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La journée du 28 Septembre et la semaine EMI :
Le 17 novembre 2015, la Conférence générale de l’UNESCO a adopté la résolution (38C/70) proclamant le 28 septembre Journée internationale de l’accès universel à l’information. Le 28 septembre était déjà désigné par la société civile comme la journée du droit de savoir. En cette occasion, l’UNESCO invite tous les États membres, les institutions du Système des Nations Unies et les autres organisations internationales et régionales, ainsi que la société civile, y compris les organisations non gouvernementales et les particuliers, à célébrer ladite Journée.
Reconnaissant l’importance de l’accès à̀ l’information, la 74ème Assemblée générale des Nations Unies a proclamé le 28 septembre Journée internationale de l’accès universel à l’information (IDUAI) au niveau des Nations Unies en octobre 2019.
Initiée en 2012, la Semaine mondiale EMI est organisée tous les ans par l’UNESCO en coopération avec l’Alliance mondiale pour les partenariats sur l’éducation aux médias et à̀ l’information, l’Alliance des civilisations de l’ONU (UNAOC) et le Réseau universitaire international de l’éducation aux médias et à l’information et du dialogue interculturel. Elle réunit, lors d’événements connexes à travers le monde, divers acteurs engagés dans la promotion de l’éducation aux médias et à l’information (EMI) pour permettre un échange d’expériences et plaider auprès des autorités et des décideurs en faveur de l’adoption d’une politique progressiste en matière de médias communautaires et de l’intégration de l’éducation aux médias et à̀ l’information (média and information literacy en anglais MIL) dans les programmes d’éducation formelle et non formelle. Il s’agit cette année de la neuvième célébration de la Semaine mondiale EMI. Les jeunes sont à l’avant-garde de la transformation numérique. Un regard dans l’esprit des jeunes d’aujourd’hui peut nous donner un aperçu de notre monde dans 20 ans. L’UNESCO est pleinement consciente de cette réalité et de la possibilité, souvent sous-estimée, de donner aux jeunes les moyens de changer les choses.
2 Conférence régionale en ligne - Les jeunes connaissant les médias et l’information en Afrique centrale l’UIT, la proportion de jeunes âgés de 15 à̀ 24 ans qui utilisent internet est nettement plus élevée que celle de la population totale. Un accès élevé à̀ l’information offre une foule de possibilités pour l’engagement des jeunes, le leadership pour le changement et l’esprit d’entreprise. Cela suppose qu’ils aient des compétences adéquates en matière d’éducation aux médias et à̀ l’information (EMI).
D’autre part, les jeunes sont également exposés à̀ la désinformation, aux discours haineux en ligne et à̀ l’extrémisme violent plus fréquemment que les autres groupes d’âge. En tant que groupe vulnérable et actif, il est impératif que les jeunes acquièrent les connaissances et les compétences nécessaires pour s’engager efficacement et judicieusement dans l’information, les médias et la technologie dans le monde ultra-médiatisé où nous vivons.
II. Contexte
Les confits et autres crises sont souvent causes d’ostracisme ou de surabondance d’informations. Ainsi, les conflits armés créent un manque d’informations tandis que les crises sanitaires par contre engendrent un trop plein d’informations au point de nuire à̀ la crédibilité de l’information sur l’objet de la crise. L’on peut citer le flux important d’informations sur la pandémie à coronavirus, COVID-19; aidé en cela par les réseaux sociaux.
En effet, les prouesses technologiques des dernières décennies à travers le monde ont, de manière exponentielle, booster la communication et par effet de cause, considérablement facilité l’accès à̀ l’information des peuples à̀ travers le globe. Dès cet instant, la mise à̀ disposition de l’information auprès du grand public n’est plus l’exclusivité des organes de presse (radios TV, presse, online et offline), mais, connait l’entrée en scène des reporters d’un autre genre. Les usagers de réseaux sociaux disséminés à travers le monde et qui se servent de Facebook, Tweeter, Instagram, WhatsApp et bien d’autres fora pour faire circuler l’information. Cette démarche a le mérite de garantir non seulement un accès universel à̀ l’information mais aussi sert de baromètre de bonne gouvernance.
Dans la sous-région Afrique Centrale, le taux de pénétration d’internet est assez élevé (surtout au Gabon, Cameroun, Guinée Équatoriale, Sao-Tomé et Principe et Angola, et cela traduit à̀ suffisance une volonté d’arrimage aux avancées technologiques mondiales. L’accès à internet
3 Conférence régionale en ligne - Les jeunes connaissant les médias et l’information en Afrique centrale et par extension l’accès à̀ l’information, même si l’on peut questionner parfois la source de l’information et donc sa crédibilité, est donc une révolution à saisir par les jeunes générations en toute responsabilité civique et sociétale. C’est ainsi que ces nouveaux reporters des réseaux sociaux, ensemble avec les professionnels des médias, pourront assurer un accès universel à̀ une information de qualité surtout en temps de crise. Car en effet, il est difficile de penser que seul le professionnalisme garantie l’indépendance de la presse, et donc le choix de l’information au détriment de la désinformation.
Face aux nombreuses crises sociales dans la sous-région (Cameroun, Congo, République Démocratique du Congo, République Centrafricaine, Burundi, ou encore Tchad etc.), l’enjeu n’est plus pour le public d’avoir accès à l’information, mais d’avoir accès à une information de qualité, face à la multitude d’acteurs dans le processus de communication et la portée stratégique que cela revêt. Le défi ici est d’informer de manière responsable et professionnelle pour éviter s’aggraver le conflit au lieu de le résoudre.
A l’ère du numérique, la création et la diffusion des informations n’est plus simplement l’affaire des journalistes et du seul ressort des médias. C’est pourquoi il est impératif d’impliquer les citoyens dans ce processus en les dotant des outils et des compétences nécessaires pour faire face à̀ cette nouvelle réalité et participer efficacement à cette dynamique. Dans ce con-texte, l’éducation aux médias et à l’information (EMI) s’impose comme une solution concrète et efficiente pour parer aux risques de dérives du flux mondial incontrôlé d’informations. Il s’agit d’un ensemble de compétences technologiques et sociales qui permettent aux citoyens d’avoir une compréhension critique du contenu informatif et d’exprimer leurs opinions en toute liberté et sécurité aussi bien en ligne qu’hors ligne. Grâce à̀ l’éducation aux médias et à̀ l’information (EMI), les citoyens prennent conscience des normes éthiques, sociales et juridiques de la création de contenu numérique. Ils cernent ainsi leurs droits ainsi que leurs devoirs en ligne et hors ligne. De même, ils se familiarisent avec les outils digitaux et les canaux de communication numériques et apprennent à̀ interagir avec les médias. Les programmes d’éducation aux médias (EMI) sont essentiels pour permettre à̀ tous les citoyens, et surtout aux jeunes femmes et hommes, de devenir des récepteurs d’information avertis mais aussi des créateurs de contenu numérique responsables. Ainsi, l’éducation aux médias et à̀ l’information (EMI) permet de lutter efficacement contre les fake news, les discours de haine et de discrimination ou encore la diffamation et permet de promouvoir des valeurs positives d’égalité, de dialogue interculturel et inter-religieux, de paix et de liberté.
Dans ce contexte, l’UNESCO œuvre pour le développement de compétences en matière d’éducation aux médias et à̀ l’information (EMI) à̀ travers le monde et soutient son intégration dans les programmes d’éducation formelle et non formelle à̀ travers des ressources de renforce-ment des capacités mises à̀ disposition des intervenants dans ce secteur et des programmes d’enseignement en ligne gratuits, permettant une autonomisation auprès des apprenants. L’Organisation encourage ainsi le développement des médias communautaires et soutient de nombreuses initiatives d’éducation aux médias et à̀ l’information dans plusieurs pays de l’Afrique Centrale. A travers ce programme, l’UNESCO vise à̀ permettre à̀ tous les citoyens d’ac-quérir une pleine maîtrise des informations auxquelles ils ont accès, de développer leur sens critique et d’analyse à̀ l’encontre de ce contenu informatif et de leur permettre d’interagir efficacement avec les médias. Un moyen de garantir la liberté de la presse et d’expression, de
garantir le droit d’accès à̀ l’information et de se préserver des risques de dérives en ligne et hors ligne et de pérenniser les valeurs essentielles d’ouverture et de démocratie.
4 Conférence régionale en ligne -Les jeunes connaissant les médias et l’information en Afrique centrale
liberté d’expression et d’information », l’UNESCO soutient, à̀ travers son secteur Communication et Information, depuis plusieurs années les actions de sensibilisation et de plaidoyer de la société civile pour la reconnaissance juridique et la mise en œuvre effective du droit d’accès à̀ l’information publique en Tunisie.
A travers son programme pour le développement de compétences en matière d’éducation aux médias et à̀ l’information (EMI), l’UNESCO encourage l’engagement des jeunes dans le plaidoyer,
la sensibilisation et la mise en œuvre des politiques renforcent l’accès à̀ l’information à̀ travers des jeunes avisés et informés, engagés et habilités
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Pour la promotion de la liberté d’expression et d’information », l’UNESCO soutient, à̀ travers son secteur Communication et Information, depuis plusieurs années les actions de sensibilisation et de plaidoyer de la société civile pour la reconnaissance juridique et la mise en œuvre effective du droit d’accès à̀ l’information publique en Tunisie.
A travers son programme pour le développement de compétences en matière d’éducation aux médias et à̀ l’information (EMI), l’UNESCO encourage l’engagement des jeunes dans le plaidoyer,
la sensibilisation et la mise en œuvre des politiques renforcent l’accès à̀ l’information à̀ travers des jeunes avisés et informés, engagés et habilités
IV. Objectifs de la journée
C’est dans cette perspective que l’UNESCO, en tant qu’Agence leader pour la promotion de la liberté d’expression, le développement des médias et l’accès à̀ l’information, compte organiser, le 28 Octobre 2020, à̀ travers son Bureau régional pour l’Afrique centrale, un webinaire régional pour la célébration de la journée internationale du Droit d’accès universel à̀ l’information et de la semaine EMI, qui couvre 10 pays de l’Afrique centrale, à̀ savoir le Cameroun, le Gabon, la Guinée Équatoriale, le Tchad, la République Centrafricaine, le Congo, la République Démocratique du Congo (RDC), le Burundi, l’Angola, Sao Tome y Principe.
Il sera question de mobiliser les jeunes, les professionnel(le)s, les expert(e)s des médias, les spécialistes de droits humains, les acteurs et actrices de la société civile des pays de l’Afrique Centrale.
Objectif global
L’objectif principal du webinaire sera de discuter et de définir un plan d’action pour l’engage-ment des jeunes dans les lois / politiques d’accès à̀ l’information et pour que ces politiques incluent l’EMI comme outil d’éducation et de sensibilisation.
Objectifs spécifiques
Le webinaire se concentrera sur l’impact de la promotion des stratégies de diffusion et d’accès à l’information et de ses implications dans tous les secteurs de la société.
Par conséquent, cet événement vise à̀
• Susciter la formulation de recommandations et l’identification des bonnes pratiques qui
peuvent inspirer des actions concrètes d’amélioration de l’accès du public à̀ l’information
tout en sauvant des vie set en renforçant la confiance dans le contexte de l’IDUAI 2020
pendant et au-delà de la pandémie COVID-19. IDUAI 2020 se concentrera sur le droit à̀ l’in-
formation en temps de crise et sur les avantages d’avoir des garanties constitutionnelles,
statutaires et/ou politiques pour l’accès du public à̀ l’information pour sauver des vies, renforcer la confiance et aider à̀ la formulation de politiques durables au travers et au-delà de la crise COVID-19.
6 Conférence régionale en ligne -Les jeunes connaissant les médias et l’information en Afrique centrale
- Promouvoir l’Éducation aux médias et à̀ l’information pour tous » en valorisant la Semaine mondiale EMI et les efforts déployés par l’UNESCO pour soutenir les initiatives EMI .
- Identifier et de réunir les différents intervenants en matière d’accès à̀ l’information et d’EMI et mettre l’accent sur les différentes initiatives, expériences pour renforcer les possibilités de coopération et de réseautage.
- Renforcer les connexions et favoriser les espaces d’échange et de partage d’informations, de projets créatifs et d’initiatives entre les acteurs impliqués et permettre une interaction avec les professionnels des médias.
- Stimuler l’engagement des jeunes dans les initiatives renforçant le DAI et l’EMI dans la sous-région.
Cibles
Les principales cibles sont :
- Les responsables des structures publiques des pays de l’Afrique Centrale et surtout les responsables en charge de la communication ou de l’accès à̀ l’information ;
- Les responsables des syndicats et associations des professionnels des médias ;
- Les expert(e)s (universitaires) du domaine des médias, de la liberté d’expression et d’information et des droits humains ;
- Les professionnel(le)s des médias et les journalistes d’Afrique du Centre ;
- Les OCSS des pays de l’Afrique centrale travaillant dans le domaine de l’accès à̀ l’information et EMI
- Les organisations de jeunes et les jeunes (individus)
Thématiques abordées
Le webinaire abordera essentiellement les axes suivants :
- Information pour le développement : Comment le suivi et la communication des me-sures de l’ODD 16.10.2 peuvent-ils être mis en œuvre pour répondre aux crises sanitaires ? Comment les législations sur l’accès à̀ l’information peuvent-elles contribuer à̀ la réduction des inégalités ? Comment l’accès à̀ l’information peut-il renforcer la résilience pour éviter de futures crises ?
- Maîtrise de l’information : Quel est le rôle de l’éducation aux médias et à̀ l’information dans la lutte contre l’infodémie du COVID-19 ? Comment les pays peuvent-ils garantir l’accès à̀ l’information aux personnes handicapées et/ou déplacées en période crise ? Comment l’utilisation de technologies innovantes dans les mécanismes d’accès à̀ l’information peut-elle permettre de surmonter l’écart genre dans la maîtrise de l’information? Préservation des informations: La fourniture par le gouvernement d’informations et de données relatives à̀ la pandémie a-t-elle un impact/réponse à̀ la crise ? Comment les investissements dans les technologies de collecte, de fourniture et de stockage d’informations peu-vent-ils renforcer la résilience et renforcer la gestion des crises ?
- Accessibilité de l’information : Comment les données ouvertes peuvent-elles faciliter les collaborations et les partenariats pour relever les défis de la pandémie? Quel est le rôle de la divulgation proactive dans la médiation des crises ? Comment mettre en œuvre des
technologies innovantes pour surmonter l’exclusion en temps de crise ?
7 Conférence régionale en ligne -Les jeunes connaissant les médias et l’information en Afrique centrale.
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- Multilinguisme : Comment le multilinguisme dans l’accès à̀ l’information peut-il sauver des vies en période de pandémie et aider à̀ éviter une crise future ? Comment les pays garantissent-ils l’accès à̀ l’information dans les langues minoritaires pour protéger les populations défavorisées ?
- Rôle des jeunes : Comment les jeunes participent-ils à̀ la mise en œuvre des politiques d’accès à̀ l’information? Quelles mesures sont prises pour promouvoir l’éducation aux médias et à̀ l’information des jeunes et des jeunes? Quel pourcentage de la loi sur l’accès à̀ l’in-formation inclut la sensibilisation et l’éducation et sont-elles mises en œuvre? La mise en œuvre de l’éducation aux médias et à̀ l’information à̀ tous les niveaux de la société peut-elle soutenir une plus grande connaissance des jeunes et un engagement critique dans les politiques d’accès à̀ l’information? Quelles actions mondiales/régionales sont nécessaires pour l’engagement des jeunes dans les lois / politiques d’accès à̀ l’information et pour que ces politiques incluent l’EMI comme outil d’éducation et de sensibilisation? Quelles parties prenantes devraient faciliter ce processus?
Langues
- Français
- Anglais.
Date
28 octobre 2020
Lieu
En ligne
Plateforme
Zoom (Lien : https://unesco-org.zoom.us/j/97139923735)
8 Conférence régionale en ligne - Les jeunes connaissant les médias et l’information en Afrique centrale
28 Octobre 2020
Cérémonie d’ouverture
Cérémonie d’ouverture
- M. Salah Khaled, Directeur du Bureau Régional de l’UNESCO pour l’Afrique centrale
- M.EDGARD ANICET MBOUMBOU MIYAKOU, Ministre d’Etat, Ministre de la Communication, de l’Economie Numérique et de la Poste du Gabon
- Monsieur Thierry MOUNGALLA, Ministre de la communication et des médias, porte-pa-role du Gouvernement de Congo
- Ministre de la communication de Cameroun (TBC)
- Ministre de la Communication du Tchad (TBC)
- Ministre de la Communication du Burundi (TBC)
Présentation des expert(e)s, rapporteur(e)s et modérateur(trice)s de la journée- Hugues Ndih, UNESCO
Session 1 –La sensibilisation des jeunes sur l’accès à l’information et l’EMI dans la région de l’Afrique centrale
Exposés en plénière :
- Pr. ATENGA Thomas, Université de Douala
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- Accès des jeunes à une information de qualité en temps de crise : le défi du droit et la nécessité d’une résilience »
- M. Abbas Mahamoud Tahir, Président de l’Union des Journalistes Tchadiens :
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- le rôle des professionnels des médias dans la sensibilisation des jeunes sur l’accès à l’information et l’EMI au Tchad » ou « Le rôle des médias dans la pacification inclusive de l’information en situation désinformation »
- M. Georice Berthin MADEBE, Directeur de Recherche CAMES
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- Accès à l’information comme facteur de développement des pays africains »
- M. Henri Christin LONGENDJA, Secrétaire Exécutif de l’ONG collectif 24
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- Rôle de la société civile dans l’élaboration du projet de loi sur l’Accès à l’information en RDC et son rôle dans la mobilisation des jeunes à ce processus »
Deux témoignages :
- Mme Aminata Saleh,Radio communautaire de Garoua, région du Nord
« La contribution des Radios Communautaires dans la riposte Gouvernementale contre le COVID-19 »
- M. Ewambe Amos, Radio communautaire de Bonakanda
“The challenges of running a Community Radio in an armed conflict zone”
Débat Ouvert
- Modérateur : Nejib Mokni, UNESCO
- Rapporteur : Sylvère Boris Nzigou Nzigou – UNESCO Gabon
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Session 2 – L’engagement des jeunes à la mise en œuvre des politiques |
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sur l’accès à l’information et à l’EMI dans la région de l’Afrique centrale |
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Exposés en plénière : |
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• M. Eugene N. Nforngwa (director, AKPC) and Pedmia Shatu Tita: “L’initiative #DefyHateNow |
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(r0g_agency for open culture) et son rôle dans la lutte contre la désinformation en ligne |
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renforçant les créateurs de contenu sur l’atténuation des discours de haine utilisants les |
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RELs / OERs (e.g. Social Media Hate Speech Mitigation Field Guide)» |
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• Mike Urli, SG Fédération Catholique des Mouvements, Gabon : |
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« Le rôle de la société civile dans l’éducation des jeunes aux médias et à l’information dans |
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une société africaine en pleine mutation numérique » |
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• Mme Dorothée Danedjo Fouba, la présidente de l’association eSTEMate, organisatrice des |
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Barcamp au Cameroun |
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« Jeunes et solutions innovantes : le cas des sources ouvertes » |
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Débat Ouvert |
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Modérateur : Marlène OMOLONGO – UNESCO Congo |
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Rapporteur : Ngala Desmond- #DefyHateInitiative |
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Récapitulatifs de la journée |
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Validation des propositions et recommandations |
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Clôture de la conférence régionale |
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Partenaires
L’engagement de plusieurs parties prenantes est une dimension importante de la straté-gie de l’UNESCO. Les partenaires pour cette initiative seront donc les Ministères de la Com-munication des pays ciblés, les organisations et associations nationales et régionales des professionnels des médias, ainsi que les OSC intervenant dans le domaine de l’accès à l’information.
Contacts
Nejib MOKNI
Chef Secteur Communication et Information
Bureau Régional Multisectoriel de l’UNESCO pour l’Afrique Centrale à Yaoundé
BP: 12909, YAOUNDE - République du Cameroun
E-mail : n.mokni@unesco.org
Tel: (+237) 22 20 35 47/48
Fax : (+237) 22 20 35 49