensibilisation à la lutte contre la corruption dans les Aéroports du Congo a été placée sous l'autorité d'Emmanuel OLLITA ONDONGO, Président de la HALC a été rehaussé par le Directeur de Cabinet du Ministre des Transports, de l'Aviation Civile et de la Marine Marchande.

Les réclamations des usagers confirment la pratique d'une corruption à la fois active et passive dans les principaux aéroports internationaux du Congo. En effet, la HALC a organisé cette campagne de sensibilisation à l'endroit de la communauté aéroportuaire de Brazzaville et de Pointe Noire.

En effet, les aéroports constituent pour un pays moderne sa porte d'entrée et de sortie. Ils jouent un rôle majeur dans les économies exportatrices par le biais du fret, des voyages d'affaires et de leur rôle dans le commerce international. Ils ont également essentiels dans le tourisme moderne et constituent un espace par où transitent les personnes et les biens entre les moyens de transport au sol et les avions.

Les aéroports sont aussi des lieux de concentration sociale à haute intensité. Du fait de cette présence humaine, et de l'importance des activités socioéconomiques, des scandales dont souvent révélés dans la presse sur ce qui s'y déroule. Les services de sécurité, de douanes et de sureté qui règlementent les trafics des personnes et des biens versent eux même dans les abus et tracasseries monnayées qu'ils font subir aux usagers.

De nos jours, la corruption se développe dans les aéroports notamment africains, entravant la tranquillité, la sérénité ainsi que la confiance des passagers en ces structures.

Dans notre pays le Congo, les enquêtes de satisfaction clients du programme Air port Service Quality (ASQ) établissaient en 2018, au titre des pires expériences vécues par les passagers : << la réclamation de pourboire aux passagers par des agents de sécurité >>. Les réclamations des usagers confirment la pratique d'une corruption.

Le Délégué des travailleurs de l’aéroport, appréciant cette l'initiative et l'engagement qu’il a qualifié « sans faille » de la HALC en matière de lutte contre la corruption. Selon lui, l'AERCO avait déjà mis en place des techniques de lutte contre la corruption dans les espaces aéroportuaires du Congo. Il a rappelé que les agents de l'AERCO se sont engagés à se joindre à la Haute Autorité de Lutte contre la Corruption et qu’ils ne cesseront pas de se ressourcer auprès de celle-ci afin de bien accomplir leurs différentes missions et assainir l'environnement aéroportuaire de certains maux.

De sa part, Emmanuel OLLITA ONDONGO, Président de la HALC,   dans son discours, a illustré la différence entre la corruption, la concussion et la fraude, tout en déplorant la persistance de la corruption dans les aéroports de notre pays le Congo.

Ainsi, il a indiqué que l'aéroport est l'image d'entrée et de sortie du pays, malheureusement cette image se ternit à cause du mauvais comportement de certains agents. C'est ici que passent les sans-papiers, c'est ici qu'entrent et sortent les produits illégaux, c’est ici que s’organisent des trafics bizarres. Nous déclarons la fin de la récréation pour les corrompus et les corrupteurs. Il n'y a pas de Congolais plus Congolais que les autres, chacun doit faire preuve de bonne moralité. Que vive le Congo sans corruption.

Plusieurs thèmes ont été développés par les cadres de la HALC parmi lesquels : « Les infractions en matière de corruption : Incrimination et sanctions pénales », présenté par Ruffin Arsène BAKOUETANA, Assistant dub Secrétariat Général de la HALC a laissé entendre que ce thème va nous permettre à l’examen des types de comportements fréquents dans les aéroports notamment d’Afrique, qui sont prévus et punis par la loi tout en sachant que l’aéroport de MAYA-MAYA n’en est pas exemptés. Il a pris l’exemple sur les scandales de corruption : cas de l’aéroport d’Antanarivo en 2020. Un grand scandale de trafic de 73,5 kilos d’or de contrebande et des devises a été opéré par des passagers saisis en Afrique du Sud. Des vidéos et des documents officiels ont mis à mal la version des douaniers et de la gendarmerie, qui ont reconnu avoir effectué le contrôle d’usage des bagages au départ d’Antananarivo.

Sauf que quelques heures plus tard, lorsque ces passagers ont atterrit à l’aéroport de Johannesburg, les douaniers ont saisis dans leurs bagages ces produits ?

Depuis ? L’affaire a tourné au scandale sur la grande île. La question qui surgit est de savoir comment une telle quantité a pu être extraite et acheminant en dehors du pays, sans qu’aucun service n’est parvenu à contrecarrer les plans des contrebandiers. Très rapidement, le gouvernement malgache s’était saisi de ce dossier hautement sensible, affichant sa volonté d’établir des éventuelles responsabilités ou complicités dans l’aviation civile, les principales cibles étaient les services de sureté, donc les douaniers, la gendarmerie et la police des frontières, les services du ministère des mines. L’enquête a conclu qu’il n’y a pas eu de contrôle de la PAF, pas de contrôle de santé non plus, ni de contrôle des douanes, alors que les différents documents d’autorisation paraissaient délivrés en bonne et due forme. Donc, l’avion est sorti illégalement de Madagascar et 12 agents ont été mis en cause.

Poursuivant, toujours à Madagascar le chef de l’Etat avait fait savoir qu’il avait reçu plusieurs plaintes de la part des passagers, portant notamment sur les nombreux contrôles et formalités obligatoires avant l’embarquement, alors que ces derniers avaient leurs documents en règle, mais subissaient une forme d’extorsion faite de mendicité.

Aussi, Ruffin Arsène BAKOUETANA a ajouté dans sa communication que d’autres pratiques rapportées concernent la complicité des services de contrôle dans le trafic illicite des espèces sauvages qui font l’objet des mesures de conservations ou de protection, conformément à la loi n°48/83 du 28 avril 1983 définissant les conditions de la conservation et de l’exploitation de faune sauvage, enrichie et complétée par des textes réglementaires.

D’autres thèmes ont été développés par deux autres intervenant de la HALC, sur les Procédures de saisines de la HALC et les faits de la corruption dans les aéroports et comment éliminer la corruption dans  notre aéroport pour qu’il y soit une bonne vie. Les intervenants ont mis en exergue les risques encourus par les auteurs de corruption. Durant les échanges interactifs, les participants ont découvert les missions de la HALC ainsi que les atouts de la mise en œuvre des moyens de lutte contre la corruption.

A noter que des sketchs et musique décrivant des scènes de corruption dans les aéroports ont illustré tout ce qui s'est déroulé pendant la rencontre, le tout suivi par l’affichage au hall des spots publicitaires sur la lutte contre la corruption.

 

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Les cadres de la HALC renforcent leurs capacités sur les droits humains et la lutte contre la corruption

Publié le 29 Décembre 2022 par André LOUNDA dans Société

Les droits humains et la lutte contre la corruption au centre d'une session d'information à l'attention des cadres de la Haute Autorité de la Lutte contre la corruption (HALC). Organisée le 29 décembre 2022 à Brazzaville par le Haut-Commissariat des Nations Unies aux Droits de l'homme (HCNUDH), cette session a pour objectifs: édifier les participants sur le lien entre d'une part la lutte contre la corruption et les droits humains; faire acquérir des connaissances sur l'évaluation des politiques publiques et son intérêt pour la lutte contre la corruption et permettre à la HALC de questionner les approches adoptées pour lutter contre la corruption en se référant à l'approche basée sur les droits humains et l'évaluation des politiques publiques.

Placée sous le patronage du Ministre du Contrôle d’Etat, de la Qualité du Service Publique et de la lutte contre les Antivaleurs, Jean Rosaire IBARA en présence d’Emmanuel OLLITA ONDONGO, Président de la HALC et du Docteur Lucien MANGA, Coordonnateur Adjoint du Système des Nations Unies en République du Congo, qui en premier dans son discours, a fait savoir que la corruption existe dans tous les pays sans exception même s’il y a en a qui sont plus affectés  par cette gangrène que d’autres. Elle nuit au développement d’un pays et entrave l’accès des populations à la justice et aux services sociaux de base tels que les soins de santé primaire, l’éducation et une alimentation suffisante.

Aussi, le Dr Lucien MANGA a rappelé que la République du Congo, à l'instar d'autres pays, a mis en mis en place une Haute Autorité de Lutte contre la Corruption. Elle dispose également d'un cadre institutionnel approprié pour la promotion des droits humains. L'objectif que nous tous c'est celui de rendre cette institution performante. Nous sommes cependant encouragés par le fait que les cadres de cette structure jouent déjà leur rôle avec une bonne implication de la société civile. Ainsi, la présente va permettre de renforcer les capacités de cette institution et en même temps de mettre en lumière l'impact négatif de la corruption sur l'avancée des droits humains.

Par ailleurs, il a souligné que la création d’institutions anticorruption et l’implication de la société civile contribuent à améliorer la visibilité citoyenne sur l’utilisation des fonds publics. Dans ce cadre, lac Haute Autorité de lac Lutte contre la Corruption joue un rôle essentiel dans l’évaluation des politiques publiques. L’assurance des garde-fous tels que les déclarations de patrimoine et la protection affective des lanceurs d’alerte peut s’avérer cruciale à cet égard, tout comme l’appui des Ministères du Contrôle d’Etat et de la Justice.

Pour conclure, le Dr Lucien MANGA a réitéré l’engagement du Système des Nations Unies à accompagner le gouvernement congolais dans ses efforts à lutter contre ce fléau en vue d’atteindre les Objectifs du Développement Durable à l’horizon 2030.

De sa part, Emmanuel OLLITA ONDONGO, Président de la HALC, ouvrant les travaux de la session d’information a premièrement salué cette initiative et a salué la présence du Ministre du Contrôle d’Etat et les invités, puis dans un bref aperçu, il a fait la genèse de la HALC, «  La HALC trouve les germes de sa naissance entre autres dans les 48 mesures issues de l’accord entre le gouvernement de notre pays et le Fonds Monétaire International », a-t-il rappelé.

En effet, il a déclaré que la République du Congo, signataire des conventions de l’ONU et de l’Union africaine sur la lutte contre la corruption, affiche une réelle volonté politique dans le combat contre ce fléau.

Crée par la loi n° 362019 du 7 février 2019, la HALC est une autorité administrative indépendante jouissant de la personnalité morale et de l’autorité financière.

Aux cadres de la HALC, il leurs a rassuré tout en leur rappelant que cet atelier de formation est pour nous, un important « Rendez-vous du savoir » entre le personnel de la HALC et les experts en service du Haut-Commissariat des Nations Unies aux Droits de l’Homme. Le choix des thématiques qui seront présentées tout à l’heure est la preuve que les échanges qui auront lieu seront riche d’enseignements pour tous les participants. « Vous mesurez vraisemblablement tout l’intérêt de cet atelier de formation, où le partage de connaissances entre les experts de ces deux questions respectives est opéré par une familiarisation de leur langage et une réflexion sur l’éventualité de l’élaboration d’un plan d’action », a-t-il laissé entendre.

Ainsi, il a émis un vœu que cet atelier de formation, qui au demeurant est la toute première activité qui réunit la HALC et le Haut-Commissariat des Nations Unies aux Droits de l’Homme marque le début d’un partenariat fécond entre ces deux institutions. « Un tel partenariat contribuerait à éradiquer la corruption ou les antivaleurs dans notre pays », a déclaré Emmanuel OLLITA ONDONGO.

Puis, il a rassuré que pour une bonne gouvernance,  la lutte contre la corruption fait partie des priorités nationales du Programme des Nations unies pour Développement et se trouve au cœur des revendications sociales de la population et des actions de plaidoyer des organisations de la société civile, du secteur privé ainsi que des partenaires techniques et financiers. 

En rappel, le Congo avait été classé 162e sur 180 avec un score de 21 points sur 100 en 2021 sur l’échelle de l’indice de perception de la corruption de Transparency international en matière de corruption. Plusieurs études ont dénoncé la pratique de la corruption dans le secteur public ou privé de l’Etat.

Au cours de ces travaux, cette session a été placé son accent sur des échanges interactifs avec pour thématiques : Echanges sur les règles et le programme de la session avec les participantes et participants ; Engagements du Congo en matière des droits humains et lutte contre la corruption : Enjeux et perspectives ; L’approche basée sur les droits humains et lutte contre la corruption ; Evaluation des politiques publiques et lutte contre la corruption ; Exploration des pistes de réflexion sur les approches adoptées pour la lutte contre la corruption ; Synthèse, prochaines étapes et évaluation de lac session.

A noter qu’au terme de cette formation, le Haut-Commissariat des Nations Unies aux Droits de l’Homme et la HALC dans tous les prochains jours auront des échanges pour envisager l’organisation d’autres activités en tirant compte des résultats et des leçons apprises de cette première session.

 

 

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Clôture des travaux de la campagne de sensibilisation sur la lutte contre la corruption en milieu scolaire

Publié le 25 Décembre 2022 par André LOUNDA dans Société

L'École Paramédicale et Médico-sociale, Jean Joseph LOUKABOU a été le samedi 25 décembre 2022, le point de chute de la campagne de sensibilisation sur la lutte contre la corruption en milieu scolaire. Une deuxième classe anticorruption a été ouverte à cette occasion à l'endroit des élèves des établissements d'enseignement technique et professionnel dont  l'objectif étant de faire de ces élèves des ambassadeurs de la HALC au sein de leurs établissements d’origine.

 

En effet, à l'occasion de cette troisième journée, présidée par le Secrétaire Général de la HALC, EWE YAMBI MOMBILI,  les participants venus des établissements des secteurs de l'enseignement technique et professionnel, et bien d’autres,  ont suivi premièrement le discours du Directeur Antifraude du Ministère de l’Enseignement Technique et Professionnel, qui a déclaré que : « Vous voyez que cette façon de faire nous permettra de mutualiser nos efforts et changer l'expérience afin que nous visions le même objectif pour atténuer les pratiques de corruption et de fraude dans notre pays ». Puis, ils ont été édifié par un cours magistral sur la HALC et la lutte contre la corruption et la fraude en milieu scolaire, et de son instrument de communication appelé N° vert 1023 par Germain LOUBOTA, le Chef de Département de la Propagande, la Sensibilisation et de la Communication de la HALC. Il s’est agit pour ce dernier de leurs inculquer de quelques notions sur la tout en les évaluant.

Au terme de cette activité les participants ont été édifiés sur les missions et le pouvoir de cette institution et le Secrétaire Général de la HALC a déclaré close avec un satisfécit la campagne de sensibilisation sur la lutte contre la corruption et la fraude en milieu scolaire.

 

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La HALC a procédé à l'ouverture d'une classe anticorruption à Brazzaville

Publié le 23 Décembre 2022 par André LOUNDA dans Société

C’est ce qui est ressortit le vendredi 23 décembre 2022 au terme de cette deuxième journée relative à la campagne de sensibilisation à la lutte contre la corruption en milieu scolaire. Cette classe a pour objectif principal d’intérioriser les élèves des notions antifraudes. Initiée par la HALC, cette campagne de sensibilisation à lutte contre la corruption en milieu scolaire a rassuré les participants que l'école congolaise n'est pas épargnée par la corruption, la fraude, la concussion et les infractions assimilées.

En effet, à l'occasion de cette deuxième journée, les participants venus de plusieurs secteurs de l'enseignement, les représentants de la société civile, les syndicalistes et les professionnels du public et privé ont suivi des exposés et échangés avec les panélistes dont le 1er intervenant a été, le Directeur Antifraude du Ministère de l'Enseignement Préscolaire, Primaire, Secondaire et de l'Alphabétisation, qui a fait une présentation et gestion de fraude en milieu scolaire. Le 2ème intervenant, le Directeur Antifraude du Ministère de l'Enseignement Technique et Professionnel a développé le thème:<< Identification et caractéristiques des cas de fraude et de corruption: cas de l'Enseignement Technique et Professionnel. Plusieurs autres thèmes ont été présentés aux participants. Au terme de la rencontre, les participants avec satisfaction ont apprécié cette initiative de la HALC. Le Secrétaire Général de la HALC clôturant les travaux au nom du Président de cette institution a remercié les intervenants pour la qualité de leurs exposés et les participants qui durant ces deux jours ont été bien déterminé.

De la classe anticorruption, dont l’objectif principal, c’est d’intérioriser les élèves des notions antifraudes. D’après Germain LOUBOTA dans sa communication en présence du Secrétaire Général de la HALC a fait savoir que la classe anticorruption ouverte ce jour, c’est un nouveau concept de sensibilisation pour permettre à la HALC d’être en contact avec les élèves et permettre aux membres de cette classe d’acquérir des connaissances sur la lutte contre la corruption.

Au cours des échanges avec les élèves, Germain LOUBOTA dans un bref aperçu et de questionnement a adressé une question aux élèves, Est-ce vous avez déjà entendu parler de la HALC ? Pour certains oui par les réseaux sociaux et d’autres qu’en faveur de cette rencontre. Poursuivant, Germain LOUBOTA dans un cours à l’endroit de ces élèves, leur a donné quelques éléments sur la connaissance de la HALC et de son instrument de communication appelé N° vert 1023.

« FINIE LA RECRATION », selon l’orateur, ce slogan est une vision du Président de la HALC, Emmanuel OLLLITA ONDONGO afin que la corruption soit terminée en République du Congo.

Comment lutter contre la corruption ?

Sur cette question, Germain LOUBOTA a laissé entendre que la sensibilisation est le moyen le plus efficace pour lutter contre la corruption. A l’issue de cette classe, « ce que nous souhaitons après vous avoir évalué et que la HALC va vous renvoyer dans vos établissements respectifs afin que vous fassiez de la sensibilisation pour que les bébés Lili disparaissent dans les établissements d’enseignement », a conclu Germain LOUBOTA.

A noter que ces élèves seront formés de plus en plus sur le concept de la lutte contre la fraude pour qu’ils soient plus efficaces.

 

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La HALC lance sa première Campagne de sensibilisation sur la corruption en milieu scolaire

Publié le 23 Décembre 2022 par André LOUNDA dans Société

Dans le cadre de la réalisation de l' une de ses missions qui lui sont assignées, la Haute Autorité de Lutte contre la corruption, la HALC a organisée du 22 aub24 décembre 2022 à Brazzaville, sa 1ère Campagne de sensibilisation des citoyens congolaises évoluant en milieu scolaire et sur la vulgarisation des textes juridiques fondamentaux de base de ladite institution auprès des deux Ministère en charge des enseignements primaires, secondaires, technique et professionnels.

Placé sous le thème, «  Bannissons la corruption et la fraude en milieu scolaire », patronné par Jean LUC MOUNTHOU, Ministre de l’Enseignement Préscolaire, Primaire, Secondaire et de l’Alphabétisation en présence de Ghislain Thierry MANGUESSA EBOME, Ministre de l’Enseignement technique et Professionnel, après avoir remercié les deux Ministres pour avoir bien voulu répondre à la sollicitation de la HALC, Emmanuel OLLITA ONDONGO a déclaré que cet acte dénote de votre volonté à contribuer à la réalisation d'une manière générale, des objectifs définis dans le projet de société du Président de la République, il a cité: « Ensemble poursuivons la marche » et de façon particulière, à la réussite des missions confiées à la HALC par la République.

 

À cet effet, le Président de la HALC a défini d'abord la Corruption. Il a fait savoir que la Corruption n c'est l'action qui consiste à engager une personne investie d'une autorité à agir outre son devoir, en le soudoyant,

La concussion quant à elle c'est la perception illicite par un agent public n de sommes qu'il sait ne pas être dû, une exaction, une malversation.

La fraude, c'est une  action faite de mauvaise foi dans le but de tromper.

«  La tentative de l'une ou l'autre de ces infractions est prévue dans la loi anticorruption Nº9-2022 du 11 mars 2022 », a rappelé Emmanuel OLLITA ONDONGO. Au sens courant l'impunité est le fait de ne pas risquer d'être puni lorsqu'on pose un acte qui va à l'encontre des règles établies.

Poursuivant son propos, Emmanuel OLLITA ONDONGO, Président de la HALC a laissé entendre qu'aujourd'hui le 22 décembre 2022, après le deuxième anniversaire de leur prestation de serment à la Cour d'Appel de Brazzaville, s' ouvre devant les deux ministres de l'enseignement, la 10ème séance de la campagne de proximité de la HALC, après leur passage dans neuf (9) autres administrations ciblées, Selon lui, la motivation participative des cadres à l'activité est croissante; ce qui nous rassure de la qualité des différents thèmes présentés par nos panélistes. Nous avouons sans risque de nous tromper qu'au fur et à mesure de chaque étape que nous traversons, une lueur d’espoir s’installe.

Pour le président Emmanuel OLLITA ONDONGO, la HALC a la responsabilité de prévenir et combattre la corruption, la concussion, la fraude et les autres infractions assimilées. Le combat contre la corruption est sans merci et mérite l’implication de tous les Congolais. « Nous avons le devoir de baliser la voie de l’émergence du Congo attendue. Or, il est incompatible de sauver d’un côté l’émergence d’un pays, et de l’autre entretenir dans ce même pays, les antivaleurs comme la corruption, la concussion, la fraude j’en passe », a expliqué le Président de la HALC.

« Le seul secret pour y arriver c’est le changement de comportements des filles et fils de ce beau pays que nous aimons tous », a-t-il ajouté.

Pour terminer son propos, Emmanuel OLLITA ONDONGO n’a rassuré que la HALC salut la bonne volonté du Président de la République et du Premier Ministre, Chef du Gouvernement pour leur implication personnelle dans l’application effective de la loi N°4-2019 du 7 février 2019 relative à l’obligation de déclaration de patrimoine par les citoyens élus ou nommés à une haute fonction publique. Ce geste qui suscite l’admiration de tous les congolais qui aiment leurs pays, vient appuyer les efforts de la HALC dans ce combat qu’elle a engagé dès le 1er jour de son entrée’ en fonction.

Pour votre information, la HALC dispose d’un numéro vert qui devient opérationnel, c’est le 1023.

« S’agissant des informations brutes obtenues à partir de notre numéro vert, elles subiront un traitement digne et une analyse profonde, pour se rassurer de leur authenticité, avant leur validation », a conclu Emmanuel OLLITA ONDONGO.

De son côté, lançant la campagne, Jean Luc MOUNTHOU  a décrié sur l'apparition des phénomènes dangereux sur les plans sociaux, économiques et politiques qui sapent les efforts de la démocratie, de la bonne gouvernance, et du développement durable des nations.

Puis il a rappelé qu’aucun secteur de la vie publique n'est épargné, et l'éducation compte parmi les secteurs à protéger au regard de sa sensibilité dans la société. C'est pourquoi, l'Assemblée Générale des Nations Unies s'était levée le 31 octobre 2003 pour combattre ces phénomènes, en appelant tous las pays à prendre les dispositions juridiques dissuasives, préventives et correctionnelles au travers de l'adoption de la Convention des Nations Unies contre Corruption, comme faisant suite à l'adoption dès le 11 juillet 2003 de la Convention de l'Union Africaine sur la Prévention et la Lutte contre la Corruption. Décidée plus que jamais à protéger l'ensemble de ses secteurs du phénomène de la corruption et la fraude, la République du Congo 🇨🇬 a eu tôt la sensibilité d'instituer au ministère de l'Enseignement Préscolaire Primaire Secondaire et de l'Alphabétisation, la cellule de contrôle de lutte contre la corruption depuis 2015.Ainsi, les acteurs de corruption et de fraude en milieu scolaire peinent à inscrire leurs candidats dans les délais car cherchant à gonfler les listes par les faux transferts, la falsification des dates de naissance faisant usage de faux et de transhumance, le mercenariat qui emploie une autre personne en lieu et place de vrai candidat.

A noter que plusieurs thématiques seront développées durant trois jours lors de ces rencontres parmi lesquelles L’écosystème national de lutte contre la corruption : place et rôle de la HALC ; La HALC et ses procédures de saisine ; L’aperçu général de la loi anti-corruption ; La lutte contre la corruption : place de la loi relative à la déclaration de patrimoine.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Bienvenu MPAPOUGOU a été hissé à la tête du SYNALU par le congrès

Publié le 23 Décembre 2022 par André LOUNDA dans Société

Durant trois (3) jours d'intenses travaux les congressistes après examen et adoption avec amendements les documents soumis à leurs appréciations à savoir: Le Rapport d’Activités Triennal de décembre 2019 à décembre 2022: Les États de Recettes et de Dépenses de janvier 2020 à novembre 2022; Les Statuts; Règlement Intérieur de la Caisse d 'Entraide Sociale (CES); Le Règlement Intérieur révisée de la Mutuelle du SYNALU, la MUSYNA. Poursuivant les travaux, les congressistes ont élu Bienvenu MPAPOUGOU Secrétaire Général: Landry NGAKOULA, Secrétaire Général Adjoint; chargé de l'Organisation et de la Mobilisation ; Hubert MAKOMO, Président de la Commission de Contrôle et d'Évaluation du SYNALU et aussi soixante-sept (67) membres du Conseil National du SYNALU ont été mis en place.

Les congressistes ont également adopté cinq (5) motions, sept (07) recommandations et une résolution. Un communiqué final a été rendu public. Dans la cohésion, l'unité et l'espoir en l'avenir, le 7ème Congrès du SYNALU a clos ses travaux sur une note de satisfaction générale par Madame Zita INKO, Conseillère aux Affaires Sociales et aux œuvres académiques au nom de Madame le Ministre de l'Enseignement Supérieur, de la Science et de l'Innovation Technologique.

 

 

 

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Ouverture des travaux du 7ème  Congrès Ordinaire du SYNALU

Publié le 21 Décembre 2022 par André LOUNDA dans Société

<< Ensemble, sauvegardons nos acquis, mutualisons nos efforts, pour traduire dans les faits, la vocation de Syndicat National, de notre organisation, par son extension sur toutes l'étendue du territoire>>, c'est sur ce thème que se sont ouverts, le 20 décembre 2022 à Brazzaville les travaux du 7ème Congrès Ordinaire du Syndicat National de l'Université, SYNALU. Placés sous patronage de Madame le Ministre de l' Enseignement Supérieur, de la Recherche Scientifique et de l' Innovation Technologique, représenté par la Conseillère aux Affaires Sociales et des œuvres Universitaires, Madame Zita INKO en présence du Professeur Gontran ONDZOTTO, Président de l'Université Marien NGOUABI et de Camille MONEKENE MAKOUMBOU, Secrétaire Général sortant du SYNALU.

En effet, après trois années d’activités, le Syndicat National de l’Université va ouvrir une parenthèse de trois jours, pour faire son bilan, mettre en évidence des écueils et projeter son avenir pour trois ans de plus. C'est l'objet de son 7ème Congrès Ordinaire qui va se dérouler du 20 au 22 décembre 2022.

Dans son mot de circonstance, le Secrétaire Général sortant, Camille MONEKENE-MAKOUMBOU a fait savoir aux congressistes que le Bureau Exécutif National issu du 6ème Congrès Ordinaire va bientôt céder le témoin à celui qui sortira des entrailles du 7ème Congrès Ordinaire. Il vous laisse un héritage considérable au regard des réalisations, parmi lesquelles la réhabilitation du siège du SYNALU, l'acquisition d'une tenue d'activités, les bons de pharmacie, l'Assemblée Générale de la MUSYNA.

En outre, il leurs a exhorté à la vigilance, << Je dis bien vigilant dans le choix des dirigeants qui vont conduire la destinée de notre Syndicat pour les trois (3) années à venir, pour répondre à la formule << l'homme qu'il faut, à la place qu'il faut>>.

''Unité de pensée et d'Action'''.

 

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Coupe du monde Qatar 2022 : Finale Argentine-France, la société Congo B a récompensé des parieurs

Publié le 19 Décembre 2022 par André LOUNDA dans Société

A l’occasion du match final de la 22e édition de la Coupe du monde qui s’est disputée au Qatar  opposant l’Argentine et la France, remportée par tir aux buts l’Argentine l’a remporté, le dimanche 18 décembre 2022 à Brazzaville au Gymnase Henri ELENDE les parieurs se rivalisaient pour empocher les prix mis en jeu par la société Congo B.

C’était en présence des responsables de la Direction des activités sportives du Ministère de la Jeunesse,  des Sports de la Formation Qualifiante et de l’Emploi que dirige Hughes NGOULONDELE, la société Congo B a, en effet, organisé une tombola dénommé « La tombola du parieur », afin de départager les gagnants devant un huissier de justice.

Le plus grand prix mis en jeu a été remporté par Rodrigue PEA, une voiture. Les quatorze autres parieurs ont remporté plusieurs kits, dont des motos, réfrigérateurs, écrans plasma, smartphones et bien d’autres. Au terme de ce grand Tombola, l’ensemble des parieurs a salué l’initiative, en souhaitant qu’elle ne soit pas la dernière.« Je ne m’attendais pas qu’un jour, je devrais participer à cette tombola. J’ai misé en jouant comme tous les autres et cela a permis que je sois tiré au hasard et de gagner cette voiture. Je remercie les organisateurs et les demande à continuer dans cet élan. S’agissant des personne qui ne participent pas à ce jeu, il a déclaré que  je leur demande de se joindre à nous en jouant et c’est ce qui est nullement son   cas et qu’il ne connaissait aucune personne évoluant dans cette entreprise ».

Par ailleurs, nous avons noté que cette activité a connu la participation de plusieurs artistes musiciens des deux Congo qui ont agrémenté à cette première Tombola organisé par Congo B. 

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