C’est reparti. A intervalle régulier, le nom de l’ancien chef d’État major général des forces armées du Congo-Brazzaville (FAC)revient avec insistance dans le microcosme politique dominé par le changement de Constitution d’abord, ensuite par le referendum du 25 octobre 2015 et enfin par la présidentielle anticipée du 20 mars 2016.