L'équipe de la Délégation de l'Union européenne au Congo dans un face à face avec les médias, a déroulé sa nouvelle vision 2025 pour le pays

Dans le cadre des accords de relance des accords de partenariat entre l'Union européenne et la République du Congo, l'équipe technique de la Délégation de l'Union européenne, sous le patronage de Son Excellence Madame, l'ambassadeur de l'UE-Congo, Anne Marshall a échangé avec les professionnels des médias traditionnels et sociaux, de la presse nationale tant qu'internationale sur la Vision 2025 de l'UE en République du Congo, placée sur le thème : Ensemble, pour une une prospérité partagée.

L'équipe de la délégation de l'Union européenne composée de : Son Excellence Madame Anne Marshall, Ambassadeur ; Monsieur Torben Nilson, Chef de la délégation-adjoint, Chef de la section " Politique, Presse et Information"; Monsieur Augustin Bondo Tshiani, Premier Conseiller, Chef de coopération ; Madame Federica Petrucci, Cheffe de la coopération-adjoint, Madame Azad Manté, Chargée de la Presse et de la Communication. Tour à tour, les membres de cette équipe dans leurs prises de parole, la première intervention de Son Excellence Madame l'ambassadeur, dans son mot de bienvenue a premièrement présenté aux professionnels des médias l'équipe de la délégation de l'Union européenne avant de présenter ses vœux pour cette nouvelle année 2025 aux médias. Poursuivant, elle a déroulé le chronogramme de cette rencontre d'échanges qui s'est articulée autour des points suivants : (i) Comment pouvons-nous collaborer ensemble entre la délégation de l'Union européenne et les médias ?; la programmation 2025 sur les éléments du contexte, les priorités stratégiques et thématiques-phares d'intervention au Congo et pour clôre avec la remise des prix aux deux lauréats du concours du meilleur reportage sur l'environnement.Des domaines et secteurs stratégiques d'intervention pour renforcer la coopération en l'UE-Congo ont été dévoilé tour à tour par Son Excellence Madame l'ambassadeur, Anne Marshall et Monsieur Augustin Bondo Tshiani. << C'est une année où on va pouvoir dynamiser notre coopération avec notre relation bilatérale avec le Congo et aussi dans la cadre de l'accord qui soutient les relations entre l'Union européenne et chaque pays du Groupe Afrique-Caraibes-Pacifique (ACP) et le dialogue de partenariat qui nous permettra de passer en revue toute la palette des relations bilatérales quelle soit politique, Économiques, développement, sécurité et d'une diplomatie publique >>, a souligné Madame l'ambassadeur.

Pour renforcer le partenariat entre l'UE-Congo, des domaines et secteurs d'intervention ciblés sont entre autres : l'énergie, les transports, la sécurité maritime, le numérique, l'environnement et la gestion des ressources naturelles et forestières. Augustin Bondo Tshiani a laissé entendre que les premiers types d'interventions que l'Union européenne envisage, c'est de regarder à la question de la transformation économique, la transition de cette économie vers une économie ouverte. << C'est une manière de dire, soutenir le secteur privé, un environnement des affaires qui sont favorables. Comment est-ce que l'on peut faire en sorte que quand on travaille dans un secteur donné de développement d'un secteur économique, que ce secteur se fasse de manière responsable. Imaginons que l'on investi dans une chaîne de valeur et que cette chaîne détruise une richesse qui est juste à côté, des choses qui sont vraiment inclusives et responsables. C'est ce que nous ne favorisons pas. Il y a des chaînes de valeurs que nous n'accompagnons pas au regard de ces aspects-là . On ne vient pas changer ces aspects. On peut donner quelques exemples, c'est de regarder ces aspects, on ne veut pas changer et mettre en danger la prospérité de ce pays. C'est notre responsabilité parce que pour une prospérité immediate, détruire la forêt, ce n'est pas intéressant. D'ailleurs la forêt, c'est le deuxième secteur sur lequel nous nous concentrons. Pas seulement la forêt mais, les ressources naturelles en général. À présent, la forêt est un élément très important et évidemment, il y a un secteur très important qui a été souligné par Madame l'ambassadeur, et Monsieur Torben également, la question de comment est-ce qu'on assuré qu'on appui des acteurs en parti pas qu'eux, la société civile, la question du genre. Comment est-ce que l'on améliore la gouvernance participative ? Pas de prospérité, s'il n'y a pas de société civile qui peut mettre le doigt sur des choses qui fonctionnent bien et pour accompagner les choses ne fonctionnent pas bien.