/image%2F1906098%2F20250423%2Fob_0342e7_img-20250422-wa0013.jpg)
C'est face à la polémique futile et ubuesque entretenue par certains acteurs politiques formant une meute en proie en furie, s'appuyant sur la participation d'un membre de l'Union Panafricaine pour la Démocratie Sociale (UPADS) au Gouvernement de la République, en l'absence de toute alliance politique ou un accord de Gouvernement. Â ce sujet, Monsieur Clément MIERASSA, qui se prend pour Jupiter alors qu'il n'est qu'un couard, incapable d'affronter le suffrage universel même au plan local et encore moins au niveau national, devient le champion qui distribue les bons points entre les vrais et les faux opposants, selon un critérium qui lui est propre. C'est sur cette toile de fond que s'est déroulé la conférence de presse que Pascal TSATY-MABIALA, Premier Secrétaire de l'UPADS, Chef de file de l'Opposition congolaise a animé ce mardi 22 avril 2025 au siège de ce Parti politique, en présence de quelques leaders de l'opposition et des militants et sympathisants dudit Parti.
/image%2F1906098%2F20250423%2Fob_a2b45d_img-20250422-wa0018.jpg)
A cette occasion, au cours de cette conférence de presse dans un face à face avec les professionnels des médias internationaux et nationaux, Pascal TSATY-MABIALA pour éclairer l'opinion publique tant nationale qu'internationale sur la vie politique de notre pays, le Congo qui est en proie à des invectives des cafés de commerce où les rumeurs prennent le pas sur l'information, la vraie informations, les acteurs politiques censés être des boussoles pour guider le peuple, sont malheureusement réduits au rôle ridicule et méprisant de colporteurs invétérés des ragots. Pour s'en convaincre a déclaré Pascal TSATY-MABIALA, depuis un certain temps, une opinion pour le moins insidieuse se complait dans les propos diffamatoires contre l'UPADS, à travers une campagne de déstabilisation de ses dirigeants et une volonté désespérée d'attenter au moral de ses militants déjà accablés par le quotidien. C'est dans ce contexte pour justifier son droit de réponse face à cette campagne de dénigrement, Pascal TSATY-MABIALA dans son mot liminaire sur cette cabale de plus en plus orchestrée par des politiciens qu'il a qualifié par des politiciens des réseaux sociaux, experts en analyses de salons, a pour cause l'interprétation biaisée de la loi N°28-2017 du 7 juillet 2017, déterminant le statut de l'opposition politique en République du Congo dont il s'est permit de reconstituer l'historique. << Tenez, le statut du Chef de l'opposition est consacré par la Constitution du 25 octobre 2015, en son article 63 qui dispose, je cite : << L'opposition politique est reconnue en République du Congo est reconnue en République du Congo. Elle ne peut subir de limites, quant à son existence et à ses activités démocratiques, que celles imposées à tous les Partis politiques par la présente Constitution et la loi. La loi détermine le statut de l'Opposition politique >>, fin de citation.
/image%2F1906098%2F20250423%2Fob_0fc247_img-20250422-wa0029.jpg)
Aux termes de l'article 11 de la loi N°28-2017 du 7 juillet 2017, << Le Chef de l'Opposition est le premier responsable du Parti de l'Opposition ayant obtenu le plus grand nombre d'élus à l'Assemblée nationale après le Parti ou groupement politique de la Majorité. En cas d'égalité de sièges entre deux Partis de l'Opposition, le Chef de l'Opposition est le premier responsable du Parti ayant obtenu le plus grand nombre de suffrages exprimés de leurs élus, à l'issue des dernières élections législatives >>. C'est le cas des élections de 2022 dont le mandat court en ce moment. La législation ci-dessus rappelée, qui encadre le statut du Chef de l'Opposition politique, semble cependant muette sur la nature du texte qui désigne et nommément celui-ci. C'est ainsi que le Gouvernement a fait recours à l'Assemblée nationale, gardienne des résultats des Partis politiques représentés, pour lui dire quel est le Parti le plus représentatif et qui en est le premier responsable. Ainsi, constatant que le premier Parti est l'UPADS, et son premier responsable est L'Honorable Pascal TSATY-MABIALA, celui-ci a été reconnu comme le Chef de l'Opposition politique, aux termes de la Décision n°009/AN/B/PS du 29 mars 2018 >>, a commenté Pascal TSATY-MABIALA contrairement à ce qui ce qui est souvent prêché dans les officines de certains leaders à la recherche d'une légitimité qu'ils n'ont jamais pu acquérir, et qui s'illustrent par des déclarations haineuses et outrageantes. << L'honorable Pascal TSATY-MABIALA n'a jamais été nommé par un décret pris en Conseil des ministres. Le seul décret en la forme porte le n°2018-234 du 13 juin 2018 et fixe uniquement les avantages et les mesures de protection du Chef de l'Opposition politique. Tous ces documents cités, publiés au Journal officiel, peuvent être consultés >>, a rassuré Pascal TSATY-MABIALA.
/image%2F1906098%2F20250423%2Fob_4fa81a_img-20250422-wa0015.jpg)
À ces leaders politiques praticiens des réseaux sociaux, Pascal TSATY-MABIALA n'a pas caché ses mots, << Plutôt que de fixer sur leur vision politique pour le Congo, certains acteurs politiques --dont les Partis politiques n'existent d'ailleurs que de nom--passent le plus clair de leur temps à faire des déclarations gratuites, infondées et mensongères, espérant attirer la sympathie des internautes ou des masses populaires, en vue d'un positionnement politique ou une visibilité qu'ils peinent toujours à atteindre. Incapables de rassembler et de mobiliser sur des bases objectives, les leaders de ces Partis politiques virtuels ont un seul projet, à savoir : calomnier l'UPADS pour l'exposer à la d'échéance populaire, en vue d'un positionnement politique ou d'une visibilité qu'ils peinent toujours à atteindre. incapables de rassembler et de mobiliser sur des bases objectives, les leaders de ces Partis politiques virtuels ont un seul projet, à savoir : calomnier l'UPADS pour l'exposer à la d'échéance populaire.
Leurs principales arguties consistent aujourd'hui à contester à notre Parti son appartenance à l'Opposition qu'il incarne effectivement et réellement avec constance depuis 1997, pendant que certains d'entre eux avaient --clairement et librement --fait le choix d'intégrer la Majorité au pouvoir. Cette polémique ubuesque, entretenue par une meute en furie, s'appuie sur la participation d'un membre de l'UPADS, au Gouvernement de la République, en l'absence de toute alliance politique ou un accord de gouvernement. Â ce sujet, Monsieur Clément MIERASSA, qui se prend pour Jupiter alors qu'il n'est qu'un couard, incapable d'affronter le suffrage universel même au plan local et encore moins au niveau national, devient le champion qui distribue les bons points entre les vrais et les faux opposants, selon un critérium qui lui est propre >>, a martelé Pascal TSATY-MABIALA.
Poursuivant son propos, il a rappelé que de mémoire des congolais, le PSDC, son Parti politique, et lui-même, n'ont cessé d'être que des simples accompagnateurs d'autres leaders ou d'autres Partis politiques à chaque élection présidentielle. Tenez : Avant-hier derrière Monsieur Mathias DZON, hier derrière le Général Jean-Marie Michel MOKOKO et aujourd'hui, il se prépare certainement à se positionner derrière un autre potentiel candidat en 2026. On se demande alors à quoi aurait servi la création de son Parti politique qui ne participe pas à la démocratie dans le pays et ne concourt pas à l'expression du suffrage universel. Au cours d'une conférence de presse tenue récemment, il s'est permis d'apostropher des Partis politiques, notamment le PRL et l'UPADS, représentatifs au sein de l'opinion et jouant bon gré mal gré leur rôle à l'Assemblée nationale et au Sénat. Cette sortie à la fois méprisante et imprudente ne pouvait laisser l'UPADS indifférente, d'autant que le président du PSDC n'est ni l'unité de mesure ni le baromètre de la vie politique en République du Congo pour distribuer la qualité d'opposants à qui il veut. << Heureusement que l'histoire ne trompe pas, et ce frère doit toujours se rappeler qu'il a sa part de responsabilité dans le déclin de la démocratie dans notre pays >>, a commenté Pascal TSATY-MABIALA, tout en déclarant que c'est pour moi l'occasion de lui proposer de poursuivre sa nouvelle vocation de journaliste, qu'il s'est découvert sur le tas, et donc d'assurer la diffusion des émissions devant son ordinateur sur réseaux sociaux dont il est si friand. C'est bien vrai que la démocratie, pour reprendre la pensée d'Alfred Sauvy, n'a pas d'ennemi redoutable que la démagogie. Toutefois, sans vouloir remuer le couteau dans la plaie, la nouvelle génération a le droit de savoir qu'entrev1992 et 1997, celui qui se passe pour donneur de leçons aujourd'hui a été l un des artisans de la déstabilisation du régime de Pascal LISSOUBA. Plus tard, il battra même campagne en faveur de la Constitution du 20 janvier 2002. Pour se faire bonne conscience, il reviendra sur la décision, prenant à partie la même Constitution, au motif qu'elle donnerait trop de pouvoirs au président de la République. Qui n'aura pas compris le caractère malicieux et versatile du personnage.
/image%2F1906098%2F20250423%2Fob_3d92da_img-20250422-wa0014.jpg)
Pascal TSATY-MABIALA en revenant à l'interprétation sur la norme querellée, il a fait savoir que certes que l'article 1 er alinéa 2 de la loi déterminant le statut de l'Opposition politique pose le principe de "non soutien" de l'action du Gouvernement pour justifier de la qualité d'opposant. Cependant, le pouvoir discrétionnaire du président de la République peut le décider à travailler avec un opposant. C'est le cas d'Abdou Diouf qui appela Abdoulaye Wade au Gouvernement, et de Nicholas Sarkozy qui nomma Bernard Kouchner au prestigieux Ministère des affaires étrangères. Dans ces cas cités, il n'y avait pas d'accord ni entre le Parti socialiste sénégalais (PSS) et le Parti démocratique sénégalais (PDS), ni entre l'Union pour un mouvement populaire (UMP) et le Parti socialiste français (PSF). C'est pourquoi, la loi susmentionnée a consacré l'exception à ce principe en son article 5 alinea 2 qui dispose, je cite : << La présence d'un opposant au Gouvernement l'astreint à la solidarité gouvernementale >>, fin de citation. La loi est donc claire: la solidarité à laquelle est astreint un cadre de l'Opposition qui entre au Gouvernement pour servir la République ne s'étend pas à son Parti politique. La doctrine en la matière pour l'UPADS est l'examen au cas des dossiers ou des situations en débat dans le pays.
/image%2F1906098%2F20250423%2Fob_57451c_img-20250422-wa0017.jpg)