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La convivialité et l'amitié sont des valeurs précieuses, << Qui se ressemble s'assemble>> et donc, c'est fort évidemment de ses convictions que le Patriarche Maurice NGUESSO a bien voulu réunir tout autour de lui le mardi 31 décembre 2024 à l'hôtel ELBO Suites de Brazzaville, afin de paternaliser bien évidemment, le vivre ensemble et de passer cette transition vers l'an 2025 avec tous ses invités sous les rythmes, sonorités et couleurs de l'orchestre mythique du Congo-Brazzaville, les Bantous de la Capitale. Un Réveillon au cours duquel ce grand orchestre a présenté les nouvelles chansons de son nouvel album << Bakolo Mboka >>, avec douze titres, qui sera sur le marché dans quelques jours.
En effet, les Bantous de la Capitale sont nés en août 1959 à la faveur du retour au bercail de Célestin NKOUKA (Célio); NGANGA Édouard dit Édo, De la Lune et de PANDI Saturnin (Ben). Au fil des années, cet orchestre s'impose comme le plus grand orchestre de tous les temps jusqu'à maintenant, dont les œuvres le propulsé au firmament de la musique congolaise avec des titres tels que : "Maswa"; "Rosalie"; Samy n'a Katy"; " Miléna "; " Ayant-droits ", " Mama Alphonsine" et bien d'autres. Au cours de cette nuit de Réveillon, au regard de ses prestations, les Bantous de la Capitale demeurent toujours incomparable avec des jeunes talents qui ont marqué le public qui a bien savouré la Rumba Congolaise et la Salsa par des nouvelles chansons et les autres célébrités.
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Friand de la Rumba Congolaise et de la Salsa, Daniel OVAGA, président de l'Union Nationale des Opérateurs Économiques du Congo (UNOC), Directeur Général de SECUREX, à nos micros, il n'a pas manqué des mots pour exprimer ses sentiments.
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-Président, au regard de ce que vous venez de vivre avec les Bantous de la Capitale, que pourriez-vous dire à génération future qui va vous succéder ?
Daniel OVAGA : Je voulais dire ceci, que c'est au bout de l'ancienne corde que l'on tisse la nouvelle corde et même si l'on paraît frais mais, c'est l'ancien qui connait la route. À l'occasion de cette activité, il y a eu ce qu'on appelle le dîner de gala patronal avec les adhérents de l'UNOC qui n'est pas le moindre membre du Conseil d'Administration, le président Maurice NGUESSO, qui a voulu avoir autour de lui ses pairs et des collègues du patronat pour traverser ce qu'on appelle 2024 et arriver en 2025 et dire effectivement, que vivant avec cette foi, vivant avec cette espérance que 2025, sera meilleure et se dire effectivement que oui, les difficultés pour les hommes d'affaires restent des opportunités et abordant donc, n'est-ce pas cette année 2025, dans l'espoir que le Congo ai son véritable destin. En résumant aussi avec le message du Chef de l'État qui est un message qui est plein d'espoir, tout en sachant qu'effectivement qu'aucune nation au monde ne peut se réaliser sans un secteur privé national fort.
-Président, que représente les Bantous de la Capitale pour vous?
Daniel OVAGA : Les Bantous de la Capitale, c'est le patrimoine national ! Les Bantous de la Capitale, je le dis bien, c'est le patrimoine national. Ce que nous devrions savoir tiré au fond de nous, nos valeurs que nous avons, culturelles pour apporter quelque chose de nouveau à la modernité. C'est dans la pérennisation de nos valeurs culturelles. Les Bantous de la Capitale qui font partie de la culture congolaise que nous puissions apporter une plus value n'est-ce pas à la modernité qui s'impose mais, comme je l'ai dit aussi, c'est au bout de l'ancienne corde que l'on tisse la nouvelle corde.
- La Rumba Congolaise a été inscrite au patrimoine mondial immatériel de l'humanité par l'UNESCO, président, à peine là, nous avons célébré le 14 décembre dernier, le troisième anniversaire de son inscription au patrimoine mondial. À ce sujet avez-vous un mot ?
Daniel OVAGA : Mais, je vous ai dit que c'est dans la pérennisation de nos valeurs culturelles que nous pouvons apporter une plus valu à ce monde arc-en-ciel ! Ce monde arc-en-ciel qui doit tirer son essence sur la culture de tout un chacun ! Que le Golfe de Guinée donc, le Congo-Brazzaville et la RDC pouvaient apporter à ce monde arc-en-ciel qui se trouve à la croisée des chemins. L'un des éléments importants, c'est la Rumba, c'est un patrimoine culturel qui peut-être inscrite aussi en tant que valeur économique et valeur sociale.
-Président, pour conclure, avez-vous un mot à dire à l'endroit des opérateurs économiques qui font la fierté de notre pays ?
Daniel OVAGA : Je voulais dire ceci, le mot, c'est apprenons à valoriser l'homme d'affaires comme modèle de développement social et économique. Lorsque nous aurons compris ça, nous comprendrons que le seul créateur des valeurs économiques de la richesse reste le secteur privé, l'administration de l'État n'est que régulateur et bénéficiaire. Donc, en permettant au secteur privé de s'approprier de ces valeurs -là, le Congo se porterait mieux. Aucune nation ne peut se réaliser sans un secteur privé national fort. Merci !